On a testé la vie SANS SOUTIF
ORIANE et son bonnet E
Jour 0 : décision
îner entre amis post-confinement dans le respect le plus total des gestes barrières et de la consommation de crozes-hermitage. Le phénomène du « no bra », qui a pris son envol en quarantaine, continue sa route depuis la « libération » du 11 mai. Je m'interroge… Et j'interroge par la même occasion la gent masculine qui se trouve autour de la table. À regret, ils ne m'apportent qu'un sombre ramassis de néant en guise de réponse. Mon meilleur ami : « J'en ai vu dans la rue. C'est un peu choquant. C'est comme si nous, on avait instauré le no slip, et que tu pouvais voir en détail mon gland. » Bon. Le collègue de mon mec : « Ça m'excite. » Moi : « Pourquoi ? » Lui : « Je sais pas, on voit mieux les seins, et tout… » Merci à ces grands philosophes pour cet éclairage sensé. Je décide alors de prendre seule cette décision qui me revient : je vais tester le « no bra » en société une dizaine de jours. Ma démarche : m'accepter telle que je suis, telle qu'est ma poitrine, accepter la GRAVITÉ ! Et c'est toujours plus hygiénique que le phénomène « no
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