Découvrez des millions d'e-books, de livres audio et bien plus encore avec un essai gratuit

Seulement $11.99/mois après la période d'essai. Annulez à tout moment.

Vers une architecture pour la santé du vivant
Vers une architecture pour la santé du vivant
Vers une architecture pour la santé du vivant
Livre électronique275 pages3 heures

Vers une architecture pour la santé du vivant

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

La vie quotidienne, avec ses conflits et ses contradictions, s’impose comme un premier horizon de réflexion pour une architecture adaptée à tous, au-delà des simplifications du fonctionnalisme. L’architecture moderne travaillait pour un monde et une nature immuables. L’accroissement de la violence et de la fréquence des catastrophes naturelles impose aux architectes du XXIe siècle de repenser leur pratique dans un monde en mouvement, chaotique, imprévisible. Ils ont ainsi un rôle à jouer dans le rétablissement de la santé du vivant sur toute la planète.

Ce livre, qui repose sur trente ans de pratique professionnelle, de recherche et d’enseignement, défend l’architecture comme une forme d’art engagée dans la recherche d’un nouvel humanisme, porté par un désir de solidarité entre les humains et les non-humains. L’auteur propose un ensemble de principes de conception inédits en s’appuyant sur de courts récits issus de son propre travail et sur une lecture de réalisations et de paysages par des créateurs américains, européens et japonais prestigieux. Tous indiquent les voies de la création architecturale d’abris-ouverts sur l’engagement en faveur de la santé du vivant.
LangueFrançais
Date de sortie25 mai 2023
ISBN9782760647725
Vers une architecture pour la santé du vivant

Lié à Vers une architecture pour la santé du vivant

Livres électroniques liés

Architecture pour vous

Voir plus

Articles associés

Catégories liées

Avis sur Vers une architecture pour la santé du vivant

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    Vers une architecture pour la santé du vivant - Éric Danie-Lacombe

    Éric Daniel-Lacombe

    Vers une architecture pour la santé du vivant

    Les Presses de l’Université de Montréal

    Mise en page: Chantal Poisson

    Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archives nationales du Québec et Bibliothèque et Archives Canada

    Titre: Vers une architecture pour la santé du vivant / Éric Daniel-Lacombe.

    Nom: Daniel-Lacombe, Éric, 1959- auteur.

    Description: Comprend des références bibliographiques.

    Identifiants: Canadiana (livre imprimé) 20220033544 | Canadiana (livre numérique) 20220033552 | ISBN 9782760647701 | ISBN 9782760647718 (PDF) | ISBN 9782760647725 (EPUB)

    Vedettes-matière: RVM: Architecture—Aspect de l’environnement. | RVM: Architecture et climat. | RVM: Architecture durable.

    Classification: LCC NA2542.35.D36 2023 | CDD 720/.47—dc23

    Dépôt légal: 2e trimestre 2023

    Bibliothèque et Archives nationales du Québec

    © Les Presses de l’Université de Montréal, 2023

    www.pum.umontreal.ca

    Les Presses de l’Université de Montréal remercient de leur soutien financier le Conseil des arts du Canada, le Fonds du livre du Canada et la Société de développement des entreprises culturelles du Québec (SODEC).

    Pour Michel Conan, ami et compagnon de voyage au long cours.

    PRÉFACE

    Architecture et opportunités

    Isabelle Thomas

    Les catastrophes, en particulier les inondations, déstabilisent la santé du vivant. Laissant au cœur des paysages, mais également au sein des populations, de profondes cicatrices, elles créent ainsi une rupture dans l’équilibre environnemental. Toutefois, on peut aussi s’efforcer de les voir comme des vecteurs d’innovation et d’opportunité.

    Alors que les changements climatiques interpellent les pratiques concernant l’avenir des territoires et des populations, Éric Daniel-Lacombe nous propose ici une nouvelle philosophie de l’architecture qui vise justement leur sauvegarde. Pourquoi et en quoi sa démarche, laquelle entend refonder la théorie de l’architecture et en faire un art renouvelé, est-elle exemplaire? Et comment ce recadrage est-il significatif et audacieux? Surtout, quelles leçons et quels apprentissages en tirer pour le Québec?

    Au Québec, les inondations de 2011, 2017 et 2019 ont eu un fort impact sur les collectivités et ont entraîné un chantier de travail exemplaire, favorisant des changements importants dans la gouvernance et la réglementation, ainsi que dans les pratiques de l’architecture et de l’urbanisme. Plusieurs municipalités comme Coaticook, Saint-Jean-sur-Richelieu, Venise-en-Québec, Sainte-Marie, Sherbrooke, Sainte-Marguerite-du-lac-Masson, sont régulièrement touchées par les inondations et doivent de ce fait repenser leurs pratiques et réfléchir sur la culture du risque. C’est ainsi qu’on passe du paradigme de la résistance à celui de la résilience. Par les observations de ma pratique, j’ai pu noter des manques dans les méthodes d’analyse de la vulnérabilité et de la résilience. Pourtant, «la ville efficiente, adaptative, résiliente fonde son action sur des indicateurs et des méthodes collaboratives répondant aux enjeux de contextes locaux spécifiques, dans une visée d’adhésion inclusive des acteurs politiques et économiques, mais aussi des professionnels et des habitants» (Thomas et Da Cunha, La ville résiliente: Comment la construire?, 2017).

