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L'accueil d'un héros: Plaisir lié
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L'accueil d'un héros: Plaisir lié
Livre électronique186 pages2 heures

L'accueil d'un héros: Plaisir lié

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À propos de ce livre électronique

Être blessé et retenu prisonnier n’était pas ce que l’astronaute Joe Héros avait en tête quand il a accepté d’explorer une planète récemment découverte pour la NASA.

Mais seul un homme mort peut rester indifférent à la médecin sexy chargée de ses soins.

Une nuit de passion enflammée dans les bras de l’étranger d’une autre planète est assez pour convaincre Annie que les hommes sont bien plus que ce qu’on lui avait enseigné.

Qui est cet homme sexy et pourquoi a-t-elle envie de l’accueillir dans son lit à chaque occasion qu’elle a ?

LangueFrançais
Date de sortie2 juin 2020
ISBN9781071544723
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    Aperçu du livre

    L'accueil d'un héros - Jan Springer

    L’ACCUEIL D’UN HÉROS

    Plaisir lié Tome 1

    ––––––––

    Être blessé et retenu prisonnier n’était pas ce que l’astronaute Joe Héros avait

    en tête quand il a accepté d’explorer une planète récemment découverte pour la NASA.

    Mais seul un homme mort peut rester indifférent à la médecin sexy chargée de ses soins.

    Une nuit de passion enflammée dans les bras de l’étranger

    d’une autre planète est assez pour convaincre Annie que les hommes sont bien plus

    que ce qu’on lui avait enseigné. Qui est ce mec sexy et pourquoi a-t-elle envie de

    l’accueillir dans son lit à chaque occasion qu’elle a ?

    L’ACCUEIL D’UN HÉROS

    Plaisir lié Tome 1

    Découvrez d’autres titres par Jan Springer au  http:www.janspringer.com

    Notes

    Ce livre est seulement pour un usage personnel. Si vous désirez partager ce livre avec une autre personne, veuillez acheter une copie pour chaque individu. Merci de respecter le travail ardu de cette auteure.

    Ceci est une œuvre de fiction. Les personnages, les lieux, les installations et les évènements dans ce livre sont créés purement par l’imagination de l’auteure et ne s’appuie sur aucune ressemblance à toute personne, vivante ou décédée, tout évènement, lieu et/ou installation.

    Chapitre 1

    Sur la planète Paradise...

    Des cris excités déchirèrent l’air, incitant la médecin des esclaves mâles, Annie Wilkes, à lever la tête pour voir ce qui se passait. Elle n’était pas le moins du monde surprise de trouver cinq femmes qui essayaient de maîtriser un esclave mâle nu au milieu de leur zone.

    Ce qui l’avait surprise, c’était la taille de son pénis. Étonnamment large, il rebondissait galamment quand l’homme agitait ses jambes liées pour tenter de donner un coup de pied aux femmes qui lui retenaient les bras et la tête.

    Annie avait toujours eu le fantasme de trouver un mâle avec une énorme queue délicieuse. Un mâle qu’elle pourrait dominer et qu’elle utiliserait comme son propre jouet sexuel. Elle se lécha les lèvres. Une vague de désir parcourut son corps.

    Le mâle luttait vaillamment et elle se réjouit pour lui en silence. À sa grande déception, deux des femmes attrapèrent rapidement les jambes de l’esclave et le tinrent épinglé au sol.

    La sueur recouvrait son corps musclé. Une affreuse blessure par balle encore à vif marquait le côté gauche de son cou.

    Elle lâcha la vue de l’esclave nouvellement capturé pour regarder Cath, qui se tenait penchée à côté d’elle. Cath, en pleine concentration, la bouche tordue, essayait de tourner ensemble les deux extrémités d’un fil de fer barbelé rouillé et cassé. Elle saurait ce qui se passait. C’était la maîtresse des esclaves de leur tribu et elle possédait tous les nouveaux esclaves.

    - Qui est ce mâle ? Je ne l’ai jamais vu.

    Elle avait parlé de façon décontractée. Inutile de laisser savoir à Cath que ce mâle l’intéressait. Elle ne ferait que monter son prix.

    Les yeux de Cath se plissèrent tout en suivant le regard d’Annie.

    - Il attire les ennuis. Il est violent. Toutes les femmes de mon équipe ont essayé de le chevaucher, mais il ne laisse personne le faire.

