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Le Club des gentlemen, 2ème partie: La série Le Club des gentlemen, #2
Le Club des gentlemen, 2ème partie: La série Le Club des gentlemen, #2
Le Club des gentlemen, 2ème partie: La série Le Club des gentlemen, #2
Livre électronique221 pages3 heures

Le Club des gentlemen, 2ème partie: La série Le Club des gentlemen, #2

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À propos de ce livre électronique

Trouver l'amour devrait être un rêve devenu réalité. Elle ne s'attendait pas à voir sa vie menacée.


Un danger croissant
Après l'attaque meurtrière qui a presque coûté la vie d'Ilana et de Nick, ce dernier l'éloigne en hâte de New York dans l'espoir de protéger leurs deux vies. Mais avec un tueur sans merci sur leurs talons, découvriront-ils l'identité de l'ennemi de Nick à temps ?

Une passion intense
À la suite de leur fuite de New York, Nick et Ilana voient leur relation s'intensifier. Mais ils ne peuvent rester cachés à jamais. Lorsque le tueur attaque à nouveau, qui vivra… et qui mourra ?

Le Club des gentlemen est une série d'amour torride pleine de suspense. Le tome deux est la deuxième partie de cette trilogie et se termine sur un cliffhanger. 

Lisez Le Club des gentlemen, tome 2 pour continuer cette série d'amour captivante dès maintenant !

LangueFrançais
ÉditeurErika Rhys
Date de sortie30 juil. 2018
ISBN9781386035442
Le Club des gentlemen, 2ème partie: La série Le Club des gentlemen, #2
Auteur

Erika Rhys

International bestselling author Erika Rhys writes contemporary romance novels featuring sexy men, strong women, and dashes of sparkling wit—the kind of books she enjoys reading. Her books include Heir of the Hamptons and the Gentlemen’s Club, Over the Edge, and On the Brink series. Erika’s heroes are driven, determined, and often wealthy, but can also be sensitive and vulnerable. Her heroines come from a range of backgrounds, and are strong, smart, and independent, but also sympathetic and caring. All her books feature laugh-out-loud moments, because humor is sexy! Erika loves dance music, shoes, long walks by herself, long dinners with friends, dark chocolate, strong coffee, and ice-cold martinis. She also loves hearing from readers, so get in touch!  http://erikarhys.com http://facebook.com/ErikaRhys.Author http://twitter.com/erikarhysauthor http://instagram.com/erikarhysauthor http://pinterest.com/erikarhysauthor

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    Aperçu du livre

    Le Club des gentlemen, 2ème partie - Erika Rhys

    1

    Chapitre un

    Lorsque j’ouvris les yeux, j’étais étendue sur le dos, sous le ciel nocturne. Des silhouettes sombres et floues étaient penchées sur moi, se découpant contre les éclairs bleus et rouges qui submergeaient ma vue. Mes yeux secs me brûlaient et, lorsque je clignai des yeux, la douleur se propagea dans la partie gauche de mon front.

    Où suis-je ? Que s’est-il passé ?

    — Elle revient à elle, dit une voix masculine à ma droite.

    — Installons-la dans l’ambulance, dit une femme. Elle a inhalé beaucoup de fumée, mais ses signes vitaux sont bons. Elle aura besoin de quelques points de suture pour son entaille au front, et elle a peut-être une commotion. Elle a aussi des lacérations aux mains, mais nous en saurons plus une fois les plaies nettoyées.

    Commotion ? Lacérations ?

    Les silhouettes penchées sur moi se précisèrent et je reconnus les ambulanciers à leur uniforme. Quelque chose couvrait ma bouche et mon nez et je soulevai une main vers mon visage ; mes doigts rencontrèrent alors la surface de plastique lisse d’un masque à oxygène.

    C’est alors que tout me revint.

    Les coups de feu.

    L’accident de voiture.