    Vivre avec l’eau, composer avec la nature, favoriser la métamorphose de quartiers qui deviendraient «vert et bleu», valoriser la santé du vivant, sont les principes de l’équipe ARIACTION (ARIaction.com) que je dirige et à laquelle collabore Éric Daniel-Lacombe, architecte de la vie quotidienne. Les réflexions que mène Éric, qu’il décrit et met en place dans sa pratique architecturale, m’autorisent à penser qu’elles sont judicieuses, pertinentes et nécessaires à la préconisation et à la mise en œuvre de stratégies d’aménagement du territoire résilient même ici, sur le territoire québécois, par exemple dans les municipalités de Saint-Raymond, de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, de Saint-André-d’Argenteuil (STADA), ou de Coaticook.

    Comme il nous l’explique, les innovations supposent des équipes multidisciplinaires formées d’architectes, d’urbanistes, d’ingénieurs, d’hydrologues, d’historiens, de psychologues et de médecins, soit un panorama qui fait appel à la fois aux sciences de la nature et aux sciences sociales. Chemin faisant, les chercheurs doivent travailler en bonne intelligence avec les acteurs locaux afin de s’assurer de la pertinence de leurs stratégies tout en s’impliquant activement dans les projets. Même si le champ des possibilités est illimité sur le papier, il reste pourtant à assurer sa mise en œuvre tout en intégrant différentes échelles de réflexion: du bâtiment au quartier, à la municipalité et au bassin versant.

    C’est ainsi que la réussite de projets résilients en zone inondable constructible, tel le projet Matra présenté dans ce livre, a influencé mes propres réflexions et permis la validation des démarches de stratégies de coconstruction et de transdisciplinarité. Cependant, j’ai noté en France et ailleurs une insuffisance majeure concernant la nécessaire mesure de la résilience grâce à des indicateurs robustes et complémentaires. En intégrant les principes et la théorie architecturale d’Éric Daniel-Lacombe, j’ai ainsi conçu un outil (Résiliaction) et une méthode d’analyse des bénéfices qui a le potentiel de transformer la pratique, ici et ailleurs. De fait, il est essentiel que la valeur écologique des milieux naturels soit prise en compte et fasse l’objet de projets de restructuration, de renaturalisation, de restauration, et de reboisement.

    À la suite des inondations à Saint-André-d’Argenteuil en 2017 et en 2019, un projet de recherche est né, intitulé «Développement d’une approche multicritère pour l’évaluation de la résilience en zone inondable». Constatant la fragilisation de la région, tant en termes d’enjeux sociétaux, territoriaux, environnementaux que de fiscalité municipale, j’ai dirigé un projet dans lequel Éric s’est fortement impliqué et qui a conduit à la création d’indicateurs de résilience adaptés à l’aménagement du territoire et à une approche multicritère permettant d’évaluer la résilience en zone inondable.

    Les résultats de ce projet alimentent les réflexions sur l’atténuation, l’adaptation et le renforcement de la résilience dans les territoires, à différentes échelles, tout en intégrant le concept de santé du vivant, le savoir local et la science, trois notions chères à Éric Daniel-Lacombe. Son implication ainsi que ses approches théoriques et concrètes ont facilité l’intégration de la nature dans la ville et l’établissement de procédures de sécurité dans les zones inondables constructibles.

    La méthode d’analyse multicritère permet un changement dans les choix qui s’offrent aux acteurs sur le terrain mais aussi aux institutions gouvernementales. Cela se traduit par des innovations dans la façon de résoudre des problèmes environnementaux, l’implication des parties prenantes, l’utilisation et la création d’outils audacieux, particulièrement en temps de pandémie. Par ailleurs, l’acceptabilité sociale et politique d’un projet est essentielle à sa mise en œuvre, comme le montre bien Éric Daniel-Lacombe.

