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Commissaire Marquanteur et le Clochard : Thriller
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Commissaire Marquanteur et le Clochard : Thriller
Livre électronique140 pages1 heure

Commissaire Marquanteur et le Clochard : Thriller

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Commissaire Marquanteur et le Clochard : Thriller

Alfred Bekker

 

 

Des membres de gangs du milieu des dealers à Marseille sont tués après avoir reçu une lettre de menace. Un homme se fait remarquer, un clochard sans domicile fixe en mission spéciale. Rien n'est réel chez lui, si ce n'est l'idée de vengeance qui le pousse à agir.

 

Alfred Bekker est un auteur renommé de romans fantastiques, de romans policiers et de livres pour la jeunesse. Outre ses grands succès de librairie, il a écrit de nombreux romans pour des séries à suspense telles que Ren Dhark, Jerry Cotton, Cotton Reloaded, Commissaire X, John Sinclair et Jessica Bannister. Il a également publié sous les noms de Neal Chadwick, Jack Raymond, Jonas Herlin, Dave Branford, Chris Heller, Henry Rohmer, Conny Walden et Janet Farell.

LangueFrançais
Date de sortie8 sept. 2023
ISBN9798223748946
Commissaire Marquanteur et le Clochard : Thriller
Auteur

Alfred Bekker

Alfred Bekker wurde am 27.9.1964 in Borghorst (heute Steinfurt) geboren und wuchs in den münsterländischen Gemeinden Ladbergen und Lengerich auf. 1984 machte er Abitur, leistete danach Zivildienst auf der Pflegestation eines Altenheims und studierte an der Universität Osnabrück für das Lehramt an Grund- und Hauptschulen. Insgesamt 13 Jahre war er danach im Schuldienst tätig, bevor er sich ausschließlich der Schriftstellerei widmete. Schon als Student veröffentlichte Bekker zahlreiche Romane und Kurzgeschichten. Er war Mitautor zugkräftiger Romanserien wie Kommissar X, Jerry Cotton, Rhen Dhark, Bad Earth und Sternenfaust und schrieb eine Reihe von Kriminalromanen. Angeregt durch seine Tätigkeit als Lehrer wandte er sich schließlich auch dem Kinder- und Jugendbuch zu, wo er Buchserien wie 'Tatort Mittelalter', 'Da Vincis Fälle', 'Elbenkinder' und 'Die wilden Orks' entwickelte. Seine Fantasy-Romane um 'Das Reich der Elben', die 'DrachenErde-Saga' und die 'Gorian'-Trilogie machten ihn einem großen Publikum bekannt. Darüber hinaus schreibt er weiterhin Krimis und gemeinsam mit seiner Frau unter dem Pseudonym Conny Walden historische Romane. Einige Gruselromane für Teenager verfasste er unter dem Namen John Devlin. Für Krimis verwendete er auch das Pseudonym Neal Chadwick. Seine Romane erschienen u.a. bei Blanvalet, BVK, Goldmann, Lyx, Schneiderbuch, Arena, dtv, Ueberreuter und Bastei Lübbe und wurden in zahlreiche Sprachen übersetzt.

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    Commissaire Marquanteur et le Clochard - Alfred Bekker

    Commissaire Marquanteur et le Clochard : Thriller

    Alfred Bekker

    ––––––––

    Des membres de gangs du milieu des dealers à Marseille sont tués après avoir reçu une lettre de menace. Un homme se fait remarquer, un clochard sans domicile fixe en mission spéciale. Rien n'est réel chez lui, si ce n'est l'idée de vengeance qui le pousse à agir.

    Alfred Bekker est un auteur renommé de romans fantastiques, de romans policiers et de livres pour la jeunesse. Outre ses grands succès de librairie, il a écrit de nombreux romans pour des séries à suspense telles que Ren Dhark, Jerry Cotton, Cotton Reloaded, Commissaire X, John Sinclair et Jessica Bannister. Il a également publié sous les noms de Neal Chadwick, Jack Raymond, Jonas Herlin, Dave Branford, Chris Heller, Henry Rohmer, Conny Walden et Janet Farell.