    Nick, étendu sans connaissance, son sang se répandant sur le sol de la limousine.

    Notre chauffeur, lui aussi évanoui, affaissé contre le volant de la voiture.

    Mes tentatives désespérées et infructueuses, de même que celles des piétons, de nous sortir du piège mortel qu’était devenu le véhicule en flammes et empli de fumée.

    La peur me transperça. Où se trouvaient Nick et le chauffeur ? Avaient-ils été secourus ou se trouvaient-ils toujours dans la carcasse enflammée de la limousine de Nick ?

    J’arrachai le masque à oxygène et agrippai les rebords de la civière où on m’avait étendue, grimaçant sous la douleur de mes mains alors que je m’efforçais de me redresser. La bande sur mon torse m’empêcha de me soulever de plus de quelques centimètres et, en luttant pour m’asseoir, la douleur dans ma tête se transforma en un battement pénible et étourdissant.

    Respire. Je dois respirer. Je dois trouver Nick.

    Lorsque je forçai mes poumons écorchés à inhaler l’air frais, une odeur âcre assaillit mon nez, mais ma tête s’éclaircit suffisamment pour me permettre d’observer les alentours.

    À ma gauche, au centre de la Cinquième avenue, plusieurs ambulances et deux voitures de police attendaient, les phares activés, en un vague regroupement. De l’autre côté des véhicules, la rue avait été fermée. Un patrouilleur à l’uniforme noir avec un gilet réfléchissant jaune vif se tenait au milieu de la rue et redirigeait la circulation. Au-delà du cordon de sécurité, un groupe de piétons observait les secours.

    Tentant désespérément d’apercevoir Nick, je tournai la tête vers ma droite. Tandis que j’assimilais la scène devant moi, mon cœur se serra.

    À environ cent mètres plus loin sur la Cinquième, un épais nuage de fumée montait vers le ciel nocturne. La fumée à la base orange s’élevait de ce qui devait être l’épave enflammée du véhicule de Nick. La fumée dense masquait la voiture et la zone alentour. Nick et le chauffeur n’étaient nulle part en vue.

    — Nick ! criai-je, ou du moins essayai-je.

    La voix rauque et fêlée qui sortit de mes lèvres était méconnaissable.

    L’ambulancier à droite de ma civière se pencha sur moi.

    — Restez couchée, mademoiselle, dit-il. Nous devons vous conduire à l’hôpital.

    Son visage était aimable et sa voix de baryton avait un léger accent espagnol.

    — Mon copain ? Et notre chauffeur ? Ils étaient pris dans la voiture avec moi.

    L’ambulancier me prit par les épaules.

    — Essayez de vous calmer, dit-il. L’équipe de secours s’occupe de sortir vos amis de là, et ils sont les meilleurs qui soient dans leur domaine. Maintenant, vous devez vous étendre pendant que nous vous installons dans l’ambulance.

    J’agrippai ses mains et les repoussai.

    — Je n’irai nulle part sans mon copain Nick, et notre chauffeur.

    Doucement, mais fermement, il me força à m’étendre à nouveau sur la civière et resserra la bande sur mon torse.

    — Vos amis sont entre de bonnes mains et ils nous suivront de près.

    Il se dirigea vers mes pieds et attrapa le bout de la civière.

    — Prête ? dit-il.

    — Allons-y, Sergio, répondit une femme derrière moi.

    Les ambulanciers firent rouler ma civière sur l’asphalte vers l’une des ambulances. Je tournai à nouveau la tête vers la droite et fixai la masse de fumée, espérant voir quelque chose, n’importe quoi, qui m’indiquerait que Nick était sauf. Mais la fumée entourant la voiture était si dense que même cette dernière restait invisible. Des secouristes masqués entraient et sortaient à grands pas du nuage de fumée et, alors que ma civière atteignait l’ambulance, une voix masculine se fit entendre.

    — Sortez de là, maintenant ! cria-t-il. Ça va exploser !