    Les projets qu’il décrit, notamment dans des écoles, attestent de cette démarche architecturale qui, prenant en considération les risques présents et futurs, améliore le cadre de vie des écoliers tout en transmettant à ceux-ci les principes d’une nouvelle culture du risque. Cette nouvelle pédagogie se fonde sur le vivant, le sensible et les perceptions. Le quartier de Matra dont il est question dans cet ouvrage est un témoignage de cette démarche audacieuse de l’architecte et du maire de Romorantin, laquelle a mené à la création d’un quartier résilient, qui intègre l’apprentissage des jeunes sur les inondations potentielles tout en offrant un cadre de vie agréable grâce à un aménagement paysager adapté à la biodiversité locale. Ce projet a été réalisé autour d’un bassin de rétention, pièce maîtresse du site par sa fonction de stockage et de gestion des eaux pluviales et fluviales, sans oublier sa contribution en termes d’éducation et de renforcement de la culture du risque. L’aménagement de nombreuses transparences hydrauliques afin de limiter les obstacles à l’évacuation de l’eau est novateur et constitue de ce fait une occasion d’apprentissage pour le Québec. Ainsi, plusieurs éléments que présente Éric Daniel-Lacombe dans ce livre ont particulièrement influencé ma pratique.

    En faisant du projet architectural dans la culture du risque une pièce maîtresse de la transformation de l’aménagement du territoire, Éric Daniel-Lacombe permet de penser la refondation de la ville sur elle-même en capitalisant sur les forces de celui-ci. Il transforme les faiblesses en opportunités et favorise une culture forte de la résilience. Par ailleurs, revitaliser les territoires à haut risque afin de les transformer en espaces communs constitue un des principes majeurs du renouvellement de la pratique, qui nécessitera cependant encore beaucoup de travail de préparation au Québec ainsi qu’un soutien de ses citoyens. Enfin, assurer l’intégration des projets innovants dans un modèle différent de quartier et de ville vise à renforcer la santé du vivant et la sécurité de ses habitants.

    Avant-gardiste talentueux, Éric Daniel-Lacombe invite ses lecteurs à réfléchir aux nombreuses possibilités d’une pratique architecturale liée étroitement, si ce n’est intrinsèquement, à l’aménagement du territoire. Fondé sur des cas concrets, son livre s’avère une lecture incontournable et riche d’enseignement pour les praticiens actuels et futurs. Que les lecteurs en soient persuadés: ils tiennent entre les mains un des ouvrages fondateurs de la pratique architecturale du XXIe siècle.

    PROLOGUE

    L’architecture est une œuvre collective

    Cet ouvrage est le fruit d’un long apprentissage découlant de la pratique de l’architecture. Formations scolaires, échanges amicaux ou conflictuels, lectures, visites, débats ont contribué inlassablement à la formulation de mes convictions et à mon désir d’en discuter. La création est un don que nous accorde le travail collectif. Ce prologue en hommage à mes donateurs veut mettre en évidence leur contribution à la création architecturale en tant qu’œuvre collective.

    J’ai eu le bonheur de rencontrer des maîtres d’ouvrage soucieux du bien-être des habitants, même au prix d’une remise en cause de leurs pratiques passées. Jean-Jacques Fournier, maire de Moissy-Cramayel et président du Syndicat d’agglomération nouvelle (SAN) de Sénart et Michel Péricard, maire de Saint-Germain-en-Laye, m’ont permis d’apprendre les forces et faiblesses de la conception des écoles en ville nouvelle et d’en appliquer les enseignements dans la construction de la nouvelle école du Bel Air à Saint-Germain-en-Laye. Michel Vitry, le maître d’ouvrage du quartier du Bel Air, m’a donné la possibilité d’exploiter les résultats de travaux de recherche menés avec le Centre scientifique et technique du bâtiment sur l’évaluation des bibliothèques, des résidences de personnes âgées et de l’habitat des jeunes. À Saint-Maur-des-Fossés, il m’a confié l’aménagement d’un point noir du centre-ville, entre les bruits de la gare de chemins de fer et les dangers de la route nationale 20 (RN20) pour les piétons. Le premier adjoint, Jean-Bernard Thonus, et le responsable du développement urbain, Jean-Luc Aguerra, m’ont aidé à négocier le tracé de cette infrastructure avec les ingénieurs de la Direction départementale de l’équipement (DDE). Puis, Georges Rocchietta, directeur de Kaufman & Broad pour la France, chargé de l’opération, m’a fourni l’occasion de réaliser avec le paysagiste, Bernard Lassus et l’acousticien, Jean-Marie Rapin, la métamorphose d’un espace bruyant en un lieu calme évocateur des places de village de la Brie. À Romorantin-Lanthenay, le sénateur-maire, Jeanny Lorgeoux, voulait transformer les anciennes usines Matra, reconnues «monument historique», en un nouveau quartier. Mais les risques d’inondation ont créé une situation de blocage. Jeanny Lorgeoux a pris la situation à bras-le-corps. Il fut mon mentor dans un long apprentissage de la coproduction d’un quartier, trait d’union entre l’attention pour l’histoire et pour la nature, avec les architectes des Bâtiments de France (ABF) Jean-Lucien Guenoun et Jacques de Vannoise; la sous-préfète du Loir-et-Cher, Pascale Silbermann; le Directeur départemental des territoires (DDT) du Loir-et-Cher, Jacques Helpin; et les maîtres d’ouvrage Hervé Lelièvre, responsable chez 3F, et Jean-Marie Fournet, président d’Aegide. À eux tous, ils ont assumé l’invention du premier quartier d’habitation en zone inondable en France.

