Grand-père Jean à la maison bleue

Par Leone Gabriele Rotini

IL libro "NONNO JEAN A CASA AZZURRA" apre al lettore un mondo molto vicino alle famiglie Cinesi, Italiane e di tutto il mondo civile, cioè quello relativo alle Case di Riposo per persone della terza età cosiddette AUTOSUFFICIENTI, ma che spesso per muoversi utilizzano un carrello deambulatore. Sono presenti aspetti della vita quotidiana, delle amicizie e relazioni tra loro, con le Suore che gestiscono Casa Azzurra, oltre che con i medici, gli operatori civili e i famigliari. Quest'ultimi sono fondamentali per la loro salute fisica e mentale con il loro affetto e le loro visite, che hanno l'effetto paragonabile a quello ottenuto con le terapie mediche e con una buona assistenza materiale, fisica e spirituale. Riflette la società Cinese, Italiana e di altre nazioni del mondo, perché le persone ospitate sono per la maggior parte donne, che vivono più a lungo degli uomini. Iniziano ad essere presenti anche stranieri come NONNO JEAN, segno che la società italiana è sempre più internazionale e multirazziale.

• Langue: Français
• Éditeur: Youcanprint
• Date de sortie: 16 janv. 2024
• ISBN: 9791221490923

Aperçu du livre

Chapitre 1.

Grand-père JEAN transfert à Casa Azzurra.

Mon petit-fils Alex, dix ans, un jour qu'il venait me rendre visite à Marina di Pisa à Casa Azzurra, un établissement pour personnes AUTOSUFFISANTES, a rencontré grand-père JEAN et a été frappé par sa gentillesse, à tel point qu'il l'a embrassé et caressé lui comme si c'était son petit-fils, un petit-fils mâle qu'il n'a jamais eu, alors à la fin il m'a dit : Grand-père pourquoi n'écris-tu pas un livre sur grand-père JEAN qui me semble être le grand-père idéal dont rêvent tous les petits-enfants d'avoir et alors raconte-moi comment il vit dans cette communauté de quelques grands-pères et de nombreuses grand-mères. Un si beau souhait exprimé par un garçon de dix ans envers un grand-père qu'il venait de rencontrer m'a rempli de joie et je n'ai pas pu m'empêcher de réaliser son souhait. De plus, j'ai décidé d'écrire ce livre également pour des raisons pédagogiques et sociales, ainsi que comme témoignage de la vie d'un grand-père d'origine française dans la maison de retraite italienne, de son comportement envers un enfant qu'il venait de rencontrer, de ses relations dans une communauté de presque toutes les grands-mères, quelques grands-pères, quelques jeunes filles, quelques célibataires, quelques couples présents pendant les mois d'été, tous les hôtes de Casa Azzurra, une maison de retraite pour personnes AUTOSUFFISANTES représentative de toutes les autres en Italie. L'objectif est également de faire prendre conscience à la société de la réalité des maisons de retraite, dans lesquelles sont surtout présentes les nombreuses grand-mères et quelques grands-pères de chaque Italien, et de l'importance de la proximité et de l'affection des membres de la famille qui apparaît comme l'un des éléments les plus importants. à leur santé physique et mentale, et équivaut à une bonne assistance matérielle, sanitaire et spirituelle.

