Découvrez des millions d'e-books, de livres audio et bien plus encore avec un essai gratuit

Seulement $11.99/mois après la période d'essai. Annulez à tout moment.

Mémoires d'un libertin
Mémoires d'un libertin
Mémoires d'un libertin
Livre électronique210 pages3 heures

Mémoires d'un libertin

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

De Nantes à Paris le narrateur expérimente diverses pratiques sexuelles. Les femmes auxquelles il s’associe sont des prostituées en majorité bien qu’il y’ai quelques expériences libertine. L’ambiance hivernale dans laquelle baigne le roman est un contrepoids à la chaleur humaine qui règne dans ses récits. Cette sexualité à deux ou multiple librement assumée forme la trame de fond où les corps s’associent entre eux sans le moindre interdit.


À PROPOS DE L'AUTEUR


Fanch le Livec naquit à Nantes où il vit la nuit en 83…
Il a participé durant son adolescence à quelques gang-bang.
Il est spécialisé dans les espaces verts où il a réalisé des études. Il a travaillé dans des domaines variés (Hôpitaux, Intérim et comme responsable adjoint des cultures dans deux multinationales près de Paris).


LangueFrançais
ÉditeurÔ Plaisir
Date de sortie1 mars 2023
ISBN9782493845931
Mémoires d'un libertin

Auteurs associés

Lié à Mémoires d'un libertin

Livres électroniques liés

Romance pour vous

Voir plus

Articles associés

Catégories liées

Avis sur Mémoires d'un libertin

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    Mémoires d'un libertin - Fanch Le Livec

    Mémoires d’un libertin

    Fanch Le Livec

    De Nantes à Paris le narrateur expérimente diverses pratiques sexuelles. Les femmes  auxquelles il s’associe sont des prostituées en majorité bien qu’il y’ai quelques expériences libertine. L’ambiance hivernale dans laquelle baigne le roman est un contrepoids à la chaleur humaine qui règne dans ses récits. Cette sexualité à deux ou multiple librement assumée forme la trame de fond où les corps s’associent entre eux sans le moindre interdit.

    ROMAN X

    Célibataire depuis 35 ans, Fanch Le Livec, naquit à Nantes en 1983 et vit actuellement à Pornic chez sa mère. Il fait un séjour en 2009 à une vingtaine de kilomètres de l’île de France à Pithiviers. Fils unique, de famille monoparentale issue du milieu médical, il a suivi des études dans le milieu végétal et travaillé dans de nombreux petits boulots essentiellement comme manœuvre (travaux publics, technicien agricole, agent intérimaire…). Mac Orlan, Bataille, Noël, Flaubert, Deforges, Némirovsky, Zweig…Comptent parmi ses écrivains favoris.

    Il a partagé une correspondance avec Jean Claude Pirotte.

    Je naquis le quatorze Mai 83 à Nantes à deux heures et demie du matin. Après que les examens post-natals aient été jugés normaux, je partis vivre au sein de l’asile psychiatrique de Pompiétin où vivaient mes parents. C’était un logement d’amour dont la chambre que j’occupais avait une tapisserie qui représentait des papillons blancs sur fond rouge. Mon père était alors interne en psychiatrie et occupait avec ma mère ; les locaux du personnel situés à même l’enceinte de l’asile. Peu de temps après ma venue, le couple divorça, le 7 octobre 1987 par consentement mutuel comme cela était à la mode. Le juge chargé de l’affaire attribua la garde à ma mère. Mon père déménagea pour partir dans un autre hôpital : Monbert et ne s’occupait de moi, qu’un week-end sur deux. Ma mère dut alors revenir provisoirement au domicile de ses parents car en effet elle n’avait pas de travail et avec moi à charge, elle ne pouvait se permettre de se payer un logement. Ce fut Josué, mon grand père qui lui en attribua, un. L’immeuble se situait à Orvault la commune voisine de Nantes et faisait face, au jardin public. En même temps on m’inscrivit à l’école du bois Saint Louis à Orvault.