    Puis, dans un grand grondement qui fit vibrer la rue, une énorme boule de feu s’éleva dans le ciel dans un panache de rouges et d’orangés. Le nuage de fumée s’étira jusqu’à nous, apportant une vague de chaleur étouffante qui me balaya le visage et me brûla la peau. Des débris se déversèrent près de nous et heurtèrent l’asphalte dans une pluie métallique brutale.

    Lorsque la voiture avait explosé, Nick se trouvait-il à l’intérieur ?

    — Nick ! criai-je, me débattant contre la bande sur mon torse. Nick !

    La fumée m’étouffait et les silhouettes près de moi miroitèrent et vacillèrent à la périphérie de mon champ de vision. Le monde s’assombrit autour de moi, un grondement emplit mes oreilles et je me sentis basculer dans d’étranges ténèbres, tombant sans fin dans un vide insolite.

    Était-ce donc cela la mort ?

    Dans le lointain, une voix résonna, familière, basse et réconfortante.

    — Ilana, dit la voix. Je suis là. Tout va bien.

    Me raccrochant à cette voix, j’agitai les membres en tous sens contre les ténèbres qui m’entouraient et mes mains heurtèrent une surface à la fois résistante et fraîche au toucher. Lorsque je reconnus la surface du matelas aux draps de percale de mon lit, j’arrêtai de me débattre ; j’ouvris les yeux d’un coup et restai immobile, étendue sur le dos. Les bras et les jambes en étoile, mon cœur cognant contre ma poitrine, je pris une profonde inspiration alors que mes esprits et les souvenirs me revenaient avec force.

    Les images qui m’avaient hantée quelques secondes plus tôt étaient le cauchemar de cette nuit-là, deux semaines plus tôt, la nuit la plus terrifiante de ma vie, la nuit où un tireur au volant d’un véhicule avait pris pour cible, avec un fusil d’assaut, la limousine de Nick sur la Cinquième avenue, à New York. Notre chauffeur n’en avait pas réchappé et Nick s’était trouvé aux portes de la mort, sans connaissance dans une mare de son propre sang.

    Mais Nick avait survécu et j’avais également survécu.

    Le soulagement et la gratitude qui accompagnèrent cette pensée me firent monter les larmes aux yeux. Nous étions tous deux vivants. Et nous étions à un continent de New York, dans un appartement de location à Paris. Nous devions y rester jusqu’à ce que la police de New York découvre et arrête les tueurs qui nous avaient attaqués. Rocco Moretti, le consultant en sécurité que Nick avait embauché, avait également recruté par sécurité une équipe de cinq gardes du corps dirigée par un Français basané et musclé du nom de Jean-Luc. L’équipe se trouvait dans un appartement, un étage sous celui où nous étions.

    — Nick ? dis-je, en essuyant mes yeux humides du dos de la main, avant de regarder l’homme penché sur moi, celui que j’aimais.

    Le réveil sur ma table de chevet indiquait deux heures et, malgré l’obscurité de la pièce, la lumière qui pénétrait par la porte ouverte derrière Nick révélait ses traits séduisants, à présent empreints d’inquiétude.

    — Tout va bien ? demanda-t-il.

    Il plissa le front avec inquiétude.

    — Tu te débattais et tu gémissais encore dans ton sommeil.

    — Ça va.

    Je m’assis dans le lit, posai les pieds au sol et m’étirai le cou d’un côté et de l’autre pour essayer de soulager ma tension.

    — Encore un mauvais rêve, c’est tout.

    Nick s’assit à mes côtés sur le lit et m’enveloppa la taille de son bras droit indemne. À la suite des blessures au cou et à l’épaule qu’il avait subies pendant l’attaque, il portait encore à l’occasion une écharpe pour son bras gauche. Mes propres blessures avaient par chance été mineures.

    Les blessures physiques, du moins.

