C’est un village assis sur un rocher. Du fin fond des âges, Crépol a toujours été une sorte de refuge. Autrefois appelé Crispium, puis Crepulum, Crispolium et Crespol, Crépol raconte l’histoire des hommes que la géographie contribuait à protéger et faire vivre. Là, en contrebas, la rivière de l’Herbasse qui irrigue les plaines, fertilise les champs. Derrière, l’ombre rassurante du mont de Véroux. C’est l’histoire d’une France autrefois paysanne, avant qu’au mitan du siècle dernier, le village ne se vide progressivement de ses forces vives parties chercher fortune, ou plus simplement du travail, à Romans-sur-Isère, au sud, ou encore à Valence. Depuis quelques années pourtant, Crépol connaissait comme un second souffle.
Des maisons de galets hourdés typiques du Dauphiné qui ont pris place autour de l’église avant d’essaimer le long de la départementale 67. Un ancien