Les dix choses que les personnes décédées aimeraient vous dire

Par Mike Dooley

Si les morts pouvaient parler, ne vous demandez-vous pas ce qu’ils diraient à ceux qu’ils ont laissés derrière? Que nous diraient-ils pour soulager le chagrin occasionné par leur départ, apaiser nos craintes quant à ce qui arrive quand nous mourrons, et nous inciter à avoir la meilleure vie possible dès maintenant?

• Langue: Français
• Éditeur: Éditions AdA
• Date de sortie: 10 déc. 2015
• ISBN: 9782897528737

Aperçu du livre

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Éloges pour

Les dix choses que les personnes décédées aimeraient vous dire

« Un livre sur la vie qui aidera les lecteurs à voir plus de beauté, à sentir plus d’énergie et à connaître plus d’amour. »

— Don Miguel Ruiz, auteur du best-seller international Les quatre accords toltèques

« Fabuleux ! Mike Dooley vous montre comment rester vivant pour le reste de votre vie… et au-delà ! »

— Dr Robert Holden, auteur de Holy Shift !

« Trois fois, et de trois sources complètement indépendantes, on m’a dit : Tu dois rencontrer Mike Dooley. Après la quatrième fois, quand la personne faisant la suggestion est même allée jusqu’à me transférer son adresse courriel, je l’ai pris comme un présage. À vous quatre qui avez cru que je devais rencontrer cet auteur incroyable, cet impressionnant porte-parole de l’Univers, pour la joie qu’il m’a apportée, et maintenant pour tous nos ancêtres morts, je vous suis redevable. Pour tous les autres, n’attendez pas. Procurez-vous Les dix choses que les personnes décédées aimeraient vous dire, ainsi que tout ce qu’il a déjà écrit, et lisez-les maintenant. »

— Pam Grout, auteure de best-sellers du palmarès du New York Times, E² et E³

« Mike Dooley a écrit un brillant, profond et parfois hilarant compte rendu sur la vie — et la vie après la vie. Lisez-le in extenso et n’en manquez pas une seule page. Si vous vous êtes déjà interrogé sur la nature de la réalité, sur la façon dont la conscience crée le monde dans lequel nous vivons, et sur la vérité au sujet du temps et de l’espace, ce livre trouvera un écho salutaire dans votre ADN et vous amènera à vivre avec une conscience allègre. Lisez-le en ayant un esprit ouvert et soyez prêt à voir toutes vos préconceptions réfutées avec un sourire et un clin d’œil. Bref, vous ne serez plus la même personne après en avoir savouré la dernière page. J’ai adoré ! »

— Colette Baron-Reid, auteure de La Carte, Messages de l’esprit et des cartes oracles à succès Sagesse des royaumes cachés et Sagesse d’Avalon

« Dans Les dix choses que les personnes décédées aimeraient vous dire, Mike Dooley lève le voile entre notre monde perceptuel et le monde au-delà de notre perspective physique. Mike nous rappelle que nous sommes toujours guidés. Son assurance est le plus grand cadeau que nous puissions recevoir, car elle nous aide à accepter que nous ne sommes pas seuls. Lisez ce livre et reconnectez avec l’amour qui est tout autour de vous. »

— Gabrielle Bernstein, auteure de Miracles Now, best-sellers du New York Times

« J’adore ce livre ! Page après page, je me suis surpris à dire : Voilà qui explique bien des choses !, et je me suis senti inspiré, plein de joie, et j’en voulais davantage. Qui aurait cru que les personnes mortes pouvaient être si futées ? Un must ! »

— Nick Ortner, auteur de La Solution Tapping, best-seller du New York Times

« Mike Dooley a écrit un livre puissant, rafraîchissant et propre à amener un changement de paradigme ! Les dix choses que les personnes décédées aimeraient vous dire vous apportera une nouvelle compréhension des personnes qui ont joué un rôle important dans votre vie et qui sont décédées. Il vous inspirera également à profiter de la vie au maximum tandis que vous êtes toujours ici, en chair et en os, sur terre. »

— Mike Robbins, auteur de Nothing Changes Until You Do

« Il y a ceux que nous rencontrerons sur notre chemin à chaque existence, et ni la naissance ni la mort ne nous en sépareront vraiment. Ce livre est votre ami dans la découverte de tout ce qui se trouve au-dessus et en dessous de vous. »

— Katherine Fugate, scénariste

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Copyright © 2014 Mike Dooley

Titre original anglais : The Top Ten Things Dead People Want To Tell You

Copyright © 2015 Éditions AdA Inc. pour la traduction française

Ce livre est publié avec l’accord de Hay House, Inc.

Tous droits réservés. Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite sous quelque forme que ce soit sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans le cas d’une critique littéraire.

