Ménage à Bord ! Nouvelle érotique MFM en français

Par Laura Spark

Je ne pensais pas ce matin en m’habillant que mon trajet en train, d’ordinaire si banal, allait être aussi excitant.

Je suis une jeune belle femme qui aime plaire, voilà tout. Alors, oui, je sors avec des vêtements plus sexy et osés que la plupart des femmes seraient confortables de porter, mais moi, j’adore ça ! Surtout lorsque j’attire l’attention et la curiosité perverse des hommes autour de moi. C’est mon passe-temps favori.

Cependant, je considère que taquiner leur désir reste un simple jeu sans conséquences.

Enfin, jusqu’à aujourd’hui.

Jusqu’à cet homme.

Cet inconnu un peu plus agé et en costume bien taillé, au physique extrêmement séduisant, le prend comme une invitation. Une offre pour réaliser des choses coquines dignes de fantasmes au beau milieu de ce train, avec tous ces hommes qui nous dévorent du regard. Tous espérant, qu’ils seraient “le prochain”. Par chance, leur souhait va être exhaussé...

Cette nouvelle expérience en public va s’avérer être des plus chaudes et satisfaisantes.

Nouvelle érotique très excitante, réservée à un public averti !

• Langue: Français
• Éditeur: RomansBrûlants
• Date de sortie: 19 oct. 2022
• ISBN: 9781005982317

Laura Spark

Passionnée d'écriture depuis toujours, j'ai le plaisir de partager avec vous mes nouvelles sur Amazon.Mes histoires sont là pour vous faire passer le temps dans un monde passionné, sensuel et érotique.xoxo

Aperçu du livre

MÉNAGE À BORD

« Bon voyage, mademoiselle. » Le vieil homme m’adressa un sourire poli. Il me désigna la plateforme proche de la main alors que je lui tendais mon ticket. Au loin, j’entendais le son familier d’un train arrivant lentement en gare.

« Merci bien, » murmurai-je. Je vis bien qu’il profitait de cette opportunité pour se pencher en avant et lancer un regard assez appuyé à mon décolleté échancré et qu’il lâcha un soupir de déception quand je me retournai pour me diriger vers mon quai.

« Quel pervers, » entendis-je soudain quelqu’un siffler entre ses dents. Je levai les yeux pour voir une vieille dame habillée d’un ensemble violet qui grimaçait devant l’attitude du vieil homme.

« Oui, un sale pervers, » ajoutai-je avec un rire poli, me retournant à temps pour voir l’homme se pencher en avant pour essayer de regarder sous ma jupe courte. Le rouge me monta aux joues, et la vieille dame s’apprêta à le réprimander.

« Désolée, » articulai-je silencieusement au vieil homme alors que la femme prenait son élan pour frapper son épaule avec son lourd sac à main.

Ce n’est pas que je n’appréciais pas son inquiétude pour moi. C’était même étrangement gentil et chaleureux de sa part, de s’inquiéter autant pour quelque chose d’aussi trivial qu’un