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Les aventures de Zenzouilli
Les aventures de Zenzouilli
Les aventures de Zenzouilli
Livre électronique174 pages2 heures

Les aventures de Zenzouilli

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À propos de ce livre électronique

À travers cette histoire, je voudrais vous enseigner que dans la vie, vous devez avoir la bonne conscience de la personne que vous êtes en réalité. 

Parfois, nous avons  trop misé sur nos différences, cependant, nous n'avons pas la science d'apprendre que chacun a été créé d'une gène différent ; car, chacun de nous, ce n'est pas la couleur qui nous différencie, plutôt, l'âme que nous nous portons dans notre corps qui ne sera jamais pareil aux autres. 

Je voudrais également souligner que, dans cette histoire, vous devez savoir que certaines fois quand on se fait des efforts et qu'on se bat pour quelque chose, quelque chose beaucoup plus grand vous attendent et ceci, grâce à votre courage et votre confiance en soi ( c'est-à-dire, être confiant de vous-même.) 

Au mont d'Elros, dont, la montagne de Dieu, se couchait un grand château où une règne dominante à voulu naître sur toutes les nations. 

Heureusement, le premier envoyé des Avatars dans ce monde avait été choisi pour lever ce grand défi, le premier. 

Il était difficile pour lui se savoir sa vrai place dans ce monde et de connaître son vrai identité.

LangueFrançais
Date de sortie4 mai 2024
ISBN9791513245514
Les aventures de Zenzouilli
Auteur

Ulysse Steevens Esaïe

I'll s'agit d'un auteur très authentique, qualifié de détenteur de plusieurs œuvres littéraires et également s'est adapté à la créativité. Il est élégant, passionné de l'écriture et surtout, il possède une qualité très particulier.  L'auteur est un homme pensif et il a eu une carrière dans le domaine de l'éducation.  Ulysse Steevens Esaïe dit thomgiver, est porteur de certains projets visant à améliorer l'ambiance de la créativité.  En conclusion, il travaille pour plaire à tous ceux qui lui font confiance et poursuit son destin. 

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    Aperçu du livre

    Les aventures de Zenzouilli - Ulysse Steevens Esaïe

    « Sous les brouillards »

    Il était une fois, sous le calme du silence osé, des cris d'oiseaux qui faisaient leur solo, où se partageaient les chansons de la forêt à l'escalade des chaînes montagneuses, un petit voyageur marchant seul, unique, sans se plaindre, traînant derrière lui une petite roulotte qu'il avait conçue pour ce voyage.

    Il ne se sentait pas trop confortable dans sa peau, mais il avait compris qu'être différent dans un monde où tout se ressemble lui paraissait logique.

    Enfin, il s'arrête près d'un rocher, d'un soif qui l'avait constamment dépasser mais se résigne pour ne pas passer la nuit n’importe où. Son petit bonnet bleu, tel le reflet du ciel, qu'il portait sur sa tête tout comme sa teinture qui lui rendait magique aux yeux de chaque animal qu'il avait rencontré sur son chemin.

    Tranquillement, il accroche la corde de sa roulotte à un tronc d'arbre mort, saisit son petit paquet qui contenait un récipient d'eau, qu'il préférait garder près de lui pour ne pas trop s'attarder malgré la réserve à l'intérieur, ensuite, il buvait quelques gorgées en profitant de cette petite pause de tranquillité.

    Après cela, il s'empara pour aller décrocher le cordon, mais à cet instant, il faisait très froid et la montagne était bien entourée de brouillard. Quand il vit cela, il commença à trembler de froid et à se décourager petit à petit ; cependant, il découvrit sous le rocher une grotte ! Ou peut-être une caverne ! Il se demandait s'il devrait tenter sa chance ou reprendre son chemin, mais là encore il commençait à faire nuit et le froid persistait comme un animal qui dévorait.

    Alors, il obéit à sa petite voix intérieure qui lui persistait à attendre quelques jours après la diminution du froid.

    Quand il fut rentré dans la grotte, abandonnant sa petite roulotte à l'extérieur pour faire un état des lieux avant de pouvoir prendre ses bagages, il prit sa torche qu'il alluma en se tenant debout à l'entrée. Poooo ! soupira-t-il en rentrant à l'intérieur.

    De telles frayeurs se trouvaient dans cette grotte, mais qu'à cet instant, la peur ne l'atteignit même pas, grâce avec de la confiance qu’il avait en lui-même. Il tremblait de froid, mais, se résigne comme s'il n'existait qu'un seul endroit dans ce monde pour se réfugier.

    Quand il s'enfonce un peu plus à l'intérieur, quelque chose craqua sous ses talons et il sursauta pour se retourner, mais il fit face à une statuette bien installée dans un de ces trous du mur. Soudain, il se retourna une nouvelle fois pour essayer de voir ce qu'il y avait sous ses pieds, et la torche penchée toucha la statuette qui s'enflamma vite et du coup ! Beaucoup de statuettes s'allumèrent l'une après l'autre.