    — Au sujet de cette nuit-là ? demanda-t-il.

    — Oui, elle me revient constamment lorsque je dors.

    En raison de ses blessures, Nick n’avait pas encore reçu l’accord de son médecin pour toute relation intime, alors nous faisions chambre à part pour réduire la tentation. Toutefois, Nick avait le sommeil léger et, depuis notre départ de New York, mes cauchemars le réveillaient régulièrement.

    — Tu as vécu une expérience traumatisante, dit-il. Ton esprit essaie encore de l’assimiler. Avec le temps, les cauchemars seront moins fréquents et ils finiront par disparaître complètement.

    — J’espère que ce sera pour bientôt.

    Je me laissai aller contre lui, puisant du réconfort dans sa chaleur et sa force.

    — Ce serait bien de pouvoir profiter d’une nuit de sommeil complète.

    Il resserra son bras autour de moi.

    — Tu veux en parler ?

    — Il n’y a rien de plus à dire que ce que je t’ai déjà raconté. Chaque fois, c’est la même chose ; je revis le moment où la voiture a explosé et où j’ai cru que tu étais toujours à l’intérieur. Dieu merci, l’équipe de secours t’a sorti de là à temps.

    Sa voix s’assombrit.

    — C’est ma faute si tu endures cela.

    — Nous en avons déjà parlé, dis-je. Tu n’es pas responsable des criminels qui nous ont pris pour cible et, comme tu viens de le dire, mes cauchemars s’estomperont avec le temps.

    — Si tu n’avais pas été avec moi, tu n’aurais pas de cauchemars. Et si Mike n’avait pas été au volant, il serait encore vivant.

    Je savais où s’en allait cette conversation et je n’avais pas envie de la revivre. Lorsque Nick avait appris la mort de son chauffeur, Mike Sullivan, il avait été bouleversé, comme je ne l’avais jamais vu. De son lit d’hôpital, il avait informé ses avocats de mettre en place un fonds fiduciaire pour s’assurer que la femme de Mike et ses deux adolescents ne manquent jamais de rien. Mais aucune somme d’argent ne pouvait ramener Mike et rien de ce que je pouvais dire n’avait empêché Nick de se blâmer pour la mort de Mike.

    Plutôt que de discuter avec Nick, je changeai de sujet.

    — Concentrons-nous sur le positif. Nous sommes tous deux en voie de guérison et, grâce à toi, nous sommes en sécurité. Et pas n’importe où, à Paris. Une ville que je rêve de visiter depuis toujours. Et nous voici, sur l’île Saint-Louis, l’endroit le plus romantique de la ville la plus romantique du monde entier.

    Nick laissa échapper un petit rire cynique à ces mots.

    — Dans des circonstances loin d’être romantiques, j’en ai bien peur.

    — Plus pour longtemps, dis-je. Bientôt, ton épaule sera guérie et, alors, nous pourrons faire l’amour.

    — Mon épaule va bien, maintenant, dit-il en m’embrassant.

    Avide comme toujours de ses caresses, je ne résistai pas lorsqu’il approfondit le baiser et je me permis de goûter ses lèvres pendant un long moment avant de reculer à contrecœur.

    — Allons, dit-il. Nous avons assez attendu.

    — Nous ne pouvons pas le risquer. Pas avant d’avoir l’approbation de ton médecin.

    — Je vais bien, dit-il avant d’écraser ses lèvres contre les miennes.

    Sa main indemne se posa sur mes seins et en effleura les pointes à travers le léger débardeur de mon pyjama.

    — Nous avons réussi à attendre tout ce temps…

    — Fais-moi confiance, murmura-t-il contre mon oreille. Je suis prêt.

    D’un geste fluide, il me pressa contre le lit et balança une de ses jambes par-dessus les miennes. Tout en poursuivant notre baiser, je sentis son érection imposante contre ma jambe.