    Peu à peu, je découvris la vie communautaire sans réel enthousiasme. Je fus et je reste d’un naturel peureux et solitaire. La compagnie d’être semblables à moi et le bruit ; trop de bruit m’effraie alors lors des récrées, je restais souvent seul dans mon coin à rêvasser, n’aimant me mélanger à la cohorte bruyante des autres écoliers et lorsque je n’étais pas en cours, mes longues promenades solitaires au parc de la Godinière me comblaient (il est d’autant plus déroutant de constater que cet isolement s’accroît, au fil des années de ma vie alors que ce devrait être l’inverse en principe).

    C’était un gigantesque espace vert au relief sculpté par le Cens ; la rivière locale. Un manoir de style flamand avait élu domicile dans sa partie culminante. Une battisse dont les hauts murs étaient de briques rouges avec une rotonde au milieu : un très bel édifice ! Dans la partie basse, un lac étirait ses eaux frileuses entre les deux berges en pelouse où s’ébattaient des cygnes qui ont récemment disparus. J’appris que le gardien qui avait la charge de les nourrir s’était suicidé au printemps dernier. On avait retrouvé son corps pendu entrain de sécher tel un saucisson au plafond de sa cave. Il n’était pas prévu de lui trouver un successeur. Les crédits diminuant, la municipalité décida de faire appel à des intérimaires pour l’ouverture et la fermeture quotidienne du jardin. Quant aux cygnes, un projet prévoyait de les expédier dans un zoo américain spécialisé dans la prise en charge de cette espèce. Malheureusement l’étude économique commanditée par la mairie qui s’en suivit montra que ce projet était trop onéreux. Une seconde option consistait à relâcher les cygnes au milieu d’une réserve naturelle. Il fut lui aussi jugé peu fiable de la part des ornithologues, interrogés car le cygne une fois sorti de son cadre habituel dépérit rapidement. On envisagea alors la troisième et ultime solution : l’euthanasie !

    Quant au cadavre du gardien, il repose désormais en paix sous la terre du cimetière des hauts pavés. Parfois un proche arrive marche jusqu’à l’édifice de marbre y dépose une gerbe de fleur et repart. Souvent ce sont des chrysanthèmes cette espèce particulière dédiée aux morts. Cela n’à rien à voir avec les fleurs sauvage et rouges qui poussent dans ce genre d’endroit tels les coquelicots. Les fossoyeurs qui pensent que tout ce qui est naturel est une pure saloperie et qui dépensent le modeste budget alloué aux morts en épandage de glyphosate pour avoir des allées les plus propres que possible ont raison.

    Cela évitera qu’un jour, un étourdi s’y penche et en ramasse un brin pour l’offrir à une femme car d’un geste apparemment anodin découlera tout un cataclysme existentiel. Cela commencera par un sourire, et de ce sourire naîtra une union. Après ce sera des enfants, une demande en mariage où le cas échéant : un divorce…D’ailleurs je n’ai jamais compris cette attitude purement féminine de désirer des enfants dans un monde où il ni y’à plus aucune raison d’en avoir vu le prix de la nourriture….

