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La Septième Marque: La Saga des Secrets Cachés
La Septième Marque: La Saga des Secrets Cachés
La Septième Marque: La Saga des Secrets Cachés
Livre électronique177 pages2 heures

La Septième Marque: La Saga des Secrets Cachés

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À propos de ce livre électronique

À l'instar de la plupart des adolescents, Rouge cherche à comprendre qui elle est et ce qu'elle veut devenir. Avec peu d'informations sur son passé, elle a des questions auxquelles elle n'a jamais tenté de répondre. Tout bascule lorsqu'elle se lie d'amitié avec une famille étrangement captivante. Les frères et sœurs, Grace et Michael, semblent détenir des secrets liés à Rouge, une intuition confirmée par un incident tragique lors d'une fête en plein air. Rouge pourrait bien être la seule à pouvoir trouver la réponse.

Un ancien journal, un collier Sioghra et une marque spéciale la contraignent à prendre des décisions qui bouleverseront sa vie, elle qui a grandi sans être préparée à se battre, que ce soit pour sa propre vie ou celle des autres.

Tous les secrets ont un prix, et la détermination de Rouge à découvrir la vérité ne peut que la conduire à des ennuis... ou à quelque chose de plus sinistre encore.

*Avertissement : Des loups-garous sont présents dans cette histoire... et ils ne sont pas amicaux. *

**Avertissement n°2 : Ce livre se conclura par un cliffhanger. Le deuxième tome reprendra là où le premier s’arrête. **

LangueFrançais
ÉditeurBadPress
Date de sortie31 janv. 2024
ISBN9781667469072
La Septième Marque: La Saga des Secrets Cachés
Auteur

W.J. May

About W.J. May Welcome to USA TODAY BESTSELLING author W.J. May's Page! SIGN UP for W.J. May's Newsletter to find out about new releases, updates, cover reveals and even freebies! http://eepurl.com/97aYf   Website: http://www.wjmaybooks.com Facebook:  http://www.facebook.com/pages/Author-WJ-May-FAN-PAGE/141170442608149?ref=hl *Please feel free to connect with me and share your comments. I love connecting with my readers.* W.J. May grew up in the fruit belt of Ontario. Crazy-happy childhood, she always has had a vivid imagination and loads of energy. After her father passed away in 2008, from a six-year battle with cancer (which she still believes he won the fight against), she began to write again. A passion she'd loved for years, but realized life was too short to keep putting it off. She is a writer of Young Adult, Fantasy Fiction and where ever else her little muses take her.

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    Aperçu du livre

    La Septième Marque - W.J. May

    La Septième Marque

    W.J. May

    ––––––––

    Traduit par Chloé CARDOSO 

    La Septième Marque

    Écrit Par W.J. May

    Copyright © 2024 W.J. May

    Tous droits réservés

    Distribué par Babelcube, Inc.

    www.babelcube.com

    Traduit par Chloé CARDOSO

    Babelcube Books et Babelcube sont des marques déposées de Babelcube Inc.

    La Septième Marque

    La Saga des Secrets Cachés

    Partie 1

    Tome I

    Par

    W. J. May

    @copyright 2024 French by W. J. May

    A person in a white dress next to a wolf Description automatically generated

    La Saga des Secrets Cachés :

    Téléchargez GRATUITEMENT la Septième Marque Partie 1

    La Septième Marque partie 2

    Marquée par le Destin

    Contrainte

    À paraître en 2015

    Découvrez la bande-annonce du livre sur : http://www.youtube.com/watch?v=Y-_vVYC1gvo

    Visitez le site web : http://www.wjmaybooks.com

    Rejoignez la page Facebook :

    https://www.facebook.com/pages/Author-WJ-May-FAN-PAGE/141170442608149

    ––––––––

    Une image contenant texte, fille, poupée, Visage humain Description générée automatiquement

    Table of Contents

    Résumé du livre:

    Remerciements

    Chapitre 1

    Chapitre 2

    Chapitre 3

    Chapitre 4

    Chapitre 5

    Chapitre 6

    Chapitre 7

    Chapitre 8

    Chapitre 9

    Images translation and Books titles translation

    Résumé du livre :

    À l'instar de la plupart des adolescents, Rouge cherche à comprendre qui elle est et ce qu'elle veut devenir. Avec peu d'informations sur son passé, elle a des questions auxquelles elle n'a jamais tenté de répondre. Tout bascule lorsqu'elle se lie d'amitié avec une famille étrangement captivante. Les frères et sœurs, Grace et Michael, semblent détenir des secrets liés à Rouge, une intuition confirmée par un incident tragique lors d'une fête en plein air. Rouge pourrait bien être la seule à pouvoir trouver la réponse.

    Un ancien journal, un collier Sioghra et une marque spéciale la contraignent à prendre des décisions qui bouleverseront sa vie, elle qui a grandi sans être préparée à se battre, que ce soit pour sa propre vie ou celle des autres.

    Tous les secrets ont un prix, et la détermination de Rouge à découvrir la vérité ne peut que la conduire à des ennuis... ou à quelque chose de plus sinistre encore.

