Durabilité sur sept générations: Guider l’humanité vers un avenir durable, dévoilant les secrets d’une durabilité sur sept générations

Par Fouad Sabry

Qu'est-ce que la durabilité sur sept générations

La gestion sur sept générations est un concept qui incite la génération actuelle d'humains à vivre et à travailler pour le bénéfice de la septième génération future. On pense qu'il est originaire des Iroquois ? Grande Loi des Iroquois ? ce qui convient de penser sept générations à l’avance et de décider si les décisions qu’ils prennent aujourd’hui profiteraient à leurs descendants. Il est fréquemment associé au concept moderne et populaire de gestion environnementale ou de « durabilité », mais son contexte est beaucoup plus large.

Comment vous en bénéficierez

(I) Informations et validations sur les sujets suivants :

Chapitre 1 : Durabilité sur sept générations

Chapitre 2 : Constitution des États-Unis

Chapitre 3 : Article premier de la Constitution des États-Unis

Chapitre 4 : Le Messie dans le judaïsme

Chapitre 5 : La Grande Loi de la Paix

Chapitre 6 : Thorvald Stauning

Chapitre 7 : Constitution de Porto Rico

Chapitre 8 : Gouverneur général de Sainte-Lucie

Chapitre 9 : Séparation de l'Église et de l'État aux États-Unis

Chapitre 10 : Économie des Iroquois

Chapitre 11 : Seventh Generation Inc.

Chapitre 12 : Puissances énumérées (États-Unis)

Chapitre 13 : Préambule à la Charte des Nations Unies

Chapitre 14 : Principes directeurs

Chapitre 15 : Nation Seneca-Cayuga

Chapitre 16 : Elise M. Boulding

Chapitre 17 : Iroquois

Chapitre 18 : Tadodaho

Chapitre 19 : Jigonhsasee

Chapitre 20 : Michel Band

Chapitre 21 : Longtermisme

(II) Répondre aux principales questions du public sur la durabilité sur sept générations.

(III) Exemples concrets d'utilisation de la durabilité sur sept générations dans de nombreux domaines.

p>À qui s'adresse ce livre

Les professionnels, les étudiants de premier cycle et des cycles supérieurs, les passionnés, les amateurs et ceux qui souhaitent aller au-delà des connaissances ou des informations de base pour tout type de développement durable en sept générations. .

 

 

• Langue: Français
• Éditeur: Un Milliard De Personnes Informées [French]
• Date de sortie: 30 mars 2024

Aperçu du livre

Chapitre 1 : Durabilité sur sept générations

La notion d'intendance sur sept générations encourage la génération actuelle à vivre et à travailler au profit de la septième génération à l'avenir. On dit qu'elle a commencé avec les Iroquois - la Grande Loi des Iroquois - qui dicte que les individus doivent tenir compte de sept générations dans le futur pour déterminer si les décisions qu'ils prennent aujourd'hui profiteront à leurs descendants. Il est souvent associé au concept moderne et populaire de gérance de l'environnement ou de « durabilité », bien que son contexte soit beaucoup plus large.

« Dans chaque décision, nous devons tenir compte des effets sur la septième génération, même si elle a besoin d'une peau épaisse comme de l'écorce de pin. » C'est un proverbe souvent utilisé ; néanmoins, contrairement à ce que l'on pourrait croire, elle n'est pas incluse dans la constitution de la nation iroquoise.

Au lieu de cela, le seul paragraphe qui mentionne le chiffre sept discute des attributs que les chefs iroquois devraient posséder, tandis que la conclusion du livre les encourage à considérer le bien-être des générations futures. À l'article 28 de la Constitution de la nation iroquoise, Nous vous couronnons maintenant avec le symbole vénéré des bois de cerf, le symbole de votre noblesse.

Vous servirez maintenant de guide pour les peuples des Cinq-Nations.

L'épaisseur de votre peau sera de sept empans, c'est-à-dire que vous serez à l'épreuve de la colère, des actions offensantes et de la critique.

[...] Considérez le bien-être de l'ensemble de la population et gardez à l'esprit non seulement le présent, mais aussi les générations à venir, même ceux dont les visages sont encore enfouis sous la surface de la terre – les enfants à naître de la nation future – sont inclus.

Le chef de la Nation Onondaga, Oren Lyons, écrit : « Dans le cadre de l'un des principaux mandats qui nous ont été confiés en tant que chefs, nous sommes chargés de veiller à ce que chaque décision que nous prenons soit liée au bien-être et au bien-être de la septième génération à venir. Quelle est la place de la septième génération ? Où sont-ils emmenés ? Que possèdent-ils ?