    Quand, j’étais petit, je ne m’intéressais pas aux femmes ni aux gens à vrai dire. Je m’intéressais surtout aux choses qui à cette époque n’étaient pas forcément liées aux objets. Mes parents se sont divorcés alors que j’étais un très jeune enfant. J’ai toujours vécu chez ma mère sauf à de très rares exceptions ou j’ai pu me trouver un logement lorsque je travaillais en CDD près de Paris. Sinon, j’ai échoué beaucoup de choses dans ma vie mais ma plus grande déception ce fut avec les femmes car je n’ai jusqu’à mes quarante ans ; passé aucune nuit avec une femme quand certains passent leur temps à faire l’amour dans leur grand lit nuptial entre les draps qui sentent la fraîcheur et l’amour breton. Et, le pire c’est que je suis d’un naturel nymphomane. Je m’entends bien avec les prostituées qui selon moi sont de grandes femmes. On peut dire qu’elles ne manquent d’aucune douceur comparées à certaines. Je vous en parlerais bien mais dans un premier temps j’évoquerais certainement mon enfance que je vécus auprès de ma mère et à raison d’un week-end sur deux chez mon père. Je vivais, la vie d’un petit citadin qui débordait de ressources à cette époque-là où se trouvait la France. Car à cette époque-là ; c’était Noël tout les jours où presque ! Chaque matin au moment de partir en classe, je prenais un de ces bus comme on n’en trouve plus désormais. Il s’agissait d’un bus en double partie. En effet ; la partie avant ce désolidarisait de celle de derrière et permettait ainsi une extension de la charge de passagers transportés. Déjà de part ce type de transport ; mon éducation était lancée. Je ne monterais pas à bord d’un de ces affreux bus jaune du ramassage scolaire tel qu’on trouve dans les campagnes où les enfants sont assit sagement les uns aux côtés des autres sans qu’il ni y’ait de possibilité d’interaction alors que dans le bus que je prenais ; les corps se trouvaient fusionnés les uns aux autres. Mais comme dans toute société chrétienne ; les attouchements étaient proscrits. Je me souviens d’une jeunesse heureuse entourée d’objets et de jeux mais triste tout de même comme j’étais fils unique et que la vie citadine ne favorise pas le mélange des consciences et encore moins celui des corps. Je ne disposais d’aucune femme aimant hormis ma mère, en comparaison de certains bourgeois de Paris qui délèguent ce rôle à une « bonne ». Mais à cette époque, les classes moyennes jouissaient d’une prestigieuse aura et d’un niveau de vie élevé ; elles pouvaient se payer des tas de choses pour ce divertir ; Luna park, séances de cinéma, discothèques... C’était le grand charivari du divertissement ! Je me souviens qu’à l’orée du printemps ; de nombreux carnavals et festivals pour enfant étaient organisés dans toute l’agglomération rendant les bambins moins compressés que leurs homologues parisiens autour des magasins, livres et cinéma. J’étais un être dilué et cette dilution ne m’a jamais laissée tombée. Je suis plutôt proche d’une femme que d’un homme m’a t-on souvent reproché et plutôt que de m’orienter vers une voie citadine qui m’aurait plu ma mère à préféré m’orienter vers un BTA plutôt qu’un bac traditionnel où du reste je ne sais pas si j’avais les compétences intellectuelles pour suivre une filière traditionnelle. J’ai donc glissé vers un univers « matcho » plutôt que de me diriger vers un milieu entouré de femmes pour lesquelles à l’époque, j’étais comme tout jeune homme vigoureux plutôt indifférent. Conséquence, j’ai assez peu fait l’amour comparé à un couple de ruraux même si j’étais amené à les côtoyer. En fait afin d’obtenir du sexe avec une femme deux options se présentaient à moi; « aller aux putes » ou bien dans un club libertin et j’ai bien entendu décidé d’expérimenter les deux voies qui s’offraient à moi.

    Je m’étais alors replié sur un club libertin n’offrant pas d’avantage d’expérience dans la sexualité que les putes pourtant c’est dans ce lieu qu’eut lieu mon dépucelage ; la première prostituée s’étant seulement contentée de me sucer.