Le mois d'août était sur le point de commencer et grand-père JEAN, après avoir passé presque un an à Casa Verderio, un établissement pour personnes NON AUTOSUFFISANTES, à cause d'une opération à une jambe qui gênait la marche, avait retrouvé une bonne condition physique et avait recommencé à marcher, mais avec l'aide d'un chariot de marche. Ce résultat, certainement inattendu, est dû à l'assistance médicale reçue du gériatre florentin Dr Verderio, directeur et propriétaire de l'établissement, ainsi que de son équipe d'infirmières, d'opérateurs OSS et OSA, de physiothérapeutes et de collaborateurs des différents services. Puis ma fille Louise, sachant que je déménageais de Casa Verderio à Casa Azzurra, située en bord de mer à Marina di Pisa, m'a demandé par téléphone le numéro de la supérieure Sœur Pensa, car elle voulait aussi déménager son père. En effet, le grand-père JEAN avait retrouvé une bonne condition physique et c'est pourquoi sa fille Louise souhaitait le déplacer à Casa Azzurra, à la fois pour réduire les coûts de son séjour mais surtout pour lui permettre de vivre dans un environnement plus proche de la vie quotidienne normale, avec des règles moins rigides et en compagnie d'invités moins problématiques. Ainsi, alors que j'avais déjà déménagé à Casa Azzurra, elle a téléphoné à Sœur Pensa pour lui demander s'il y avait une place disponible pour son père, et après avoir obtenu la confirmation d'une chambre libre, elle a organisé une visite à la structure pour vérifier personnellement l'emplacement, les services proposés, la qualité de vie des hôtes. Louise était pleinement satisfaite de ce qu'elle a vu à Casa Azzurra et a donc organisé le transfert de son père JEAN, qui était heureux de me rejoindre car il avait de la sympathie et de l'amitié à mon égard. Louise s'est ensuite rendue à Casa Verderio et a communiqué à la directrice Béatrice son intention de transférer son père dans un établissement pour personnes AUTOSUFFISANTES, puis un mercredi matin début août elle a pris sa voiture, s'est rendue à Casa Verderio et ici, Aidée par un opérateur, elle a préparé les bagages de son père JEAN, lui a fait saluer tous les opérateurs présents, l'a fait monter dans la voiture sur le siège à côté d'elle, a fait charger les bagages par un opérateur et est partie pour rejoindre Marina di Pisa. Quelques jours plus tôt, elle avait également eu l'occasion de saluer et de remercier le docteur Verderio pour l'excellent travail effectué pour son père et pour les résultats obtenus, lui permettant de retrouver une forme physique apte au transfert dans un établissement pour personnes AUTOSUFFISANTES comme Maison Azzurra. Au moment de son départ, grand-père JEAN était un peu ému, car il laissait derrière lui tant de personnes qui étaient ses compagnons de vie depuis environ un an et qui s'étaient occupés de lui avec professionnalisme, humanité et affection. Heureusement, rouler sur une route avec de nombreux virages l'a aidé car il a dû s'accrocher à la poignée de la porte, en faisant attention à ne pas distraire sa fille qui conduisait. Après quelques heures de voyage, ils arrivèrent à Marina di Pisa et entrèrent par la porte d'entrée arrière. JEAN eut l'occasion de voir la Casa Azzurra pour la première fois et observa une structure vraiment imposante d'environ cent mètres de long et cinquante mètres de large, avec développement sur trois étages dans la partie arrière et deux étages plus sous-sol dans la partie avant avec vue sur la mer. Deux grandes terrasses sur les côtés et un grand jardin avec un parking à l'arrière complètent la Casa Azzurra. Après être entrés dans le bâtiment et avoir pris l'ascenseur jusqu'au premier étage, Louise et son père sont arrivés à la direction où ils ont été accueillis par la directrice/supérieure Sœur Pensa avec un mot de bienvenue. Une fois définis les derniers détails relatifs au paiement de la redevance mensuelle et au type de services qui y sont inclus, elles ont été accompagnées par Sœur Pensa jusqu'à la chambre assignée avec vue sur la mer et comprenant une salle de bain interne, située au deuxième étage avec vue sur la mer. voir. Après avoir placé les vêtements et autres vêtements dans l'armoire et dans les tiroirs disponibles, Louise a dit au revoir à son père, visiblement émue, puis a pris sa voiture et est rentrée chez elle à Florence. Pendant ce temps, grand-père JEAN, fatigué du voyage, restait dans sa chambre pour se reposer. À 19h et trente, il descendit au rez-de-chaussée pour le dîner, utilisant son chariot ambulant et, arrivé à la salle à manger, il laissa le chariot dans le couloir, atteignant lentement sa place à table, qui lui fut indiquée par sœur Braccino, maître I. a profité de l'occasion pour le saluer et lui souhaiter la bienvenue et il m'a remercié, également au nom de sa fille Louise, pour ma courtoisie en lui fournissant le numéro de téléphone de Casa Azzurra.

Après une brève prière initiale de la supérieure Sœur Pensa, les chariots sont arrivés avec les soupières contenant le premier plat de soupe au bouillon, qui a été servi à la cinquantaine d'invités présents dans la salle, presque tous des femmes et très peu d'hommes. L'atmosphère dans la salle était plutôt sereine et il y avait un échange dense d'opinions entre les gens sur la qualité de la nourriture et le beau temps qui avait caractérisé la journée. Le dîner s'est terminé avec l'arrivée du deuxième plat à base de mozzarella accompagné d'un accompagnement de tomates et de fruits aux pêches. Tous les convives ont quitté la salle dans une atmosphère bruyante et la plupart des convives sont rentrés dans la salle en utilisant l' ascenseur, pour préparer la nuit avec l'aide d'un opérateur. Cependant, ceux qui n'avaient pas besoin de l'aide d'un opérateur pour se coucher allaient dans le jardin pour respirer l'air parfumé des nombreuses fleurs présentes ou s'asseyaient en bonne compagnie face à la mer pour profiter du coucher de soleil et des vacanciers marchant comme C'est ce que fit le grand-père JEAN qui commença à parler aux grands-mères, les interrogeant sur la qualité de la nourriture préparée par la cuisinière Rossana. Il a reçu de nombreuses réponses positives pour lesquelles il a remercié avec le sourire ses interlocuteurs. Plus tard, alors que le soleil était déjà couché, des religieuses sont arrivées avec leur supérieure, Sœur Pensa, qui a rejoint le groupe des grands-mères et trois religieuses se sont rendues dans une salle de bains voisine pour se baigner les jambes jusqu'aux genoux dans l'eau de mer. Vers 22h et trente, Sœur Pensa a invité tous les invités à revenir se coucher et a fermé la porte d'entrée. Chacun s'est ensuite rendu dans sa chambre pour préparer la nuit en toute autonomie.