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Éditeur : François Doucet

Traduction : Martin Coursol

Révision linguistique : Maryse Faucher

Correction d’épreuves : Nancy Coulombe, Carine Paradis

Conception de la couverture : Matthieu Fortin

Photo de la couverture : © Thinkstock

Mise en pages : Sébastien Michaud

ISBN papier 978-2-89752-871-3

ISBN PDF numérique 978-2-89752-872-0

ISBN ePub 978-2-89752-873-7

Première impression : 2015

Dépôt légal : 2015

Bibliothèque et Archives nationales du Québec

Bibliothèque Nationale du Canada

Éditions AdA Inc.

1385, boul. Lionel-Boulet

Varennes, Québec, Canada, J3X 1P7

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Dooley, Mike, 1961-

[Top ten things dead people want to tell you. Français]

Les dix choses que les personnes décédées aimeraient vous dire

Traduction de : The top ten things dead people want to tell you.

ISBN 978-2-89752-871-3

1. Vie - Miscellanées. 2. Morts - Miscellanées. 3. Vie future - Miscellanées. I. Titre. II. Titre : Top ten things dead people want to tell you. Français.

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Conversion au format ePub par:

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Aux vivants : c’est encore votre tour.

Introduction

Personne ne sait comment tout a commencé, pas même les morts, mais tout le monde sait que c’est bel et bien arrivé.

Heureusement, personne ne doit le savoir pour néanmoins commencer à vivre consciemment et attirer plus de plaisir et de bonheur dans sa propre vie. Malheureusement, dirait-on, ce n’est pas aussi évident pour les vivants que ce l’est pour les morts, du moins de nos jours. Il y a des civilisations autrement plus avancées à travers le cosmos, y compris notre monde dans les temps à venir (le futur), dans lesquelles les vivants savent autant que les morts — à propos de tout. En ce moment, cependant, pour des raisons qui deviendront bientôt évidentes à mesure que vous tournerez les pages de ce livre, les morts jouissent d’une perspective bien meilleure. Ils voient davantage. Ils se souviennent d’avoir choisi leur vie. Ils se souviennent de l’amour — inéluctable, caressant et sublime. Aussi ont-ils quelque chose à dire aux vivants, qui ne savent actuellement rien de tout cela.

Nous vivons en des temps très primitifs, ce qui rend les dix choses que les morts ont à vous dire encore plus pressantes.

Comment le sais-je ?

Je le sais, tout simplement. De la même manière que vous savez que vous êtes aimé sans même avoir à l’entendre.

Comment nous savons ce que nous savons n’est pas aussi important que ce que nous savons, pas vrai ? Tant qu’il s’agit de la vérité… Aurait-on besoin de savoir qui a allumé la lumière dans une pièce sombre pour bénéficier de cette lumière ?

Naturellement, ce n’est pas non plus le cas en ce qui a trait à la vérité au sujet de la vie et de la mort. Peu importe le nombre d’opinions qui existent à ce sujet, la vérité est ce qu’elle est. Et peu importe comment vous la trouvez, l’important est de la trouver ; et plus tôt vous y arriverez, plus grande sera votre paix. La façon dont vous saurez qu’il s’agit de la vérité, c’est qu’elle aura du sens — logiquement, intellectuellement et émotionnellement —, ce qui n’est pas trop souvent le cas avec les versions qui nous ont été jetées en pâture au cours des derniers millénaires. Lorsque vous l’aurez trouvée, vous vous sentirez libéré, émancipé, éclairé, joyeux, aimant, et la confusion aura été dissipée. Puis soudainement, vous en verrez la démonstration partout, jusque sous votre nez, y compris votre nez lui-même. Qui plus est, vous danserez probablement joyeusement. Beaucoup.

Danser dans la vérité de l’amour

Avez-vous des fourmis dans les jambes ? Parce que ce livre a à voir avec le fait de danser dans la vérité de l’amour, cette vérité que vous avez ressentie en silence toute votre vie.

Ne craignez rien : je ne vous demanderai aucun acte de foi aveugle afin de suivre mes explications. Je partagerai plutôt tout ce que j’en suis venu à connaître, avec une pincée de logique et de bon sens, et ce, à partir de maintenant. Pour commencer :

+ Si vous pensez comme la plupart des physiciens quantiques que le temps et l’espace sont illusoires…

+ Si vous croyez, comme le font 92 %¹ des vivants, que nous survivons à notre propre mort physique…

= N’attendriez-vous pas des morts qu’ils soient extrêmement fébriles à l’idée de se rapprocher de nous, afin de réconforter et d’inspirer ceux qu’ils aiment, de même que l’humanité dans son ensemble ?

