Pour la dernière série de la saison 1 de Plaff, j’ai rencontré des femmes qui portent un message de confiance en la vie. Des femmes qui ont accumulé des expériences humaines, professionnelles, relationnelles, acquises au gré des difficultés et joies qu’elles ont rencontrées.
Des femmes pas célèbres, à la parole juste et équilibrée, ni trop modestes, ni
prétentieuses, des femmes qui méritent tant d’être écoutées. Avec des convictions forgées sur l’enclume de ce qu’elles ont pu vivre. 
 
C’est Pascale qui démarre le premier épisode de cette série, Pascale, qui - écrit-elle - « cumule les handicaps "Je suis une Femme, 55 ans, veuve, sans activité professionnelle depuis 18 ans ».
Retour à la case départ quand tout s’effondre autour d’elle.
Quatre ans plus tard, elle raconte le chemin parcouru qui ressemble à l’ascension d’une montagne qu’elle n’a pas fini de gravir. Elle vit avec son fils âgé de 22 ans, est entourée d’amis fidèles, cumule plusieurs activités professionnelles et entretient son réseau sur LinkedIn.  
Quels ont été ses atouts ? Son fils, prioritairement. Après une période d’immense solitude, des belles rencontres sur LinkedIn, parmi lesquelles Genséric qui l’a embauchée dans son agence de notation du risque. Beaucoup d’investissement dans ses nouvelles activités professionnelles. Et enfin, la conviction que « la vie est
plus forte que tout ».