    En ce temps là, nous vivions ma mère et moi dans l’un de ses lotissements construits au rond point de Rennes à côté du terminus et du centre commercial, le long d’un talweg. Le lotissement avait été construit dans le début des années quatre-vingt dix ; âge d’or de la France au niveau socio-économique. Tout autour s’érigeait la citée HLM ; le Chêne des Anglais dont les bâtiments de forme carrés se dressent autour de parkings aux places nombreuses et étroites. Chaque samedi après midi, je sortais souvent faire un tour au centre ville. Pour une fois, je ne prenais aucun cartable sur le dos et étais libre d’aller où bon me semblait. Je rejoignais alors l’arrêt du Cardos (qui signifie le Nord en latin) qui se trouve à la sortie de l’échangeur avec l’autoroute. Après avoir acheté des tickets au distributeur automatique, je montais à l’intérieur du tram qui ralentissait en couinant sur ses roues en métal à l’approche de la station. Je m’asseyais alors sur un siège qui se trouvait près de la porte de sortie et observais à travers la vitre rayée et taguée, le paysage défiler. C’était mon vingt-deuxième printemps et une chaleur étouffante régnait à bord des wagons malgré que toutes les vitres fussent descendues ce qui permettait de faire entrer de l’air quand le train se déplaçait. Du reste, j’ai toujours préféré le tramway au métro comme mode de déplacement car on à l’impression de moins étouffer. Il se déployait lentement le long de ses rails et amorçait une large courbe à Côté du pénitencier. Puis, il longeait l’un des côtés du Chêne des Anglais alors que de l’autre; il y’avait la médiathèque où j’allais parfois emprunter des livres et des disques de musique. Puis, il poursuivait sa course vers la Maronnerie et sa superette autour de laquelle sont implantés des citées universitaires dont les nuages et la cime des arbres viennent se refléter contre les nombreuses vitres teintées dont se composent leurs façades. Le tramway entame ensuite la traversée du campus universitaire. Il s’agit d’une vaste esplanade estudiantine située entre l’Erdre et l’hippodrome entourée de barrières blanches. Ce sont des bâtiments de béton et de verre autour desquels se tendent des carrés d’herbe parsemés d’arbres dont les cimes s’agitent mollement face à la brise estivale. Dix ans après, le paysage demeure échangé tel que moi civiquement. Même, s’ils se font plus rares à cause de la crise économique et sociale on voit encore des étudiants vêtus d’imperméables en laine monter et sortir du tramway pour se rendre à leurs cours où au RU. Certains d’eux qui sont en couples s’embrassent et se caressent de façon ostensible soit dans le tramway ou bien étendus sur les parterres autour des bâtiments. Dix ans après lorsque, je réemprunte le même trajet, des larmes viennent humecter ma mémoire et ma poitrine se serre alors qu’un spleen ; mélange de Baudelaire et de Kafka m’accapare soudain. Avant, la mort dans nos sociétés occidentales anciennement chrétiennes, la vie est parcourue d’événements qui marquent l’évolution de l’individu. La vie estudiantine y occupe une place primordiale car elle se situe entre l’enfance et idéalement le mariage ou la vie de couple. Moi, n’y ayant réussi aucun diplôme qu’à me traîner d’une promo à l’autre, je n’ai à vingt-neuf ans rencontré nulle âme sœur. Je suis tombé amoureux qu’une seule fois d’une femme, une interne lors d’une admission aux urgences suite à une violente indigestion.