Vous avez répondu oui, pas vrai ? Vous vous attendriez bien évidemment qu’après avoir passé à travers leur propre mortalité, du berceau au tombeau, avec une prise de conscience absolument renversante sur la continuation de l’existence — et avec une personnalité et un sens de l’humour intacts —, qu’ils aient envie de le crier sur tous les toits. Qu’en dépit de leurs péchés et de leurs gaffes embarrassantes, du fait qu’ils baignent néanmoins dans l’amour et qu’ils aient maintenant une bien meilleure compréhension de ce qu’est la vie, ils aient naturellement envie de « faire le paon » pour nous.

Imaginez que vous êtes vous-même l’être cher disparu, posté après la fête, que vous jetiez un coup d’œil en bas sur terre, que des larmes de joie encore humides coulent sur vos joues et que vous constatiez l’immense chagrin et le trouble parmi les endeuillés qui sont restés dans votre sillage. Le ciel me tombe sur la tête ! Soudainement, rien ne serait plus important que d’entrer de nouveau en contact avec eux. Pour leur dire que tout est correct ! Tout va superbement bien ! Vous n’êtes pas mort ! Vous vous reverrez plus tard ! C’est encore à leur tour ! Continuez à rêver ! Continuez à vivre ! Continuez à aimer !

Et recevoir de telles nouvelles ne changerait-il pas merveilleusement tout pour les vivants, pour toujours ? Et qui serait mieux placé pour calmer les endeuillés et nous inspirer tous que ceux que nous aimons et qui nous manquent ?

Qu’est-ce qui n’est pas Dieu ?

La compulsion qu’ont les « morts » de vouloir se rapprocher de nous ne fait que s’intensifier quand ils découvrent qu’il n’y a dans l’après-vie aucune trace de Dieu tel que le décrit presque chaque religion. Et ce sont vraiment de bonnes nouvelles quand on considère comment la plupart des religions dépeignent Dieu. Bien sûr, il y a un Dieu, mais il n’est simplement pas celui qui nous est enseigné par des aveugles qui guident d’autres aveugles. Les mots ne collent pas toujours très bien à la vérité que nous essayons de nommer, mais pour résumer : Dieu est la somme de tout ce qui est — chaque voix, chaque battement de cœur, chaque homme, femme ou enfant, chaque animal, chaque insecte, chaque rocher, planète et grain de poussière, incluant les êtres sensibles bien loin du temps et de l’espace. « Qu’est-ce qui n’est pas Dieu ? » pourrait-on demander pour simplifier la réponse : « Rien ».

Vous comprenez le principe, n’est-ce pas ? C’est ce dont vous vous doutiez depuis le début. Nous reconnaissons la vérité quand nous tombons dessus, parce qu’elle court dans nos veines et forme notre ADN. Ainsi, quand nous réfléchissons à de grandes questions ou que nous entendons de nouvelles idées, nous pouvons, si nous sommes prêts, nous permettre de nous en souvenir. La vérité est qui et ce que nous sommes, elle n’est ni abstraite ni passagère ; nous sommes la vérité ayant pris forme humaine. Elle est objective. Vraie. Simple. Et tandis qu’un nombre infini de chemins peut mener à Rome, aucun d’eux ne change Rome.

Nous reconnaissons la vérité quand nous tombons dessus. C’est seulement qu’ayant fait le saut dans la « vie » nous-mêmes, à ce stade précoce du développement spirituel de notre civilisation, nous ne nous permettons habituellement pas d’aller dans des zones idéationnelles que nous ne pouvons pas toucher, goûter, voir, entendre ou sentir. C’est très homme des cavernes, mais très prévisible, compte tenu de là où nous en sommes sur notre courbe évolutionnaire.

Nous sommes en des temps primitifs, et puisque les époques sont définies par ceux qui les font, nous sommes des personnes primitives. Pas par hasard, cependant, mais par conception. Nous savions que cela allait être ainsi. Nous avons décidé de nous incarner tôt dans le développement de l’humanité, peut-être pour, en contrepartie, pouvoir nous réincarner plus tard comme maîtres, ou parce que les possibilités qui existent aujourd’hui n’existeront plus de la même façon plus tard. Tout cela importe peu à présent ; nous sommes ici. Bébés égarés dans les jungles du temps et de l’espace, il n’est guère étonnant que nous ayons peur du monde qui nous entoure. Puisque nous nous sentons vulnérables, nous nous en remettons presque exclusivement à nos sens physiques pour étiqueter, définir et progresser.

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Si c’est brisé, réparez-le

Mais d’être né naïf ne veut pas dire que nous devrions demeurer ainsi. Notre ignorance a atteint son objectif ; les illusions ont retenu notre attention. La partie est commencée. Les petites roues qui nous ont d’abord aidés à avancer sont devenues trop petites et ont fini par nous ralentir. Des larmes sont inutilement versées, des cœurs sont inutilement brisés ; il est temps de changer d’orbite, il est temps de faire entrer les morts. Ce sont nos grands frères et grandes sœurs en quelque sorte, quoique plus intimement liés à nous que par le sang, et ils aspirent à aider leur tribu et à niveler la courbe d’apprentissage de la vie dès que possible. Après tout, d’ici peu, nos rôles s’inverseront.

