Prise par un big bad biker

Par Laura Spark

Lena savait que suivre sa meilleure amie Clara et entrer dans ce bar de motards pour boire un verre était une mauvaise idée. Ce sentiment était toujours présent lorsque cette dernière propose une partie de poker à ces hommes.

Et lorsqu’elles finissent endettées à Jack, le biker bad boy tatoué par excellence, elles ont un gros problème : Elles n’ont pas l’argent sur elles, et leur seul atout reste leur corps.

Jack, quant à lui, est très intéressé par Lena. Des idées perverses et torrides lui traversent la tête jusqu’à ce qu’il leur propose un deal pour effacer leur dette...

Accepteront-elles? Lena se soumettra-t-elle en public à cet homme diaboliquement sexy dont elle ne connait que le nom?

Nouvelle érotique en français très excitante réservée à un public averti.

Scènes très chaudes, à lire seul(e) ou à deux ;).

• Langue: Français
• Éditeur: RomansBrûlants
• Date de sortie: 21 oct. 2022
• ISBN: 9781005151256

Laura Spark

Passionnée d'écriture depuis toujours, j'ai le plaisir de partager avec vous mes nouvelles sur Amazon.Mes histoires sont là pour vous faire passer le temps dans un monde passionné, sensuel et érotique.xoxo

Aperçu du livre

PRISE PAR UN BIG BAD BIKER

« J’ai tellement faim », je gémis alors que mon amie Clara et moi continuions à rouler dans une ville inconnue, après être sorties de l’autoroute dans l’espoir de trouver une station-service et un endroit où manger.

« Il doit bien y avoir un endroit où s’arrêter », répliqua-t-elle alors que nous continuions sur la route principale. La plupart des commerces du coin étaient fermés, ce qui semblait étrange étant donné qu’il n’était que 20h, un jeudi.

« Tu peux t’imaginer vivre dans cet endroit horrible et sans vie? », grimaçai-je alors que nous dépassions un grand assortiment de bâtiments abandonnés et de commerces fermés avant d’atteindre finalement une petite suite de bâtiments brillamment éclairés.

« Regarde ! », hurla Clara alors qu’elle tendait la main pour tapoter gentiment mon épaule pour attirer mon attention. Je jetais un coup d’œil pour voir ce qui semblait être une sorte de bar.

« Je parie qu’ils servent à manger ici et, au minimum, on pourra prendre des bières pour nous tenir jusqu’à ce qu’ils nous conseillent un endroit où manger », ajouta-t-elle joyeusement.

« Dégueu », murmurai-je en lançant un coup d’œil au bâtiment miteux qui semblait être déjà tombé dans un état de délabrement avancé, avec la peinture couleur menthe morne pratiquement entièrement décrépie et les quelques fenêtres qui semblaient tenir grâce à des bandes de scotch marron.

« On est sûres