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Murmures du Désir: Romance de château, #1
Murmures du Désir: Romance de château, #1
Murmures du Désir: Romance de château, #1
Livre électronique158 pages2 heures

Murmures du Désir: Romance de château, #1

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À propos de ce livre électronique

Au cœur de l'Angleterre médiévale, une dame et un mercenaire forgent un amour plus fort que l'acier, luttant à la fois contre leur passé hanté et une menace imminente dans Murmures du désir.

Plongez dans un monde d'intrigues médiévales, où l'héritage du château d'Almerry est forgé à travers les feux de l'amour et de la vaillance. Au cœur du luxuriant comté d'Almerry, se déroule un récit d'honneur, de bravoure et d'un lien indestructible.

Lady Isabel d'Almerry est une force à ne pas sous-estimer, grande, aux longs cheveux noirs et aux yeux verts perçants, elle a maîtrisé les compétences d'une chevalière, forgée dans les flammes de la tragédie. Le meurtre brutal de sa mère a brisé sa confiance, laissant son cœur protégé par des murs d'acier. Mais lorsque sa fidèle dame de compagnie, Clarisse, disparaît sans laisser de trace, la détermination inébranlable d'Isabel la propulse dans l'inconnu traître.

Entre en scène Sir Ariston, un chevalier mercenaire au service d'Almerry, dont le passé est gravé dans la tristesse. Hanté par les morts impitoyables de ses parents et de sa sœur sous ses yeux, il porte le poids d'un passé déchirant. La perte de sa femme et de son nouveau-né ne fait qu'approfondir ses blessures, le laissant comme une figure solitaire aux cheveux pâles et aux yeux bleus perçants, cherchant du réconfort sur le champ de bataille.

Le destin tisse leurs destins ensemble lorsque Ariston découvre Isabel au milieu des bois entourant Almerry. Une rencontre fortuite se transforme en une connexion indestructible, défiant les barrières qu'ils ont chacun érigées autour de leur cœur. Alors qu'ils entreprennent un périple périlleux pour sauver Clarisse, leur partenariat se transforme en un amour qui transcende les cicatrices de leur passé.

Les revers et les défis mettent leur résolution à l'épreuve, mais chaque épreuve ne fait que renforcer leur lien. Des sentiments romantiques émergent, allumant une flamme que ni l'un ni l'autre ne peut nier. Cependant, leur quête de Clarisse révèle un complot sinistre, une ruse astucieuse de l'ennemi pour affaiblir Almerry en attirant ses chevaliers. Unis par un objectif commun, Isabel et Ariston lèvent une armée, prête à faire face à la menace imminente.

Revenant aux anciens remparts du château d'Almerry, ils se tiennent côte à côte. Alors que le bruit des épées qui s'entrechoquent et les échos de la bataille emplissent l'air, la puissance durable de l'amour se mêle à leur courage inébranlable. Dans ce récit médiéval à couper le souffle de chevaliers et de châteaux, Isabel et Ariston incarnent l'esprit d'Almerry, un royaume où l'amour, l'honneur et le sacrifice convergent pour façonner un destin forgé au cœur de l'histoire.

Immergez-vous dans une romance médiévale à couper le souffle qui capture l'essence de l'amour, de l'honneur et du sacrifice avec Murmures du désir et lancez-vous dans un voyage où l'histoire et la passion convergent.

LangueFrançais
Date de sortie21 déc. 2023
ISBN9781667467481
Murmures du Désir: Romance de château, #1
Auteur

Amanda Mariel

USA Today Bestselling, Amazon All Star author Amanda Mariel dreams of days gone by when life moved at a slower pace. She enjoys taking pen to paper and exploring historical time periods through her imagination and the written word. When she is not writing she can be found reading, crocheting, traveling, practicing her photography skills, or spending time with her family.

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    Aperçu du livre

    Murmures du Désir - Amanda Mariel

    Murmures du Désir

    Amanda Mariel

    Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, personnages, organisations, lieux, évènements et incidents sont soit le fruit de l’imagination de l’auteur, soit utilisés de manière fictive.

    Copyright © 2023 Amanda Mariel

    Tous droits réservés.

    Aucune partie de ce livre, ne peut être reproduite, stockée dans un système de recherche, ou transmise sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit, électronique, mécanique, photocopie, enregistrement ou autre, sans l’autorisation expresse écrite de l’éditeur.

    Préface

    Dans un monde d’intrigues médiévales, Lady Isabel d’Almery, une redoutable Lady au cœur bien gardé, s’allie à Sir Ariston, un mercenaire solitaire hanté par un passé tragique. Leur lien indéfectible défie leurs cicatrices et fait naître un amour qui s’enflamme sur fond de guerre, où le choc des épées et les échos de la bataille s’entrelacent avec une histoire d’amour forgée dans les feux de l’histoire.

    Chapitre 1

    Aux frontières, Angleterre

    L’an de grâce, 1234

    Lady Isabel se tenait à l’extérieur du château d’Almery, fixant sa majestueuse façade. Un épais brouillard l’enveloppait et s’accrochait aux murs du château comme un bouclier protecteur. Elle frissonna lorsque le vent agita sa cape autour de ses chevilles. 

