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Le cadenas d'amour
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Le cadenas d'amour
Livre électronique144 pages1 heure

Le cadenas d'amour

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À propos de ce livre électronique

Entre la fin des années 1990 et le début des années 2000, Luis Carlos Silveira, un homme de Porto, Portugal rencontre Andreia, ils tombent amoureux l'un de l'autre, se marient et ont une fille. Au Brésil, à São Paulo, Aris Tavares est un adolescent qui rêve de vivre au Royaume-Uni; le jeune homme vit une expérience qui le marquera toute sa vie. De nos jours, Luis e Aris se connaissent via les réseaux sociaux et deviennent de grands amis virtuels, solitaires, l'un vit avec la perte d'une personne chère tandis que l'autre veut surmonter le trauma du passé.

LangueFrançais
Date de sortie6 avr. 2019
ISBN9781547560318
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    Aperçu du livre

    Le cadenas d'amour - Adriano Pereira Lima

    Remerciements

    J'aimerais remercier à toutes les personnes qui ont été à mon côté pendant ma vie. Je crois en mes réalisations.

    Sommaire

    Préface

    Chapitre 1 : Un homme amoureux

    Chapitre 2 : Le carnaval du silence

    Chapitre 3 La solitude et la carence

    Chapitre 4 : Les années passent

    Chapitre 5: La naissance d’une amitié

    Chapitre 6:  La naissance d’un roman

    Chapitre 7: La question

    Chapitre 8: Face à face (Partie 1)

    Chapitre 9: Face à face (Partie 2)

    Chapitre 10: Le vierge et l’expérient

    Chapitre 11: Un adieu

    Chapitre 12: Sans air

    Chapitre 13: La déclaration

    Chapitre 14:  Dans un café

    Chapitre 15:  Le cadenas d'amour

    Chapitre 16: Un an plus tard et face à face de nouveau

    Chapitre 17: La boite noire

    À propos de l'auteur

    Préface

    Le contenu à suivre racontera avec deux histoires et deux personnages principaux,  chacune dans son histoire, néanmoins, la vie des protagonistes de cette oeuvre ira se croiser.

    Il est est une fiction basée sur une histoire réelle, toute similitude est simplement coïncidence.

    Chapitre 1 : Un homme amoureux

    Les eaux bleuâtres s'illuminait à travers la lumière solaires d'un samedi ensoleillé à une fin d'après-midi d'été.  Beaucoup de mouettes volaient sur la plage de Matosinhos, un des oiseaux, une blanche avec des ailes noires et un sommet jaune, voyait Luis Carlos Silveira, un homme jeune, dont trente et deux ans d'âge, un mètre de soixante-diux et neuf de hauteur, de cheveux noirs, de peau blanche et d'une beauté en accompagnant sa symétrie portugaise, était sur une table d'une esplanade. Nuno Figueira, son ami d’enfance, short stature, maigre, yeux verts, souriant, un esprit jovial arriva, puis ils prirent un rendez-vous pour aller à une fête d’anniversaire d’une amie.

    — Salut homme!

    — Salut Nuno, je suis me suis relaxé comme toujours, j'ai fini de réussir un travail dans Maia, dans le secteur qui toujours voulait commencer bientôt.

    — Super! Raconte moi durant le chemin que je vais présenter une femme qui est ici à Porto, Andreia, elle est d'Aveiro.

    — Homme, je ne veux pas savoir sur les femmes! 

    Es-tu gay?

    — Tu sais que, femme de tous les types me satisfait, rien contre, mais jamais je ne comprendrai pas comme est être avec un homme.

    —Allons-y!

