Lieux interdits : Le Médecin – Une nouvelle érotique

Par Vanessa Salt

Cassandra a juste besoin de faire contrôler quelques grains de beauté à la clinique, mais elle cache un penchant particulier pour les médecins. Attirée par l'interdit que le corps médical représente, elle ne peut pas s'empêcher de provoquer le sexy médecin qui l'ausculte. Elle voudrait que ce rendez-vous ne s'arrête jamais. Mais que se passerait-il si on les surprenait ? Le beau docteur va-t-il succomber à son charme et faire fi des interdits ?Une nouvelle très « hot » de la série « Lieux interdits ».-

• Langue: Français
• Éditeur: LUST
• Date de sortie: 25 déc. 2019
• ISBN: 9788726207125

Aperçu du livre

Vanessa Salt

Lieux interdits : Le Médecin

LUST

Lieux interdits : Le Médecin

Original title :

Förbjudna platser : Läkaren

Translated by LUST

Copyright © 2018, 2019 Vanessa Salt and LUST, an imprint of SAGA, Copenhagen

All rights reserved

ISBN : 9788726207125

E-book edition, 2019

Format : EPUB 2.0

All rights reserved. No part of this publication may be reproduced, stored in a retrieval system, or transmitted, in any form or by any means without the prior written permission of the publisher, nor, be otherwise circulated in any form of binding or cover other than in which it is published and without a similar condition being imposed on the subsequent purchaser.

Lieux interdits : Le Médecin

Il n’y a qu’un tas de vieillards ici. Agrippés à leurs cannes et déambulateurs, quelques hommes âgés donnent l’impression d’avoir dépassé depuis un moment la date de péremption. Il y a des vieilles dames qui ont mauvaise haleine, d’autres des dents pourries et certaines même le menton barbu. Dernier point, et non des moindres : il y en a qui ne cessent pas de parler. Ils ont un besoin désespéré de compagnie. Ces abrutis disent « Salut » et « Comment ça va ? » à tout le monde, même à ceux qui manifestent clairement de l’indifférence. Ceux qui se cachent derrière leur téléphone envoient pourtant un signal clair ! Pour moi ça l’est en tout cas.

Puis, on ne peut pas parler comme ça à des inconnus. Pas ici à Uppsala, ni à Stockholm d’ailleurs. Ça se fait peut-être à l’étranger, mais pas ici.

 « Agda. Y a-t-il quelqu’un qui s’appelle Agda ici ? »

Une femme en blouse blanche pointe sa tête dans la salle d’attente. Elle porte des lunettes, a les cheveux courts et donne l’impression d’avoir travaillé ici trop longtemps. Peut-être eut-elle des ambitions un jour, le souhait de travailler dans un vrai hôpital, mais elle s’est ensuite encroûtée dans cette maison de retraite. J’imagine que cela arrive à plein de gens. Dieu merci, j’ai un travail de bureau qui ne m’oblige pas à regarder les fesses des