    Mes mamelons devinrent durs comme de la pierre, la chaleur s’intensifia entre mes cuisses et ma volonté de respecter les consignes du médecin de Nick s’émoussa. Si j’avais l’intention d’interrompre cette étreinte, je devais le faire à l’instant, avant que les derniers vestiges de ma volonté ne m’abandonnent.

    — Mais ton médecin a dit…

    — Oublie mon foutu médecin.

    — Je ne peux pas.

    Je soulevai la main qui se trouvait sur mon sein, l’appuyai contre ma joue et entremêlai mes doigts aux siens.

    — Je te veux autant que toi, mais si tu as besoin d’une autre opération, ce ne sera pas parce que je t’ai laissé te blesser à nouveau dans une étreinte sauvage et délirante, très représentative de la tension sexuelle qui règne entre nous depuis les derniers mois.

    Il me fixa de son regard noisette brillant et l’amusement teinta sa voix.

    — Ça ne serait pas nécessairement sauvage et délirant.

    — Non ?

    Le coin de ses lèvres frémit.

    — Peut-être.

    — Disons plutôt, probablement. Aucun de nous n’avait l’intention d’attendre si longtemps.

    Nick me relâcha et se laissa tomber sur le dos, près de moi.

    — Ne m’embarque pas là-dedans. Toute cette histoire d’attendre n’a jamais été mon idée.

    — C’est tout moi, dis-je. J’aurais dû te sauter dessus à New York, lorsque j’en avais la chance.

    — Je t’ai donné toutes les chances.

    Je roulai vers lui et posai mon bras sur son torse.

    — Étrangement, tu savais que nous étions faits l’un pour l’autre, bien avant moi.

    — Je l’ai su le jour où nous nous sommes croisés au parc, dit-il.

    Je souris à ce souvenir.

    — Lorsque je t’ai forcé à ramasser les besoins de ton chien ?

    — Lorsque je t’ai vraiment rencontrée, dit-il. Raven m’intriguait, mais Ilana me faisait me sentir vivant, d’une façon que je pensais ne jamais revivre.

    — Tu n’es pas le seul à être tombé sous le charme ce jour-là… ça m’a juste pris plus de temps de croire en mes sentiments. C’est ma faute si nous devons attendre plus longtemps que nous ne le pensions, et c’est pourquoi je vais adorer chaque minute de ma repentance, dès que tu auras un bilan de santé parfait de ton médecin.

    Sa voix se fit profonde.

    — Est-ce une promesse ?

    Je posai un doigt sur mes lèvres, puis le pressai contre les siennes.

    — Oui.

    2

    Chapitre deux

    Comme il le faisait souvent depuis les deux dernières semaines, Nick resta auprès de moi jusqu’à ce que je m’endorme à nouveau, d’un sommeil heureusement sans rêve. Lorsque je m’éveillai au matin, l’arôme riche du café frais et les sons provenant de la cuisine me confirmèrent qu’il était déjà debout. Je me levai et, après m’être rapidement lavé le visage et les dents, j’échangeai mon pyjama contre un pantalon de sport et un t-shirt avant de descendre.

    Occupant les deux derniers étages d’un immeuble de cinq étages du dix-septième siècle sur l’île Saint-Louis, l’appartement que Rocco nous avait déniché conservait certaines caractéristiques d’origine, comme des poutres en bois au plafond, des murs crème en pierre brute, et des balcons en fer forgé aux rampes étroites caractéristiques de l’architecture parisienne. Toutefois, tout le reste de l’appartement était de style moderne : une chambre luxueuse à l’étage, une pièce à vivre au rez-de-chaussée et une cuisine bien équipée. Lors de notre arrivée à Paris, j’avais insisté pour que Nick prenne la chambre principale avec son immense lit qui, en raison de sa taille, lui était beaucoup plus nécessaire qu’à moi. J’avais quant à moi pris une plus petite chambre adjacente, avec une

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