    Ils burent de la bière rapidement, après payer le compte, ont marchèrent lentement jusqu'à la voiture. Luis Carlos prit la clé pour ouvrir la porte qui tomba par terre. Une mouette sur la sable apparaîtra soudain en attrapant le porte-clés avec le bec et commença à voler. Ils couraient derrière l'oiseau qui courait dans direction à la mer en se pliant pour droite et atterrit sur le sable de la plage. Les yeux marron du portugais aperçurent une roche de talle  moyenne devant leurs pieds, la chaleur de leur corps se refroidissaient, en accroupissant à la capture de l'oiseau, il se souleva et lança contre la mouette et la clé libéra du bec en tombant sur le sol arénacé. 

    — Tu as vraiment mal fait à cette mouette.

    — Ce qui compte, c’est ma voiture que j’ai payé et pas ces ravageurs que les personnes donnent de la nourriture et le gouvernement ne fait rien à ce sujet et ont besoin de prendre des mesures non ne pas à encourager cet acte. Allons y qui est déjà le temp froid.

    Quand ils démarrèrent la voiture, ils s'éloignaient de la plage comme la mouette qui s'éloignât du monde, en marchant lentement, perdant de la force et perdant leur vie, les lumières solaires, flamboyantes au reflet de la mer, plus faibles, ne pouvaient plus voler, non ne pouvait marcher plus, immobile, les éclats et les lumières de sa vue des beautés naturelles s'estompaient et tout devenait sombre.

    Luis Carlos eut une sensation étrange en conduisant la voiture dans un frisson soudain et prit une profonde respiration.

    — Tu vas bien Luis? 

    — Oui, oui Nuno, c'était soudainement, mais rien. — Il répondit. 

    Il conduisit la voiture à Vila do Conde, dans le nord de la ville, chez l'ami qui les invita. Quelques heures plus tard, à la maison de Leda, quelques amis parlaient et buvaient du vin dans les caves du Porto. Quelqu'un sonna à l'interphone. Luis Carlos ouvrit la porte, c'était Andreia, quand il la regarda à première vue, c'était comme si le temps se figeait en ce moment, ses yeux étaient une lueur sans fin.

    — Ah, j'ai tout compris!

    — Quoi?

    — Tu devrais inviter Andreia pour sortir!

    Luis Carlos était avec le visage rouge et souriant.

    — Il veut ton numéro téléphone.

    — Tais toi! — En murmurant pour Nuno.

    Andreia ouvrit un sourire et jeta l'éclat de ses yeux sur ceux de Luis Carlos en commençant une sympathie, un frisson. Le temps s'arrêtait vraiment à ce moment-là, tout était calme, on aurait dit qu'une pierre les avait jeté sur leur têtes.

    — Tu vas bien ?

    — Oui, je suis plus heureux maintenant.

    Après avoir écouté la réponse, la portugaise sourit et était embarrassé. Pendant ce temps, Nuno parlait avec quelques amis de Leda. Ils entrelacés regards, puis commencèrent parler plus à l’aise dans la véranda, échangèrent des numéros de téléphone et parlèrent de leur vies. L'atmosphère a commencé à faire joli.

    — Pouvons-nous nous revoir ?

    — Parfait! Je vais rester chez ma amie jusqu'à une semaine. — Ella a ouvert un sourire.

    Luis Carlos et Nuno quittèrent la fête et sont parti; ils commentèrent à l'intérieur de la voiture, d'un match de foot qu'ils virent à la télévision lle jour précédent de Benfica contre le FC Porto, et les femmes de la fête.

    — Vraiment, elles sont belles !

    — Tu dois sortir avec Andreia, elle te fera très bien. 

    — Je ne peux pas attendre ça !

    Il laissa son ami Nuno à la porte de la maison, puis alla à sa maison. Après avoir gardé la voiture dans le garage, ses parents dormaient. Dans sa chambre, mit un pyjama pour coucher, l'image d'Andreia restait de son esprit, était fasciné, voulait l'appeler pour sortir. Mais il était trés tard, trop tard, il dormit peu à peu de bonheur. Le lendemain, après être allé dans la salle à manger pour prendre un café dans, il regardait ses deux croissants et la tasse de café, assis, en attendant le moment d'appeler Andreia. C'était trop tôt. Exactement il l'appela dix heures du matin. Leda répondit et passa l'appel à Andreia.

