Découvrez des millions d'e-books, de livres audio et bien plus encore avec un essai gratuit

Seulement $11.99/mois après la période d'essai. Annulez à tout moment.

Survol de mes pensées - Athéisme et philosophie poétiques
Survol de mes pensées - Athéisme et philosophie poétiques
Survol de mes pensées - Athéisme et philosophie poétiques
Livre électronique123 pages48 minutes

Survol de mes pensées - Athéisme et philosophie poétiques

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

Edouard, pourquoi ce titre de survol? « Si j’avais parlé d’envol de mes pensées, j’aurais dû les développer avec précision et l’ouvrage trop long aurait certainement été fastidieux, ce que je reproche à tous les essais trop détaillés. Il s’agit plutôt d’un inventaire de mes idées. Je pense que c’est suffisant pour que le lecteur comprenne l’auteur, l’approuve ou le désapprouve et éventuellement lui demande plus d’explications. » Votre livre est donc un essai ? «La première partie effectivement est un essai de quelques pages sur l’idée de dieu, des croyances et des religions dans lequel je mets clairement en évidence le bien fondé de l’athéisme qui a épaulé mon existence et qui me convient parfaitement. Je cherche à faire comprendre aux croyants, que je respecte, que l'on peut être athée et bienveillant. Je ne remercierai jamais assez mon père athée de ne pas m’avoir porté sur les fonds baptismaux ; je n’ai pas eu à renier une croyance imposée. » Et vos poésies ? « Très souvent la nuit couve mes inquiétudes et mes sentiments qui s’expriment en vers dans mon sommeil, jaillissent sur un carnet au petit matin et sont rédigés dans la journée. Tous mes poèmes émanent d'éléments vécus fortement ressentis. Cette deuxième partie est un recueil d'écrits spontanés sur l’Amour, l’Amitié, la Religion, la politique, la Maladie et bien sûr la Mort. Leur principale vertu est la sincérité. »
LangueFrançais
Date de sortie28 oct. 2013
ISBN9782312018317
Survol de mes pensées - Athéisme et philosophie poétiques

Auteurs associés

Lié à Survol de mes pensées - Athéisme et philosophie poétiques

Livres électroniques liés

Sciences sociales pour vous

Voir plus

Articles associés

Catégories liées

Avis sur Survol de mes pensées - Athéisme et philosophie poétiques

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    Survol de mes pensées - Athéisme et philosophie poétiques - Edouard Ch. Mion

    cover.jpg

    Survol de mes pensées

    Edouard Ch. MION

    Survol de mes pensées

    Athéisme et philosophie poétiques

    LES ÉDITIONS DU NET

    22, rue Édouard Nieuport 92150 Suresnes

    © Les Éditions du Net, 2013

    ISBN : 978-2-312-01831-7

    A mon épouse Michèle (ma Mouche)

    A mes ascendants.

    A ma descendance.

    Aux amis lecteurs.

    A tous ceux que j'aime.

    Remerciements

    à tous ceux qui ont inspiré mes mots sans même qu'ils le sachent, par l’éducation qu’ils ont reçue, par l’éducation qu’ils m’ont donnée, par l’exemple, par leurs conversations, leurs échanges de point de vue, leur amitié, leurs réprimandes, leur dévouement, leur gentillesse, leur soutien, leurs querelles, leur maladie et malheureusement leur mort, autrement dit à tous ceux à qui je dois d’être comme je suis, ainsi qu'au Docteur en Sociologie et Professeur de Philosophie Eric DUMAITRE qui m'a fait l'honneur de bien vouloir préfacer cet ouvrage.

    Préface

    Mon cher Édouard

    Sais-tu qu’avec le charmant opuscule que tu m’as fait l’honneur de me confier, c’est une bien belle et très antique tradition que tu perpétues dans la seconde partie de tes écrits ?

    Les nobles de l’ancien temps en effet, lorsqu’ils  sentaient qu’ils avaient déjà vécu l’essentiel de leur vie, entreprenaient fréquemment la rédaction de leurs mémoires, non dans le but de les publier (pratique apparue ensuite, après les guerres de religion) mais à destination de leurs descendants, et d’abord de leurs petits-enfants.

    Manière de maintenir vivant le souvenir de celui qu’ils avaient été. Mais aussi de faire part de ce qu’ils jugeaient, tout bien examiné et sur la base de l’expérience d’une vie entière, digne d’être retenu de la vie : ce qui est aimable, ce qu’il convient de respecter, ce qu’il faut craindre et prévenir, ce qu’on est en droit d’espérer, ce qui peut être cru ou ce dont il vaut mieux se défier.

    Dans cette  perspective, mission accomplie. A  te lire, on te reconnaît parfaitement : ton esprit, ton humour, jusqu’au ton et aux accents de ta voix. C’est bien toi (pour autant que je puisse en juger, car nous nous connaissons peu), sans doute parce que tu écris avec naturel et aisance, même en vers - à croire que l’alexandrin est ta seconde langue maternelle et la rime l’argot des cours de récréation de ton enfance !

    On perçoit très distinctement l’enchaînement de tes idées et de tes sentiments, les tours et retours de la réflexion et, parfois, de l’émotion.

    Pari gagné, donc : pour tes arrière petits-enfants, tu ne seras pas qu’un nom ou un drôle de bonhomme en habits démodés sur des photos jaunies : tu leur seras présent presque en chair et en os. J’imagine bien l’un d’eux regrettant que tu ne sois plus là pour répondre à ses questions ou lui donner la réplique.

    A travers les souvenirs que tu évoques, c’est bien aussi toute une conception de la vie que tu leur présentes et que tu sais rendre aimable : le prix inestimable des amis, la place centrale de l’amour et de la famille, la valeur de l’individu, la nécessité de n’être pas crédule.

    Quant à la première partie, il n’y a pas grand-chose à objecter à tes arguments contre la religion. Ce que tu en dis me semble indiscutable. Sauf peut-être un point : je ne suis pas sûr que la foi soit seulement l’effet de la prime éducation, de l’habitude et de l’irréflexion; le tout orchestré par les institutions religieuses.

    Il y a bien des chemins qui conduisent à Dieu. Toi et moi ne pouvons les connaître que par ouï-dire (car je suis incrédule également) ; mais nous pouvons les imaginer.

    Il y a toutes ces existences absurdement fracassées par la violence des évènements (famines, pestes, ou guerres) avant même d’avoir été vécues, qui font espérer  que la vie ne se réduise pas à si peu.

    Il y a la précarité ordinaire de la vie humaine avant le dix‐neuvième siècle (mortalité infantile, mortalité lors des accouchements,

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1