    Elle n’aurait pas dû être dehors ce soir, seule, mais il n’y avait personne d’autre en qui elle pouvait avoir confiance. Clarisse Whyte, sa dame de compagnie et amie la plus proche, a disparu depuis trois nuits. Elle craignait que quelqu’un au sein des murs du château ne soit responsable de l’absence de la dame de compagnie. Mais lorsqu’elle a rapporté ses inquiétudes à son père, le comte Nathaniel Staunton, il les a ignorées. Il lui a refusé son aide et a balayé la disparition de Clarisse comme si elle était partie sans un mot de son propre chef.

    Isabel avait une connaissance plus approfondie de la situation. Clarisse était sa dame de compagnie depuis des années et elle est devenue sa meilleure amie. Les deux femmes étaient plus proches que des sœurs, vraiment. Clarisse n’aurait jamais abandonné Isabel sans un au revoir. Quelqu’un l’avait prise, enlevée, et Isabel avait l’intention de la sauver.

    Tournant sur ses talons, elle se mit en route, le brouillard et l’obscurité de la nuit offrant une couverture pour sa fuite. On racontait qu’une voyante habitait près de la berge de la rivière Tweed. Isabel avait entendu dire que si l’on trouvait la chaumière et qu’on lui présentait une pièce d’or, la voyante fournissait volontiers ses services. Isabel glissa sa main dans la poche de sa cape, touchant les pièces d’or dissimulées à l’intérieur. Forte de sa nouvelle confiance, elle s’élança dans la forêt.

    Un palefroi l’attendait à environ deux cent cinquante mètres dans les bois. Alors que les occupants du château dînaient, un paysan attachait la bête à un vieux chêne tortueux. Un animal bien maigre, mais l’homme chez qui elle l’avait acheté lui avait assuré qu’il pouvait la porter. Elle retira sa main de sa poche et enroula ses doigts autour du pommeau de son épée. Le fourreau rebondit sur sa hanche et se prit dans les plis de sa cotte. Elle aurait dû porter une tunique et des chausses sous sa cape, plutôt que sa robe. Elle rectifierait la situation dès que possible.

    Les feuilles bruissèrent au-dessus d’elle alors qu’une bourrasque soufflait. Isabel frissonna autant de nervosité qu’à cause du vent. Son cœur battait contre ses côtes, elle scruta les environs avec appréhension et souhaita que le vieux palefroi soit bientôt dans son champ de vision. Elle marchait depuis un certain temps déjà. L’animal ne devait plus être très loin. Sans ce brouillard dense qui l’entourait, elle aurait pu le savoir.  Hélas, elle ne voyait rien du tout.

    Elle plissa les yeux dans l’obscurité et se concentra sur les sons environnants. Alors qu’elle expirait un souffle frustré, un hennissement étouffé retentit. La bête devait être tout près. Elle accéléra le pas, se précipitant en direction du bruit de l’animal.

    Derrière elle, le son distinct de branches craquantes fit battre son pouls plus fort. Dans un souffle apaisant, elle dégaina son épée et se retourna pour faire face à la menace. De nombreux jours passés à s’entraîner dans la lice avaient affûté ses compétences avec une épée à deux mains. Que ce soit un homme ou une bête, elle tiendrait bon.

    Un chevalier en armure apparut à l’horizon, chevauchant sa monture.

    — N’avancez pas plus près, à moins que vous ne souhaitiez rencontrer ma lame, déclara-t-elle d’une voix confiante, souhaitent ardemment en son fort intérieur porter une cotte de mailles. 

    Il poussa sa monture en avant, et elle tint son épée en position défensive.

    — Je vous égorgerai si vous continuez à avancer.

    Pour le peu qu’elle en voyait, il pouvait très bien être un ennemi. Quoi qu’il en soit, le chevalier tenterait de l’arrêter. Elle serra son épée plus fermement encore. Il ne portait rien qu’elle reconnût comme appartenant à Almerry, même si le tartan écossais de ses ennemis étant également absent.

    Le chevalier descendit de sa monture, puis tira son épée. A mesure qu’il s’approchait, elle se préparait au combat. Saisissant son épée avec l’expertise d’un chevalier, elle écarta ses pieds pour avoir un équilibre adéquat et le fixa du regard avec audace.

    — Qui êtes-vous et pourquoi empruntez-vous ce chemin ? demanda-t-il en tenant son arme devant lui. 

    — Cela ne vous regarde pas.

    Elle fit un pas en arrière pour maintenir une distance entre eux. C’était un homme imposant, large et grand, et il portait une cotte de mailles. Il serait préférable qu’elle s’éloigne sans s’engager dans un duel à l’épée.

    Il combla l’espace entre eux en quelques longues enjambées, la forçant à agir. Leurs épées se rencontrèrent dans un bruit métallique. Les sons de métal grinçant et s’entrechoquant remplissaient l’air ambiant. Elle fit une poussée, mais le chevalier contre-attaqua défensivement, leurs lames se heurtant alors qu’il s’éloignait d’elle.