    — Bonjour!

    — Bon jour mon cher! 

    — Nous pouvons aller cet après-midi pour connaître la ville si tu ne le sais pas.

    — Bien sûr, je suis ici pour travailler, j’ai bien sûr prendre ce jour pour être avec une bonne présence. — En riant.

    — Oui ! —  En souriant. 

    Heures plus tard, après le bain, avec une serviette dans sa chambre pour choisir la meilleure vêtement dans sa garde-robe pour lui plaire. Il était habillé, chic et parfumé. Luis prit sa voiture et alla à la Vila do Conde, en face de la maison de Léda en klaxonnant. Elle apparaîtra, avec une longue robe d’été fleurie jaune. Après avoir garé la voiture, ils marchèrent vers la Ribeira, un des endroits plus anciennes de Porto. Andreia prit quelques photos de la rivière Douro, du Ponte D. Luis, cartes postales de la ville. Ils allèrent à une esplanade pour boire une boisson. Luis était un peu inquiet, ne savait pas commencer  une conversation à ce moment-là.

    — La journée est ensoleillée aujourd'hui.

    — Nous sommes presque en été, ici en Porto, je viens ici souvent, dernièrement j’ai peu de temps.

    — Quelle est ta profession? 

    — Avec la mode, je suis styliste, je dessine des robes et toi ?

    — Mouvements financiers dans un réseau de magasins de détail récemment, il y a une succursale ici à Porto, mais laissons un peu de travail et faisons une promenade. Aimes-tu parler du tourisme?

    — Tu as des raison! Je l'aime beaucoup, si je pouvais, je voyagerais partout dans le monde.

    Il prit la main de la femme portugaise. Ils marchent main dans la main en allant au parking, près du quai, ils entraient dans la voiture et commencèrent à visiter la ville. Il présentait et racontait l'histoire de tous les sites touristiques de la ville. Luis Carlos conduisit à l'Avenue du Boavista en allant pour la plage. Dans l’une des plages, avec un temps ensoleillé et une brise, ils arrivèrent pour la mer. Il prit dans ses mains, de nouveau, main dans la main. Ils eurent des affinités, dialogue dans la voiture comme la même musique, même genre de film.

    — Et si on regardait un film chez moi, j'ai une cassette du film Adam et Eve.

    — J'aime ce film Luis, merveilleux, mais si on regardait  voir Screams, j'adore les films d'horreur, par Wes Craven, il a fait la première projection ces jours.

    — Peur des films d’horreur.

    — Je ne peux pas croire ! — En riant.

    — Mais pour toi je regarde ce film.

    — Oh c'est mignon!

    Ils marchaient jusqu'à la porte du Castelo de Queijo, radiants, presque en formant un couple vraiment, l'harmonie renforçait. Ils, le prince et la princesse se rencontraient déjà dans le temps vers le VIIe siècle. Une mouette était près et Luis Carlos a expulsa l'oiseau qui vola et s'éloigna.

    — Tu es mauvais!

    — Non, ces vautours sont trop beaucoup ici, ils sont très traîtres...

    — Il y a des mouettes partout dans le monde, dans les endroits côtiers — Andreia marcha lentament à l'homme portugais.

    — Ils volent, par exemple, ton cœur.

    Ils soudainement s'embrassèrent, ne si continrent pas, ne croyaient pas qu'ils approcheraient rapidement, c'était l'amour à première vue, depuis la première rencontre à la fête chez Leda. Ils allèrent au cinéma pour voir le film Scream et étaient ensemble de la main et des peurs dans les scènes. Après le film, il l'emmena chez Leda. Ils combinèrent pour se trouver plusieurs fois, jusqu’au retour de Andreia à Aveiro.

    Il appela Nuno, pour le dire qu'ils s'étaient embrassés devant le

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