    Copyright

    Un livre de CassiopeiaPress : CASSIOPEIAPRESS, UKSAK E-Books, Alfred Bekker, Alfred Bekker présente, Casssiopeia-XXX-press, Alfredbooks, Uksak Sonder-Edition, Cassiopeiapress Extra Edition, Cassiopeiapress/AlfredBooks et BEKKERpublishing sont des imprints de

    Alfred Bekker

    Roman par l'auteur

    COUVERTURE A.PANADERO

    © de cette édition 2023 by AlfredBekker/CassiopeiaPress, Lengerich/Westphalie

    Les personnes imaginées n'ont rien à voir avec des personnes réellement vivantes. Les homonymies sont fortuites et non intentionnelles.

    Tous droits réservés.

    www.AlfredBekker.de

    postmaster@alfredbekker.de

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    Vers le blog de la maison d'édition !

    Soyez informé(e) des nouvelles parutions et du contexte !

    https://cassiopeia.press

    Tout ce qui concerne la fiction !

    1

    Buvez un café avec ça, m'a dit mon collègue François Leroc. Il a donné un billet au clochard sans abri. Plutôt généreux, à mon avis. Il y avait plus qu'un café dedans.

    Merci !, dit l'homme. Vous êtes une bonne personne !

    S'il vous plaît !

    Merci ! Merci beaucoup.

    Oui, s'il vous plaît !

    Je ne pensais pas qu'il y avait encore des gens bien !

    De rien !

    L'homme s'est brièvement pressé contre François.

    Nous devons continuer, ai-je dit.

    Je m'appelle Pierre Marquanteur. Je suis commissaire dans une section spéciale contre le crime organisé. Quelqu'un de haut placé a eu la glorieuse idée de nous donner un nom presque imprononçable : Force spéciale de la police criminelle, en abrégé FoPoCri. Les moqueurs diront que c'est pour se camoufler. Mais trêve de plaisanterie. Nous faisons notre travail et nous le faisons aussi bien que possible.

    Nous nous sommes frayés un chemin à travers la foule.

    Le sans-abri avait disparu depuis longtemps.

    Mon collègue s'est soudain saisi de la poitrine. Puis il a fouillé ses poches.

    Qu'est-ce qui se passe ?, ai-je demandé.

    Mon porte-monnaie !

    Et alors ?

    Il est parti.

    Ah !

    C'était ce type !

    Celui à qui tu as donné le billet ?

    Oui, bien sûr ! Qui d'autre ?

    J'ai regardé autour de moi.

    Le type avait disparu depuis longtemps dans la foule.

    On ne l'aura plus, ai-je dit.

    Quel connard !

    Oui, et surtout très ingrat, François !

    Maintenant, je peux faire opposition à ma carte de crédit le plus vite possible !

    Absolument.

    François Leroc secoue la tête. Que cela m'arrive à moi....

    Ça aurait pu être pire, François.

    Pire ?

    Imagine qu'il t'ait volé ton arme de service ! Il y aurait de vrais problèmes maintenant.

    Tu vois toujours le verre à moitié plein, Pierre - pas le verre à moitié vide.

    Je te le conseille, ai-je dit à mon collègue.

    Nous avons regardé à nouveau autour de nous. Mais l'homme n'était pas là.

    Merde !, a encore grondé François.

    Mon téléphone portable s'est fait entendre. C'était Monsieur Jean-Claude Marteau, Commissaire général de police, chef de notre service.

    Apparemment, il y avait du travail à faire d'urgence pour nous.

    *

    Merde, les flics ! Ils ont encerclé tout le bloc !

    Ne crie pas comme ça, Fabien ! Dans ce putain d'entrepôt, l'acoustique est celle d'une église.

    Les deux jeunes hommes ont écouté brièvement la voix du mégaphone qui devait les inciter à se rendre. La panique brillait dans les yeux de Fabien Renoir. Des perles de sueur perlaient sur son front. Dans sa main gauche, il tenait un sac en plastique insignifiant. A l'intérieur, deux kilos de cocaïne pure. Son complice était plus grand d'une tête. Il pointa l'automatique qu'il tenait dans sa main gauche vers un groupe de fûts métalliques.

    C'est là qu'on laisse la came !

    Jonas !

    Sans la neige, ils ne peuvent rien pour nous !

    Fabien était indécis. Jonas lui arracha le sac des mains. Il se précipita vers les tonneaux. Il y en avait plusieurs centaines. Certains rouillés, d'autres renversés et visiblement vides. Des étiquettes à tête de mort indiquaient que le contenu devait être toxique. Jonas essaya d'ouvrir le couvercle du premier tonneau venu. Il s'est coincé. Il s'est donc attaqué au suivant. Le couvercle tomba au sol en faisant du bruit. Jonas regarda à l'intérieur. Et il pâlit. Mon Dieu, lui dit-il. Des os humains !