    Arnaud Masson, le propriétaire d’un terrain au bord de la Seine, brillant ingénieur et véritable connaisseur de l’architecture contemporaine, nous a fait part, à Bernard Lassus et moi, de son désir d’un renouvellement de la symbolique architecturale de l’inondation qui a conduit à la construction de la maison Rocher, couronnée par le premier prix du Cemex Building Award en 2007. L’esthétique architecturale avait été au cœur de ma formation d’étudiant. Dans son enseignement, Patrice Verhoeven, professeur d’histoire de l’architecture, invitait ses élèves à mettre en regard la peinture et le dessin et à pratiquer le croquis au cours de voyages d’études, me préparant sans que je le sache à la schématisation de la pensée des formes dans l’espace. Dans l’atelier de Jean-Louis Nouvian, j’ai appris les techniques classiques du système des beaux-arts, la rapidité du choix et la lenteur de son développement, et surtout l’élargissement du corpus aux infinies variations de l’architecture moderne. À peine étais-je sorti de l’école qu’Alain Sarfati, en m’associant à des concours d’architecture, m’a appris à mettre l’économie de la construction au principe du choix de projet et à l’enrichir ensuite inlassablement de nouvelles intentions. Très vite, en 1985, il m’a invité à venir le rejoindre à l’atelier C de Paris-Val de Seine, où il enseignait avec Michel Conan.

    Existe-t-il un meilleur moyen pour demeurer un éternel étudiant que de devenir enseignant? Les élèves m’ont beaucoup appris sur les difficultés à mener une réflexion critique sur la manière de penser l’architecture et sur le maniement d’une pensée figurative schématique. Plus tard, en 2010, Guy Amsellem, le directeur de l’École nationale supérieure d’architecture de Paris-La Villette, m’a encouragé à faire travailler les étudiants de master 2 sur «la construction d’une urbanité dans une zone exposée à des risques naturels». S’il y a quelque rigueur dans ma pratique, je la dois à la personnalité et aux exigences intellectuelles de la centaine d’étudiants qui m’ont fait confiance pour les conduire jusqu’au diplôme de fin d’études. Dans le même temps, mon directeur de thèse, Thierry Paquot, m’a aidé à approfondir la réflexion critique sur mon propre travail. Des discussions avec mes collègues Francis Soler et Bernard Desmoulin puis Remy Butler m’ont convaincu de la nécessité d’une réflexion sur le statut de l’architecture, entre art et discipline. Philippe Boudon avait ouvert la voie et ses travaux m’ont persuadé d’emprunter le chemin de la recherche en architecture, ce qui n’a jamais cessé de me ramener vers la pratique.

    Danièle Valabrègue, qui dirigeait Le Plan Construction et Architecture, me confia, en 1989, la responsabilité de la formation et du suivi du travail des architectes participant à un programme expérimental de construction de résidences pour personnes âgées (Sepia) selon les principes de la méthode générative mise au point par Michel Conan. Celui-ci, compagnon au long cours de mes aventures intellectuelles, m’a entraîné dans une suite de recherches m’obligeant à confronter la création architecturale et les contradictions de la vie quotidienne dans des établissements fort différents: les bibliothèques universitaires, les maisons de l’étudiant, les écoles, les résidences de travailleurs immigrés et les foyers de jeunes travailleurs. Jean-Claude Dumoulin, le directeur de l’Union des foyers de jeunes travailleurs (UFJT), m’a ensuite confié la conduite de négociations, au nom de l’UFJT, avec tous les acteurs professionnels et institutionnels concernés par la réhabilitation de foyers dans des villes et des contextes différents, mais tous difficiles.

    Les hasards de la pratique professionnelle m’ont imposé d’autres champs de recherche. Jean-Marie Rapin, ingénieur acousticien au Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB), m’a fait découvrir les principes qu’il a formulés pour composer avec les nuisances sonores en milieu urbain. Isabelle Bajou, à la DDT du Loir-et-Cher, et Jean-Pierre Valette, chargé de mission à la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) du Centre-Val de Loire, m’ont aidé à prendre en compte les interactions entre des constructions, des voiries et des jardins, et les hauteurs et la vitesse de l’eau lors d’une inondation. Benoît Lacombrade et les ingénieurs de la Société grenobloise d’études et d’application hydrauliques (SOGREAH) m’ont fait comprendre qu’un univers de négociations et de choix politiques

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1