Dans Reste un peu, son deuxième long-métrage en tant que réalisateur, on ne trouve pas le grand-père sépha-rade, ni Coco, Chouchou ou Le Blond, personnages cultes de ses seuls en scène qui ont parfois inspiré des films. Mais son questionnement sur la religion juive, son attrait pour la Vierge Marie, et les réactions stupéfaites de sa famille en apprenant son baptême prochain. Documentaire ou fiction ? Gad Elmaleh laisse planer le doute. Cette quête existentielle à la Woody Allen, véritable chemin de tolérance, donne des scènes intimes très drôles grâce, notamment, à l’intervention de ses parents.
Présentez-nous Reste un peu…
Au départ, le scénario racontait l’histoire de Joseph – mon deuxième prénom –, un écrivain de retour en France après un séjour aux États-Unis, décidé à écrire un livre sur un chemin de foi qu’il présentait comme une fiction.