    Quand, cela me pesa assez lourd sur la conscience ; je pris les devants. Ici comme ailleurs, il y’a pas mal de sex-shops. Ils se trouvent regroupés autour de la gare. Un jour d’ennui et d’infortune (je n’avais alors que le dégoût de ma solitude et de mes propres masturbations), je me rendis dans l’une de ses boutiques. Je souhaitais alors me procurer une panoplie SM ainsi qu’un catalogue où figure inscrit l’adresse des divers lieux libertins de ma ville. Le jour finit par arriver ou le cœur battant la chamade; je franchis le seuil de l’une de ses boutiques. Il y’avait derrière ses rideaux; une pièce de dimension rectangulaire. Des hommes, la plupart ayant la quarantaine voir d’avantage se trouvaient présents autour des bacs où se trouvaient rangés par ordre de genre des jaquettes de DVD classés X. La séparation se faisait par l’intermédiaire des morceaux de plastique blanc surmontés d’une inscription comme : « bourgeoises », « sodomie »...etc. Il y’avait au fond, un escalier en colimaçon délivrant l’accès vers le pipe show. Des enceintes callées sur nostalgie diffusaient une musique des années quatre-vingt. Il y’avait à proximité de l’entrée, un vendeur noir qui se trouvait derrière un présentoir. Lorsqu’il vit que j’observais, les articles accrochés au mur, il vient vers moi pour me demander si je souhaitais être guidé dans le choix d’un article. Je lui répondis que je désirais acquérir un pantalon de vinyle noir des gants de matière similaire et aussi l’annuaire des clubs échangistes locaux. Il m’escorta alors vers un décroché que faisait la pièce à droite. Des portiques avaient été installés sur lesquels se trouvaient suspendus ; les fameux pantalons. Il en décrocha un et me proposa de l’essayer. J’acceptais volontiers. Il me conduisit vers le fond de la boutique où une cabine large et spacieuse me permit de revêtir l’accoutrement. Il semblait à ma taille. Le vinyle moulait mes fesses ainsi que mon sexe. Des poches latérales permettaient d’accueillir ; les divers accessoires dont je ferais usage dans des clubs libertins tels que des préservatifs... Je l’achetais sans hésitation tout comme un tube de lubrifiant, une bouteille de bois bandé. Quant aux préservatifs, je préférais les acquérir dans une pharmacie ou un distributeur. J’achetai également l’annuaire des clubs libertins puis payai l’adition à l’aide de ma carte bancaire. Dès que le paiement fut accepté ; il déchirât le ticket de la machine et le mit à l’intérieur du sac noir à petits carreaux losangiques dorés qu’il me tendit par-dessus le comptoir. Je l’attrapais par son anse et ressortis dans la rue ; le moral apaisé. J’étais persuadé qu’à présent les choses seraient plus simples entre moi et les femmes et que si elles ne m’aimaient pas ; elles apprécieront peut-être mon vinyle.

    Je partis me promener au jardin des plantes faisant face à la gare. Je m’assis sur un banc qui se trouvait isolé du regard d’autrui et sortis du sac, le catalogue d’adresse que je lus après avoir déchiré la couverture en plastique dans laquelle on l’avait emballé. J’en parcourus les diverses pages proposant, un large éventail des clubs avec des photographies illustrant leur intérieur. Mon choix se porta sur l’un d’eux. Le soir vint et quand ma mère fut couchée, je revêtis en secret le pantalon puis j’utilisais mon véhicule pour m’y rendre. Après avoir trouvé une place où me stationner, j’en descendis puis parcourus les ultimes mètres m’en séparant. L’établissement était une maison de deux niveaux. On y entrait par l’intermédiaire d’une grille de fer forgée au-dessus de laquelle brillait une lanterne qui éclairait l’entrée puis il y’avait une porte avec une sonnette. J’attendis un instant devant le perron en prêtant l’oreille attentivement. Je percevais de l’intérieur des bruits de voix et de musique. Mon doigt atterrit sur la sonnette que j’actionnai. J’entendis un bruit de talons aiguilles venir vers moi puis la porte s’ouvrit soudainement. Dans l’entrebâillement ; j’entraperçus la silhouette d’une femme ayant la quarantaine d’années. Elle portait de hautes bottes, une minijupe et un corset de cuir. Elle ne m’autorisa pas immédiatement à entrer mais me dévisagea de bas en haut et s’attarda particulièrement sur mon vinyle. Finalement, je fus autorisé à entrer. La réception était une petite pièce. Derrière le comptoir, il y’avait une série de cintres où suspendre les vêtements surmontée d’un tableau érotique. La femme me fit encaisser l’entrée qui était de quarante euros pour un homme seul puis après avoir prit mon manteau pour le suspendre à l’un des cintres elle m’introduisit dans la salle principale qui se constituait d’un bar et d’un dancing. Il y’avait à gauche des fauteuils disposés tout le long du mur.

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1