    Voyant cela, il eut une grande peur. Les mains dans la bouche, les yeux grands ouverts. Quand il regarda par terre, il vit une peau de tortue desséchée qui ne pouvait pas écrasée par ses talons, mais, faisant un bruit quand il avait mis le pied dessus sans le savoir.

    Comme l'intérieur de la grotte était bien éclairé, il éteignit sa torche et continua à avancer dans l’idée de trouver un monstre ou quelqu'un qui était abrité dans ce trou sous les brouillards.

    Il y avait dans cette zone mystérieuse un trésor perdu à l'intérieur même de cette grotte qui avait sûrement été habitée il y a des années, a-t-il réfléchi.

    Ce petit homme étrange qui se demandait comment il avait pu naître si étrangement dans ce monde où presque tout se ressemble ? Il essaye de s'oublier, mais de continuer la voie de son aventure.

    À quelques pas, il y avait une table qui contenait une lampe et un morceau de papier enroulé. Et lorsqu'il prit le papier, l'ouvrit, c'était un parchemin.

    Quelqu'un a-t-il survécu ici ? demanda-t-il. Il gardait son sang-froid et cherchait un endroit à l'intérieur pour se reposer.

    Quand il se coucha sur sa petite natte, il était très fatigué, la route avait été si longue et il avait dû grimper les collines avec sa roulotte, il ferma les yeux pour somnoler.

    Un courant d'air siffla à l'intérieur, un chapeau de laine sortit des coins de la grotte jusqu'au pied de son lit. Ce chapeau n'était pas quelque chose que tout le monde pourrait porter, mais il avait choisi le chaperon qui dormait calmement et son petit bonnet bleu qu'il portait toujours mais qui finira par se remplacer.

    Le lendemain, il se réveilla sous la lumière percutante du jour qui n'éclairait qu'une partie de la grotte. Les brouillards commencèrent à se dissiper, offrant la possibilité de trouver un peu de clarté à l'intérieur.

    Quand il se leva, il fit un bâillement pour chasser la fatigue et exprimer sa faim, il fut surpris de voir ce chapeau noir qu'il n'avait pas apporté dans ses bagages. Il envoya ses yeux un peu partout et avec un frisson qui lui fit claquer des dents ; il avait des doutes quant à ce chapeau qui était au pied de son petit lit bien arrangé.

    Il avait oublié tout cauchemar durant cette nuit-là et ce chapeau lui semblait très étrange. 

    Calmement, il tira la main pour la saisir. Comme le chapeau était à quelques pas de distance, le chapeau lui-même s'est avancer vers lui comme être poussé par le vent qui l'avait sans doute emporter. Il avait un peu peur, et se défie de pouvoir le toucher, mais se résigne parce qu'il ne voulait pas le laisser pour partir là où son dessein lui allait l'emmener.

    Il prit le chapeau puis enlève son bonnet, le bonnet bleu que lui avait donné son père avant qu'il soit mourut lors d'un massacre dans ce petit village appelé : Basthène.

    C'était une petite contrée où la paix résidait au milieu d'un peuple qui vivait dans des petites cabanes et logé tout près d'un lac appelé : Pelmeridor.

    Dans ce lac, il y avait un t'as d'or et l'eau était une richesse pour le peuple Basthénien.

    Malheureusement, un ennemi de loin avait débarqué pour forcé le peuple à puisé les ressources du lac pour les envoyés chez eux. Hélas! Déposant son petit bonnet, le bonhomme bleuâtre eût cette vision et des gouttes de larmes tombèrent sur le chapeau noir qui survolait rapidement et descendit sur la tête du chaperon bleu aux yeux larmoyants.

    Comme il faisait jour, il devait sortir et continué le chemin, car il n'était pas disposé de pouvoir y rester trop longtemps à cause du froid.  Il avait reprit ses affaires, abandonnant son petit bonnet et ramène avec lui la peau du tortue qu'il avait trouvé, ainsi que la carte, sinon le parchemin qu'il avait trouvé.

    Ce parchemin avait des routes bien précises, comme il marchait selon son propre gré, il a décidé de poursuivre le parchemin afin de découvrir ce qui était caché derrière ce bout de papier blanc.

    Les brouillards étaient nombreuses, et il eut quelques minutes de marche avant de pouvoir quitter ce chemin.

    OUFF ! Il a sifflé.

    C'est stupide de pouvoir marcher sans arrêt, je crois qu'il faut que je mange quelque chose ! Il s'est dit en traînant sa petite roulotte derrière lui.

    Il avait l'air triste, triste de ne pas pouvoir trouver l'endroit confortable pour s'y réfugier.

    Seul en chemin, il cru que son pain allait manquer au bout du chemin et qu'il finira par mourir de faim.

    Heureusement, il avait décidé de suivre le parchemin, qui lui avait permis de trouver une forêt, là où il se trouvait des cerfs et quelques autres animaux bons pour son repas.