    *Avertissement : Des loups-garous sont présents dans cette histoire... et ils ne sont pas amicaux. *

    **Avertissement n°2 : Ce livre se conclura par un cliffhanger. Le deuxième tome reprendra là où le premier s’arrête. **

    Remerciements

    À mon mari et à mes enfants - Je vous aime avec toutes nos excentricités. Je ne changerai ça pour rien au monde !

    Des remerciements chaleureux - avec des sauts de joie, des gestes enthousiastes et des cris à tue-tête - vont à :

    Kellie Dennis de Book Cover by Design, dont le talent pour créer des couvertures me laisse sans voix. Merci encore !

    Chrissy Peebles, une excellente compagne d'écriture, toujours disponible et prête à aider. Merci de m'avoir poussée à concrétiser cette histoire, je ne l'aurais jamais fait sans toi.

    Regina Mitchell, une éditrice formidable, je me demande toujours comment elle parvient à éditer aussi rapidement.

    Et par-dessus tout, à mon Seigneur et Sauveur qui m'a dotée de cette imagination débordante.

    Chapitre 1

    Les écouteurs bien enfoncés dans mes oreilles, je montais le volume de mon iPod et démarrais ma playlist d'exercices. Traversant d'un pas alerte l'allée de gravier, je me suis dirigée vers les derniers éclats du crépuscule. Ah, si seulement je pouvais dessiner ou peindre...

    Je franchissais une intersection et pris à gauche, laissant derrière moi les modestes demeures, les cours décrépites, les portes fissurées et les voitures vieillottes, pour m'aventurer dans un quartier aux demeures plus imposantes. Les pelouses s'étendaient davantage le long du trottoir, et les maisons s'éloignaient les unes des autres. Peut-être qu’un jour je pourrai acheter une maison dans un endroit comme celui-ci. Je ris à cette pensée.

    Même si je ne l’avouerais jamais à qui que ce soit, une partie de moi est maudite. Comme un poison circulant dans mes veines. J'ai toujours eu la conviction qu'il finirait par me rattraper. Les raisons et les moyens m'échappaient, mais au plus profond de moi, cela semblait inévitable.

    Sauf que désormais, le destin a pris les rênes, pour une fois dans ma vie, Dieu merci. Sans cette intervention, je ne serais pas là, dans ce lieu extraordinaire de l'autre côté du pays. Cette malédiction n’existait probablement que dans mon esprit.

    Je fixais droit devant moi, entre les arbres anciens et géants qui bordaient les rues. Les sommets dentelés, teintés de rose et de blanc, reflétaient la neige du soleil couchant, me faisant apprécier la splendeur de la nature. Côte ouest, oh yeah ! Je souris, débordante d’excitation. J'avais passé toute ma vie à Niagara Falls, mais cette scène, aucun mot ne pourrait la décrire.

    Inhalant l'authentique parfum de pin, bien loin des effluves de produits de nettoyage des deux derniers jours, je savourais l'instant. Si les Services à la famille et à l'enfance n'avaient pas donné leur approbation à la requête de Jim et Sally, je n'aurais jamais contemplé de véritables montagnes pour la première fois.

    En janvier prochain, j’aurai dix-huit ans, mettant ainsi fin à la possibilité de bénéficier de l'aide gouvernementale. Jim et Sally, mes parents d'accueil dévoués mais financièrement limités, ont clairement signifié leur incapacité à soutenir mes études universitaires. J'ai accéléré le pas, évitant de penser à ce que l'année à venir pourrait me réserver.

    Tu seras seule... sans famille. Rien. Indésirable à nouveau. Le petit diable imaginaire sur mon épaule gauche se moquait cruellement de ma situation.

    La musique, assourdissante, répétait : « Tu es censé être seul. Seul... seul... seul... » Je chassai le diable invisible, heurtant de peu le vieux mur de pierre qui délimitait le quartier. Je repris mon équilibre et sorti l'iPod de ma poche pour passer à la chanson suivante.

    Les lampadaires s'illuminèrent. Mes yeux s'ajustèrent naturellement à l'obscurité. Il serait peut-être sage de rebrousser chemin avant que la nuit ne tombe complètement, pour ne pas m'aventurer seule dans cette région inconnue.

    Une brèche dans le mur éveilla ma curiosité. Je cédai à cette dernière et poursuivis mon chemin. Je vis l’entrée d'un parc public, encadrée par d'imposantes grilles de fer noir. Un jardin surélevé, séparant la route en deux, attira mon regard.

    Une plaque discrète, incrustée dans le mur en pierre du jardin, me fit sourire. « La Fin d'une Époque ». Les pierres émergeant derrière les fleurs confirmaient qu'il s'agissait d'un cimetière, et non d'un simple parc. Le propriétaire, manifestement doté d'un sacré sens de l'humour, avait créé un lieu de repos accueillant. Une jeune femme en rollers passa devant moi en me saluant joyeusement.