En réaction au consumérisme, la culture populaire et le débat peuvent présenter une interprétation qui met l'accent sur l'intendance due aux générations passées et futures. Au lieu de pointer du doigt sept générations numérotées à partir de la sienne et de regarder vers l'avenir, il y a une conscience d'un héritage à honorer ou d'une dette à se souvenir de ces trois générations avant la sienne, ainsi qu'une conscience de son propre héritage transmis aux trois générations qui suivront la sienne. Sur une durée générationnelle de 25 ans, la durée de vie d'une personne s'étend de 75 ans avant et 75 ans après sa naissance.

L'allongement de la durée des années qui englobe sa propre durée de vie est une variante de la théorie des sept générations dans laquelle le soi est au centre.

{Fin du chapitre 1}

Chapitre 2 : Constitution des États-Unis

La Constitution des États-Unis est la loi suprême des États-Unis d'Amérique. Elle est interprétée, complétée et appliquée par un corpus substantiel de lois constitutionnelles fédérales et a eu un impact sur les constitutions d'autres pays.

Du 5 septembre 1774 au 1er mars 1781, le Congrès continental est le gouvernement provisoire des États-Unis. La majorité des délégués au Premier Congrès continental de 1774 et au Second Congrès continental de 1775 à 1781 ont été choisis par des comités révolutionnaires de correspondance dans différentes provinces, par opposition aux gouvernements provinciaux des Treize Colonies.

Les Articles de la Confédération et de l'Union perpétuelle ont été la première constitution des États-Unis. Les législatures des États ont unilatéralement imposé des embargos, négocié directement avec des puissances étrangères, recruté des armées et déclaré la guerre, le tout en violation du texte et de l'esprit des articles.

James Madison s'est demandé si les Articles de la Confédération étaient un accord contraignant ou même un gouvernement légitime en septembre 1786, lors d'une assemblée interétatique pour examiner et établir un consensus sur l'élimination des barrières commerciales protectionnistes que chaque État avait construites. Pendant deux ans, le Connecticut n'a rien payé et a « positivement refusé » de payer les cotisations américaines.

Le jour prévu, le 14 mai 1787, seules les délégations de Virginie et de Pennsylvanie étaient présentes, et la réunion d'ouverture de la convention fut reportée faute de quorum. Les délégués étaient largement persuadés que le Congrès restreint créé par les Articles de la Confédération devait être remplacé par une autorité centrale forte dotée d'un vaste éventail de pouvoirs coercitifs.

Au début de la conférence, deux suggestions ont été formulées pour réorganiser le gouvernement fédéral :

Le plan de Virginie, également connu sous le nom de plan d'État ou plan Randolph, préconisait que la branche législative du gouvernement fédéral soit constituée d'un Congrès bicaméral, les deux chambres étant élues en fonction de la population. Le concept de consentement des gouvernés de John Locke, la théorie du gouvernement divisé de Montesquieu et l'accent mis par Edward Coke sur les libertés civiles ont été utilisés pour bénéficier généralement aux États les plus peuplés.

Le plan du New Jersey suggérait un département législatif monocaméral avec une seule voix par État. Il a utilisé les idées des whigs anglais tels qu'Edmund Burke pour s'appuyer sur une procédure établie et William Blackstone pour mettre en évidence l'autorité de la législature, favorisant souvent les États moins peuplés. Cette attitude représentait l'idée que les États étaient des entités distinctes et qu'ils le restaient lorsqu'ils rejoignaient volontairement et indépendamment les États-Unis d'Amérique.

Le 31 mai, la Convention revint au Comité plénier, qui fut chargé d'évaluer le plan de Virginie. Les résolutions de Virginie dans leur version révisée ont fait l'objet d'un rapport du comité le 13 juin. En réaction au plan de Virginie, le plan du New Jersey a été proposé.

Du 2 au 16 juillet, un comité des onze, composé d'un représentant de chaque État représenté, s'est réuni.

Le Grand Compromis a résolu l'impasse entre patriotes et nationalistes, ouvrant la voie à d'innombrables concessions ultérieures basées sur l'accommodement. Il y avait des intérêts sectoriels qui devaient être contrebalancés par le compromis des trois cinquièmes ; la réconciliation sur le mandat présidentiel, les pouvoirs et le mode de nomination ; et la compétence de la Cour fédérale ; et il fallait le compromis des trois cinquièmes.

Le 24 juillet, un comité de détail composé de John Rutledge (Caroline du Sud), Edmund Randolph (Virginie), Nathaniel Gorham (Massachusetts), Oliver Ellsworth (Connecticut) et James Wilson (Pennsylvanie) fut élu pour rédiger une constitution détaillée reflétant les résolutions adoptées par la convention