    — Cessez cette folie, ma dame. Dites-moi qui vous êtes et quel est votre but ?

    — Je ne ferai rien de tel. Remontez sur votre monture et partez.

    Son rire emplit l’espace entre eux.

    — Pas avant que je ne découvre votre but. Ce n’est pas tous les jours que je rencontre sur une femme assez folle pour s’entraîner à l’épée en robe.

    Changeant de technique et la colère enflammant son sang, elle tenta de le désarmer. Il appuya son épée contre la sienne, puis tourna. Maudit soit-il. Son épée vola hors de ses mains alors qu’elle tombait en arrière. L’air quitta ses poumons lors de l’impact et elle griffa le sol froid pour tenter de s’éloigner du danger.

    Le chevalier ne lui laissa que peu d’opportunité, plaçant la pointe de son épée sur sa poitrine.

    — Calmez-vous.

    Avec son pied, il poussa sa capuche loin de son visage et ses yeux s’écarquillèrent.

    — Lady Isabel. Pourquoi parcourez-vous la forêt sous le couvert de la nuit ?

    Sa voix apaisa ses nerfs, bien qu’elle ne comprenne pas pourquoi. Sa réaction la troubla davantage.

    — Cela ne vous regarde pas. Par mon ordre, rangez-votre arme.

    Elle le fixa alors qu’il rangeait son épée. Il était bel homme. Pourquoi ne le reconnaissait-elle pas ? Comment pouvait-il la reconnaître ? Elle pensait connaître tous les chevaliers d’Almerry. Elle n’aurait pas oublié celui-là. Sa chevelure pâle et ses yeux bleus perçants auraient marqué sa mémoire. Il ne devait pas appartenir à Almerry.

    Il tendit une main.

    — Permettez-moi, ma dame.

    Avec prudence, Isabel posa sa main dans le sienne, le laissant l’aider à se relever.

    — Dites-moi votre nom. Il est étrange que je ne vous reconnaisse pas.

    Elle le regarda, fouillant sa mémoire à la recherche du moindre souvenir de ce chevalier.

    — Sir Ariston. Je suis un mercenaire et je suis arrivé récemment à Almerry.

    Il fronça le sourcil et détourna le regard. 

    — Alors, vous manquez de loyauté. Je vais poursuivre mon chemin. Vous pouvez poursuivre le travail pour lequel mon père vous a engagé.

    Elle pivota, sa cape tournoyant derrière elle, puis commença à marcher à travers les ombres de la forêt et le brouillard tourbillonnant.

    Il saisit son bras, la stoppant brusquement.

    — Relâchez...

    — C’est vrai.

    Il s’approcha d’elle, son souffle caressant son cou quand il poursuivit :

    — Je ne prête allégeance à aucun homme, mais je sers avec honneur. Mes ordres viennent du comte de Staunton, seigneur d’Almerry, et de votre père. Sur mon honneur, je les suivrai.

    Il lâcha son bras. Relevant son menton pour rencontrer son dur regard bleu, elle sentit la chaleur se propager dans sa poitrine et sur son visage.

    — Peu importe quel seigneur vous servez, ni quels sont vos ordres.

    Elle serra les poings le long de son corps. Avec un soupir bruyant, elle se mit à chercher son épée égarée.

    — Permettez-moi de vous escorter jusqu’au château, ma dame.

    Son regard se tourna vers lui.

    — Aidez moi d’abord à retrouver mon épée, ensuite vous oublierez m’avoir vue. Peu importe combien mon père vous paie, je doublerai la somme.

    — Mon honneur vaut bien plus que le double.

    Il s’éloigna d’elle vers un buisson épais. Un instant plus tard, il revint et lui présenta son arme égarée.

    — Le comte m’a payé pour patrouiller dans la forêt. Mes ordres sont de lui ramener toutes les personnes que j’y trouve.

    — Je ne retournerai pas au château avant d’avoir accompli ma quête.

    Son estomac se tordit.

    — Quelle preuve avez-vous d’être au service d’Almerry ? Pour ce que j’en sais, vous pourriez être responsable de l’absence de ma dame de compagnie.

    Elle en doutait, mais cela n’avait pas d’importance. Elle devait partir, et ce chevalier, quel que soit son honneur, ne l’arrêterait pas.

    Ariston siffla, ramenant sa monture à ses côtés.

    — Je ne sais rien de votre dame. Et vous n’avez que ma parole pour preuve. Hélas, cela n’a pas d’importance. J’ai des ordres à suivre et je vous emmènerai par la force si c’est nécessaire.

    — À votre guise.

    Elle le fixa en levant son épée.

    Son rire profond remplit l’air et résonna dans les arbres, l’irritant d’avantage.

    — Dois-je vous désarmer à nouveau ? Ce serait beaucoup plus facile si vous agissiez comme la dame que vous êtes et si vous veniez sans faire de difficultés. Il leva un bras en invitation. Venez, c’est dangereux ici. Soyez une gentille fille et permettez-moi de vous ramener en sécurité au château.

    Elle fendit l’air avec son épée. Comment osait-il lui parler de

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