    - D’où vient-il ? Je ne vois aucune marque.

    - Nous l’avons trouvé dans les limites extérieures. Aucune marque. Il s’est probablement échappé des camps de reproduction quand il était petit. Il devra être castré. Il sera plus docile après.

    Annie se mordilla la lèvre, frustrée.

    - Ce n’est pas un horrible gaspillage ? Les mâles aussi gros sont rares.

    - Tu pourrais y jeter un œil après sa castration. Il a été blessé lors de sa capture.

    - La castration l’empêchera d’avoir des relations sexuelles pendant quelques jours, réfléchit Annie à voix haute.

    Cath releva la tête d’un coup.

    - Est-ce que je détecte un peu d’intérêt pour cet esclave ?

    Annie se mit à rougir. En général, elle gardait pour elle-même tout intérêt sexuel envers un mâle. C’était une personne discrète.

    - Déesse de la liberté ! Tu as envie de le baiser, n’est-ce pas ? haleta Cath.

    Annie évita le sourire amusé de Cath et jeta un coup d’œil à la femme qui prenait le couteau brillant utilisé pour castrer dans le feu de camp qui crépitait.

    Bon sang. Ils allaient le détruire dans une minute. Elle devait faire quelque chose pour les arrêter.

    - Oui, j’ai envie de le baiser. Rends-moi un service. Ne le castre pas. Pas tout de suite.

    - Je ne rends pas de service, Annie. Je voudrai quelque chose en retour.

    Annie observa avec colère, les yeux écarquillés, la femme au couteau s’approcher du mâle en pleine lutte. L’impatience sortait par tous les pores d’Annie. Elle n’arrivait pas à croire ce qu’elle s’apprêtait à dire.

    - Tu me donneras ton prix plus tard. Je ferai tout ce que tu veux.

    - Il ne sera pas un participant volontaire.

    Annie se força à retourner son attention sur Cath et lui fit un clin d’œil.

    - Ce sont les meilleurs.

    Cath leva les yeux au plafond, lâcha les pinces et se dirigea vers la scène. Le couteau descendit vers les parties génitales de l’homme et le cœur d’Annie se mit à palpiter dans sa poitrine tandis qu’elle regardait, horrifiée.

    - Cessez la castration ! cria Cath.

    Le couteau luisant s’arrêta à un centimètre du scrotum de l’homme.

    Annie soupira de soulagement et suivit rapidement Cath, tout en se maudissant pour ce qu’elle venait de faire.

    Qu’est-ce qui lui avait pris ? Elle n’avait jamais sauvé un esclave de la castration avant. N’en avait jamais ressenti le besoin.

    Quand elle atteignit le groupe, le regard d’Annie se verrouilla immédiatement sur son énorme queue. À l’évidence, les femmes s’étaient amusées avec lui. Malgré le fait qu’il était faible de par sa blessure au cou, sa verge se dressait, dure, en érection, attendant de plonger dans sa chatte frémissante.

    Déesse ! Avec quelle puissance enfoncerait-il sa queue en elle une fois rétabli ? L’idée attirait Annie au plus haut point.

    Les femmes relâchèrent le mâle. Les muscles prirent vie dans les cuisses de celui-ci et il ne perdit pas de temps à prendre une position accroupie. Il releva ses jambes liées avec ses bras musclés pour camoufler le pénis massif qu’elle fixait.

    Annie étudia le physique nu du nouveau et sentit qu’il était différent.

    Elle fut immédiatement attirée vers son visage. Sur son nez droit, sur la courbe de sa mâchoire forte et sur l’ombre sexy de sa barbe qui recouvrait ses joues et son menton.  Sa bouche apparaissait dure, déterminée, et ses lèvres, pleines et voluptueuses.

    Il la dévisagea en retour, ses yeux bleus et perçants empreints de colère.

    Annie frémit. Elle s’attendait à voir de la peur dans les yeux du mâle. Pas de la colère.

    C’était assez intéressant. Il agissait comme s’il savait ce qu’elles planifiaient de faire avec lui. Comme si l’intelligence infusait en lui. Mais ce n’était pas possible. Les mâles n’étaient pas censés être intelligents. C’étaient des créatures stupides élevées pour leur force et exploitées à des fins sexuelles. Ils n’étaient même plus instruits. C’était ainsi plus facile de les manipuler.