    2

    Les sirènes de police retentissent. La voix du mégaphone s'est à nouveau fait entendre. On avait l'impression qu'une centaine d'agents de police étaient sur le point d'envahir le terrain vague de la société Husmane Chimie SARL, près des berges du Canal de Marseille.

    Ils nous attendaient, pensa Fabien. Il n'y a pas d'autre explication à tout ce bazar.

    C'est dans un hangar que Fabien, Jonas et quelques autres membres des JEUNES CANNIBALES avaient donné rendez-vous à des membres de la mafia russe pour s'occuper de la livraison hebdomadaire de cocaïne. Puis les policiers avaient frappé.

    Les JEUNES CANNIBALES dominaient le trafic de crack dans le secteur de quelques rues. Et à partir d'un kilo de cocaïne, il était facile de faire bouillir cent fois plus de crack avec beaucoup de levure chimique ou de farine. 

    Fabien a rattrapé son complice en haletant. Il n'était pas du genre sportif, et se défonçait souvent avec sa propre came. Mais toujours de la neige pure, jamais de crack.

    Qu'est-ce qui se passe ? On va prendre racine ici ?

    Jonas ouvrit à moitié la bouche. Il était incapable d'émettre le moindre son.

    Une seconde plus tard, Fabien a également vu les os.

    Merde, c'est quoi ça ?

    Un pervers était à l'œuvre !

    Une odeur âcre, à peine supportable, est montée aux narines de Fabien. Il fit une grimace.

    Va-t'en, Jonas !

    Jonas s'est retourné et a regardé son complice, le visage figé dans un masque.

    Ils vont nous tuer, Fabien ! Putain, on va finir par se faire épingler ces os sur la jambe ! On va finir en taule à vie !

    Ne dis pas de bêtises !

    Mais si, c'est exactement ce qui va se passer ! Ils nous ... trahissent ....

    Fabien reprenait son souffle. Ses muqueuses nasales étaient gonflées. Elles étaient extrêmement sensibles en raison de la consommation régulière de cocaïne. Quelque chose de corrosif s'échappait du tonneau d'os.

    Je vais être malade, marmonna Fabien.

    La torpeur de Jonas s'est dissipée.

    Ils ont continué à se précipiter.

    Ils ont caché la drogue dans un tas de vieux pneus au fond de l'entrepôt. Ils ont ensuite atteint l'une des sorties réservées au personnel. Ils n'auraient d'ailleurs pas pu ouvrir les grandes portes. Depuis plusieurs années, tout rouillait, les portes ne bougeaient plus d'un pouce.

    Mais cette porte, si.

    Un coup de pied puissant de Jonas suffit à la faire bondir vers l'extérieur. Fabien s'est précipité en avant, arrachant au passage un automatique de sous sa veste en cuir cloutée.

    Jonas était derrière lui.

    Ils regardaient une surface asphaltée. Des conteneurs rouillés s'y trouvaient. L'inscription HUSMANE CHIMIE, en grandes lettres rouges, s'écaillait déjà. Quelques tracteurs routiers y avaient également trouvé leur autographe. Détruits jusqu'au squelette.

    Les pneus, les vitres, les coussins - même les carrosseries n'étaient pas encore complètes.

    Au-delà de la surface asphaltée se trouvaient d'autres entrepôts ainsi qu'un cube de cinq étages qui abritait autrefois des bureaux et des laboratoires. Maintenant, il n'y avait presque plus de fenêtres entières aux étages inférieurs.

    Les sirènes de police retentissaient toujours à l'arrière-plan. La voix du mégaphone s'est tue. Apparemment, les forces de l'ordre ont estimé qu'on avait assez parlé.

    Bon sang, je me demande ce que sont devenus les Russes, a déclaré Fabien.

    Ces salauds vont nous faire un procès d'intention quand les flics les auront attrapés. Tu peux en être sûr !

    Je suppose que tu as raison !

    Ils ont continué leur chemin, les armes à la main.

    Il est impossible que ces fichus flics puissent retourner tout le bloc. Si on a de la chance, ils ne trouveront jamais notre came, marmonna Jonas.

    Tu en as la moindre idée !

    Fabien, crois-moi, je...

    Ferme ta gueule !

    Ils se sont mis à l'abri derrière l'un des conteneurs. Finalement, ils ont continué à courir, en

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