    Les sentiers étaient éclairés par ces nouvelles lumières solaires à énergie verte. J'ai emprunté la première allée le long de la bordure extérieure et j’ai ralenti mon rythme. Les imposantes pierres tombales en ardoise et en marbre se dressaient à gauche, tandis qu'une forêt ancienne bordait la droite. En courant, j'ai traversé une partie du cimetière qui devait être la parcelle d'origine, avec des pierres usées. Je me suis arrêté et j'ai zigzagué pour en lire quelques-unes : « 1886 John Hartzel - 18 ans, 1892 Patrick O’Reilly - mort trop jeune, Tammy Fortune 1802-1822. » Qu'est-ce qui se passe ici ? On ne dépasse pas les trente ans ?

    Les yeux plissés, j'ai couru plus près d'une pierre tombale surélevée avec un ange en béton posé dessus. J’ai utilisé la main qui tenait mon iPod, pour me stabiliser en m’appuyant sur le coin de la pierre. Je me suis penchée en avant pour mieux voir l'inscription. La pauvre était du même âge que les autres. Je me suis redressée. Le cordon de mon iPod a accroché la tête de l'ange, arrachant les écouteurs de mes oreilles - l'iPod a volé de ma main.

    « Zut ! » J'ai glissé pour m'arrêter sur l'herbe humide et j'ai utilisé mes paumes pour protéger mes oreilles. Ça faisait un mal de chien. J'ai levé les yeux vers la figurine de pierre en grimaçant. Imaginez-vous essayer de décapiter un ange. Les gens devaient probablement se retourner dans leurs tombes en ce moment.

    Double zut ! Mon iPod. Il vaudrait mieux qu'il ne soit pas cassé. La nuit était complètement tombée, ce qui n'était pas à mon avantage. Je me suis mis à genoux et ai commencé à tâtonner dans l'obscurité, essayant vainement de balayer l'herbe. Les petites lampes solaires étaient inutiles. « Bien sûr, il a fallu que j'achète la coque noire, » marmonnai-je en secouant la tête tout en me penchant pour vérifier sous un banc voisin. Des toiles d'araignée effleuraient mon visage, et je me secouai pour essayer de chasser d'éventuelles araignées et enlever les toiles.

    Un craquement de brindille, suivi d'un rire étouffé.

    Je me suis figée, attendant, tendue, la tête penchée sur le côté. C'était mortellement calme. Comme ça devrait l'être dans un cimetière. Pas de bruit. Pas un son.

    « Idiote. » Je me suis relevé du dessous du banc, me suis assise et j’ai épousseté mon sweat-shirt. Ça avait pris des mois pour économiser pour cet iPod. Je me suis accroupi pour chercher de nouveau, griffant des morceaux d'herbe. Je ne partirai pas tant que je ne l'aurai pas trouvé, même si je dois avaler des araignées poilues et répugnantes.

    « Tu as perdu quelque chose ? » Une voix grave et rauque perça l'obscurité. « Ou tu creuses ta propre tombe ? »

    Chapitre 2

    Mon cœur a bondi dans ma gorge. Je me suis cogné la tête sous le banc. « Zut ! » Je me suis précipité en arrière, frottant l'endroit endolori, paranoïaque à l'idée de savoir à quel point mes fesses étaient exposées en l'air. C’était bien ma veine. Il s'agissait probablement d'un violeur qui traine dans les cimetières.

    L'inconnu n'a rien dit. Tout ce que je distinguais, c'était la silhouette d'une paire de Converse sombres avec du blanc. J’inhalais bruyamment, ne réalisant pas que je retenais ma respiration.

    « Désolé, » dit la voix masculine et rauque, d'un ton amusé. « Je n'avais pas l'intention de te faire sursauter. Ce n'est sans doute pas l'endroit idéal pour surprendre quelqu'un. » Il toussa. « Tu cherches quelque chose ? »

    Sa voix se fit douce, mais masculine. Pas le genre de voix qu'on s'attend à entendre dans un cimetière.

    Encore une fois, à quel genre de voix devrait-on s’attendre ?

    J'ai levé les yeux puis suis retombé sur les fesses. Un garçon se tenait à quelques pieds de moi, clairement hors de propos dans un cimetière. Trop bronzé, trop blond, trop... waouh, canon.

    Particulièrement grand, surtout depuis ma position assise. J'ai dû me forcer à détourner le regard de son visage. Même dans l'obscurité, ses yeux bleus ressortaient à la lumière de la lune. Ses cheveux, aussi blonds que ceux d'un Viking.

    Pas un psychopathe ni un kidnappeur, simplement un jeune comme moi. Je me suis détendue et me suis relevée en brossant mon short. Pourquoi es-tu dans le cimetière ? Je n'ai même pas pris la peine de demander. Il devait se poser la même question à mon sujet. Avec ma veine, il venait probablement de visiter la tombe de sa petite amie. Oh, je suis affreuse.

    J'ai rapidement fermé ma bouche, restée entrouverte. En toussant, j'ai parlé un peu trop fort. « J'ai... j'ai perdu mon iPod. »

    Son rire éclata de nouveau, semblant tout droit sorti d'un film. Le garçon digne d’Hollywood a marché autour de moi et s'est dirigé derrière l'ange de pierre. Il s'est penché derrière et a tiré sur une longue corde blanche. Mes yeux se sont écarquillés, et pendant une fraction de

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