Chapitre 2.

Vie quotidienne de Papy JEAN et des autres grands-parents à Casa Azzurra.

Grand-père JEAN est né à Paris, en France, il y a de nombreuses années et après avoir obtenu son diplôme en économie, il a trouvé du travail comme employé dans une entreprise privée du secteur administratif. Il épousa ensuite une Française mais n'eut pas d'enfants et devint veuf car sa femme est décédée suite à une opération chirurgicale infructueuse. Alors maintenant qu'il avait plus de quarante ans, il a déménagé en Italie, rejoignant un de ses cousins à Florence qui travaillait dans une entreprise de production de tissus et ici, grâce à son expérience, il a immédiatement trouvé du travail et après environ un an, il est devenu directeur de le secteur administratif, car l'ancien directeur avait déménagé dans une autre entreprise. Lors d'un voyage touristique à Pise, avec quelques collègues, il a rencontré une Italienne appelée Lucia, également veuve parce que son mari est décédé d'une maladie incurable et avec une petite fille appelée Louise. Lucia connaissait une Française nommée Brigitte qui était sa collègue de travail. JEAN est immédiatement tombée amoureuse de Lucia dès qu'il l'a vue, mince, pas grande, cheveux blonds, visage normal, yeux bleus, lèvres charnues avec rouge à lèvres, doux sourire, mains et ongles bien soignés et laqués rouge, collier en or. , montre suisse pour femme au poignet gauche, vêtue d'un élégant costume bleu de style italien, chemise bleu clair, chaussures classiques bleues de style italien à talons bas. Après une longue période de fréquentation, qui a duré près d'un an, au cours de laquelle il se rendait à Pise chaque week-end pour lui rendre visite ainsi qu'à sa fille Louise, Lucia est également tombée amoureuse de ce grand Français, aux cheveux légèrement gris, au visage légèrement allongé, noir yeux, lèvres charnues, sourire agréable, mains et ongles manucurés, robe à l'italienne toujours élégante, chemise blanche, cravate assortie, chaussures à l'italienne noires, montre suisse d'une marque bien connue au poignet gauche. Ils se sont mariés après plus d'un an de connaissances, avec une cérémonie civile commune et sont allés vivre à Florence, dans une maison sur le fleuve Arno appartenant à l'un de ses oncles. Lucia a emmené JEAN visiter tous les musées de Florence, à commencer par le Musée des Offices, toutes les églises pleines de peintures, de fresques célèbres, toutes les bibliothèques pleines de livres anciens et modernes, toutes les places et les vues les plus caractéristiques de Florence, ainsi que le long de l'Arno. Ils ont visité ensemble toutes les autres villes de la Toscane telles que Pise, Sienne, Arezzo, Livourne, Prato, Empoli, Carrare, riches en histoire et en œuvres d'art célèbres conservées dans les musées, les églises, les places et les bibliothèques. et des restaurants caractéristiques, mangeant des plats typiques italiens et toscans, célèbres dans le monde entier, ainsi que des vins et des vins mousseux typiques italiens et toscans DOC. Bref, leur vie était pleine d'intérêts artistiques, d'amour entre eux et d'affection envers leur belle fille Louise, que JEAN aimait comme une fille. La vie de la nouvelle famille se poursuivit paisiblement pendant de nombreuses années, à tel point que Louise obtint son diplôme de médecine et que JEAN lui organisa une fête dans un restaurant florentin sur les collines surplombant Florence, invitant non seulement la famille de Lucia mais aussi celle de son cousin et quelques de ses amis français, en offrant à Louise sa un collier en or et un bracelet en or gravés à son nom. Louise a immédiatement trouvé du travail dans un hôpital florentin, réussissant à gagner le respect de tous ses collègues et des patients qu'elle traitait. Lucia et JEAN ont ensuite eu la joie du mariage civil de Louise avec un de ses collègues médecin nommé Giulio. JEAN, en bon parent, a célébré l'événement avec un magnifique dîner dans le restaurant florentin le plus célèbre du centre-ville. Tous les parents de Lucia et son cousin étaient présents, ainsi que ses amis français et tous les proches de Giulio. Les jeunes mariés ont reçu de nombreux cadeaux dont un magnifique collier en or ayant appartenu à la maman de JEAN. Du mariage de Louise et Giulio est née une petite fille appelée Aurora qui ressemblait exactement à sa grand-mère Lucia, avec des cheveux blonds et des yeux bleus, mais avec le visage de son père. Après quelques années, Lucia et JEAN ont pris leur retraite, tandis que leur petite-fille Aurora a grandi plus belle que grand-mère Lucia et il ne s'est pas passé un jour sans qu'elle n'aille rendre visite à ses grands-parents maternels. Mais l'arrivée du Covid 19 a tout changé et Lucia trois il y a des années' Malheureusement, frappée par le virus, elle est décédée, laissant JEAN seule et veuve. Louise a donc décidé de déplacer son père dans une maison de retraite pour personnes non autonomes, car il ne pouvait