    Il avait pris son fourreau de chasse, son petit arc et ses flèches puis parti à la chasse aux cerfs. Grâce à son père qui était archer, il avait bon tir et utilisait bien ses coups sans pouvoir manquer son proie.

    Après avoir visé un cerf qui était tombé sur son coup, il avait allumé son feu et faire son repas qu'il en mangea et apporte avec lui ce qui lui avait resté.

    Au cours de route, il avait rencontré un petit hamster coincé dans un gouffre de bois et de feuilles à côté du chemin.

    Quand il s'arrêta pour lui porter secours, il entendit un bruit de craquement, quelque chose qui vient en marchant vers lui sortant dans les bois.

    Crac! Crac! Et hop! Un tigre d'une allure de chat de maison qui franchit les parages et sauta par devant lui tout en grinçant ses dents de chasse.  Il avait peur, et sa curiosité était bien plus grande que celle de la grotte ; il fit un coup d'œil sur le petit hamster coincé et siffle sa tristesse, et lui, il s'était replié sur lui-même en se voyant face à cette situation.

    Heureusement, son petit chapeau survolait d'un coup de vent qui s'élevait là où il sa frayeur lui pesait comme un poids surhumain.

    Le chapeau noir passa au-dessus de la tête de son ennemi et poussa un coup de chaleur surnaturel qui chasse le diable et le pousse à fuir désemparé de son proie.

    Le chapeau noir se redressa et descend sur sa tête comme s'il l'avait déposé lui-même. Le petit Chaperon bleu étonné ! Avait enlevé son chapeau et il se disait qu'il avait trouvé un chapeau magique et il avait sourit en le remettant sur sa tête d'une fierté.

    Le petit Chaperon laissant sa roulotte, il allait vers le petit hamster coincé et le délivre avec son petit couteau.

    Le petit animal couru et s'échappe rapidement au milieu de la forêt, puis, le petit chaperon fit un soupir, triste, il retourne dans son chemin et le poursuivit d'un air décourager...

    « Zenzouilli et sa compagnon»

    Le jour suivant, Zenzouilli allait se mettre à l'abri du dehors. Il avait enfin trouvé l'endroit parfait pour bâtir une petite maisonnette et s'y abriter. Décidant de défaire sa roulotte, il s'était rendu dans les bois pour aller chercher d'arbres mortes ou du bois pour bâtir sa maison.

    En son troisième voyage aux milieu des arbres, il avait trouvé quelque chose de bizarre voir même mystérieuse à ses yeux.

    Il cru être tomber sur le plus grand arbre de la forêt, un arbre géant qui ressemblait au Mapou comme on le nomme de nom commun. Le bonhomme bleu ferma les yeux et les rouvrit pour être plus concret à sa découverte.

    Delà, son grand couteau à la main, il avait ralenti sur ses pas en s'approchant lentement vers l'arbre qui résidait dans un lieu de silence. Pas de oiseaux, ni sauterelles! Même pas le vent ! C'était incroyable !

    Quand il était arrivé par devant l'arbre, son silence s'éteint et un cri de rire sortait au milieu de ses feuillages. Ce genre de cri ou de rire qu'il avait l'habitude d'entendre quand il sortait dans la prairie du village où il y vivait avec sa famille. D'un frémissement, Il eut peur, mais simplement pour un instant seulement.

    Il fit un regard en haut pour voir s'il y avait quelqu'un qui était caché dans les branches, mais n'en avait trouvé aucun.

    Il tendit sa main vers l'arbre et le frappa doucement.

    Pouf! Quelque chose se déclencha, et une porte s'était ouverte en bon milieu du tronc de l'arbre qui se tenait devant lui.

    Quand la porte s'ouvrit devant lui, il devait s'assurer d'être sous ses garde avant de vouloir faire quelques pas pour voir ce qu'il y avait de l'intérieur. Mais il reste encore éveillé et plein de frayeur.

    Héo! Dit-il en approchant calmement.

    — il y a quelqu'un ? Il a demandé à haute voix, tout tremblant, mais personne ne répond.

    Comme le temps était sombre, il paraissait que la nuit avait fait son nid à l'intérieur de l'arbre.

    Une fois dedans, la porte s'est vite refermer et des torches étaient allumés pareils aux étoiles du ciel qui éclaire leur propre sentier.

    Un hamster sortit au milieu de nul part, se tenait devant lui en le regardant paisiblement.

    Quand il fut rentré dans l'arbre habité, il voyait des choses comme s'il s'agissait d'une maison naturelle.

    Une table et des chaises bien arrangées, pourtant, il y avait des verre cassés par terre, semblerait-il qu'il y avait du grabuge entre deux ou plusieurs personnes habitants cette mystérieuse maison surnaturelle. Il faisait clair, comme la parfaite couleur de l'extérieur.

    Soudainement, il entendu un

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