Aujourd’hui, ils ont ce dont vous avez besoin : une perspective. Et vous avez de ce dont ils ont besoin : le monde dont ils hériteront bientôt. Bref, nous sommes une seule et même famille : ils vous aiment, et vous les aimez. Et ce qu’ils ont à vous dire est absolument électrisant et de nature à vous transformer, à dissiper vos craintes et à répandre la joie — la vérité à propos de qui vous êtes, comment vous avez atterri ici, et ce que vous pouvez faire avec le temps et l’espace qui vous sont impartis.

Naturellement, les morts n’ont pas le genre de voix que vous pouvez entendre, après tout. Pas plus qu’ils n’ont d’ordinateurs portables, de claviers ni d’accès Internet. Aussi, si vous me le permettez, je serai votre hôte. Je suis aussi ordinaire et extraordinaire que vous l’êtes, sauf que je me souviens peut-être d’un peu plus de choses. Je crois que j’ai choisi cette vie, en partie, pour ne faire que cela — me souvenir davantage — avec une mentalité, des parents et d’autres circonstances qui ont inclus quelques amplificateurs fantastiques de mémoire et une propension à passer 40 de mes 53 années d’existence à questionner, à réfléchir et à m’imprégner joyeusement de la vérité. Durant toutes ces années, mon objectif principal a été de vivre mes découvertes : d’appliquer ces réponses intemporelles à ma propre existence, de la façonner délibérément pour mon propre bonheur et ma prospérité. Pendant les 14 dernières années, cependant, à ma grande surprise, je suis également devenu un professeur à temps plein sur la nature de la réalité, vivant une vie qui est autant un exemple de ce que j’enseigne que la cause de ma joie. Coïncidence ? Je ne pense pas.

J’ai commencé tôt à chercher la vérité, à l’âge de l’adolescence, et avant même que je n’entre à l’Université de la Floride, ma recherche de la vérité m’avait amené à me pencher sur la mort — merveilleux ! Pourquoi mourons-nous ? Chacun d’entre nous ? Partons-nous pour toujours ? Vraiment ?! Aussitôt, ma mère a commencé à m’envoyer des livres² qui, de pair avec mon propre instinct et mes propres sensations, répondaient à mes questions et allaient bouleverser mon monde.

Il s’avère que de s’interroger sur la mort peut vous en apprendre beaucoup sur la vie. Le processus qui consiste à ouvrir son esprit et à attendre des réponses, couplé à l’action, au fait de cogner aux portes et de remuer ciel et terre, fait de vous un paratonnerre pour les découvertes majeures. Rien ne libère autant que la vérité et rien ne vous freine autant que de ne pas la connaître. La connaissance est synonyme de puissance ; elle guérit ce qui fait mal, remplit ce qui est vide, éclaircit ce qui est embrouillé, allège ce qui est lourd, réunit les amis, change le plomb en or et pousse le soleil à se lever. Un homme ou une femme qui vibre au diapason de la vérité devient une imparable hyper-cool-joyeusement-adorable-créature. Ouais, j’ai inventé ce mot. Merci.

En tant que professeur de la réalité, cependant, je n’invente rien. Je partage ce qui est évident. J’essaie même de m’amuser. Je me paie du bon temps. Par exemple, depuis 12 ans, j’envoie gratuitement un courriel intitulé « Notes from the Universe » : de petites doses quotidiennes de vérité, parfois emballées de façon humoristique, auxquelles ont souscrit 600 000 abonnés. J’écris également des livres, j’enregistre des programmes audio, je produis des DVD et j’anime des discussions partout dans le monde.

En aucune façon n’ai-je déchiffré tous les mystères de l’Univers. À ce jour, ma conscience est toujours moins aiguisée que celle de mon chien ou même du bosquet de cyprès dans ma cour. Mais je connais les réponses aux questions importantes. Je sais qui nous sommes, pourquoi nous sommes là, comment nous avons atterri ici, et ce que nous devons faire pour apporter des changements importants dans notre vie. Des réponses auxquelles tout le monde peut puiser — et beaucoup l’ont fait.

Ne vous attendriez-vous pas, après tout, à ce que l’on puisse en savoir davantage sur la vie et notre place dans l’Univers ? En savoir vraiment plus, en particulier sur ce qui vient avant et après ? Mon vécu, mes expériences, ma vie m’ont montré que c’était possible. C’est ce à quoi renvoient les « dix choses » dont je parle dans ce livre : connaître la

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vérité et, de ce fait, vaincre ses craintes et créer consciemment. C’est ce que les morts,