    La façon dont Yeux Bleus luttait vaillamment signifiait qu’il conservait une forme d’intelligence. Peut-être avait-il été enseigné en secret par une femme. Elle avait entendu des histoires à propos de ce genre de femelles.

    Une fois dans le système carcéral, une femme était condamnée à un nombre de bébés plutôt qu’à un nombre d’années et, parfois, elle s’attachait à la progéniture mâle imposée par les machines à baiser redoutables en prison. Parfois, après qu’une prisonnière était relâchée, elle retrouvait sa progéniture et la sauvait de son sort d’esclave mâle, en disparaissant dans les forêts environnantes pour toujours.

    Elle fut parcourue d’une certaine excitation. Est-ce qu’il était l’un d’eux ? Est-ce qu’il comprenait ce qui se déroulait autour de lui ? Ce ne serait pas à son avantage si c’était le cas.

    Les femmes ne voulaient pas d’hommes intelligents. Elles voulaient des esclaves dociles et des ouvriers.

    Mais avec une grosse tige comme la sienne, les femmes dans la tribu et plusieurs autres tribus feraient la file dans la rue pour le plaisir qu’elles en retireraient. Il pourrait être un roi parmi les esclaves. Bien soigné. Et elle pourrait le visiter chaque fois qu’elle le souhaitait.

    - Où veux-tu le baiser ?

    La question de Cath s’insinua dans ses pensées. Une rougeur envahit les joues d’Annie. Les femmes sourirent et se donnèrent des coups de coude.

    - Je ne pense pas qu’il soit en condition pour ça, Cath. Sa blessure doit être soignée.

    - Merde, Annie. Je pensais que tu le voulais.

    Annie remarqua que le mâle la regardait. Ses yeux ne camouflaient pas son sentiment de trahison. Pour la première fois de sa vie, la culpabilité l’envahit. Coupable de vouloir chevaucher un mâle qui ne voulait à l’évidence pas être chevauché. Pourquoi se souciait-elle de ce qu’il pensait d’elle ? Ou de ce qu’il voulait ? C’était un mâle. Les mâles étaient élevés pour servir les femmes.

    - Si tu ne veux pas le baiser, alors...

    Cath prit le couteau dans la main de l’autre femme et s’avança vers l’esclave rebelle. Annie attrapa son coude pour l’arrêter.

    - Mais qu’est-ce que tu fais ? cracha Cath.

    Elle libéra son bras de l’emprise désespérée d’Annie et leva le couteau dans un geste défensif. Le sang d’Annie se glaça de peur et l’équipe de formation des esclaves de Cath murmura d’excitation devant cette tournure inattendue. Personne ne défiait Cath. Personne ne lui disait quoi faire. Et personne ne la touchait. Sauf si elle le désirait.

    Annie avait peut-être ruiné les chances d’aider cet esclave. Elle avait besoin de faire quelque chose. Et vite.

    - Je déteste abuser de mon rang, Cath, mais si tu me forces, je le ferai.

    Annie n’arrivait pas à croire que sa voix était restée stable. Malgré cela, ses entrailles se serrèrent devant son audace inattendue.

    - Merde, ma fille. Qu’est-ce qui te prend ? cracha Cath.

    - Je ne vois pas ta marque sur lui, Cath.

    - Je t’ai dit pourquoi. Et n’essaie pas de le revendiquer. Il est à moi. Je l’ai tiré.

    - En tant que médecin de cette zone, c’est mon devoir de retirer cet esclave blessé si je juge que sa vie est en danger.

    Le cœur d’Annie battait la chamade. Elle n’avait jamais tenu tête à Cath. Personne avec toute sa tête ne le ferait. Ce n’était pas bénéfique de l’avoir comme ennemie.

    - Que dis-tu, Annie ? Tu prends mon esclave ?

    - Tu as dit que je peux le baiser. Je dis qu’il ne peut être baisé dans cette condition.

    - Tu penses que je ne sais pas m’occuper de ce qui m’appartient ?

    La douleur dans les yeux de Cath était plutôt évidente.

    - Je n’insinue rien de tout ça...

    - Va au diable ! Tu me l’enlèves et ce sera inscrit dans mon dossier. Je n’ai jamais eu une marque contre moi.

    - Ça restera entre nous. Entre toi et moi.

    Annie retint son souffle et attendit la réponse de Cath.

    Cath étudia le mâle, les yeux plissés par la haine. Mais Annie voyait la roue tourner dans la tête

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