Le Pari du Milliardaire vol. 5: Le Pari, #5

Par Sarah Cooper

Découvrez le cinquième volume du Pari du Milliardaire, de l'auteur à succès Sarah Cooper.

Le prix

Quand Sandy Paine se fait engager dans une galerie d'art de New York, elle est surprise de découvrir que ce n'est pas aussi prestigieux qu'elle l'avait d'abord imaginé. Son patron la harcèle constamment, la mettant sous plus en plus de pression pour vendre des tableaux, et sa vie sociale est inexistante. C'est alors qu'elle rencontre Gérard Duval.

Le joueur

Gérard Duval est un important collectionneur d'art qui peut en un instant lancer ou détruire la carrière de Sandy. Il est également terriblement séduisant, et rapidement, il devient clair qu'il n'est pas seulement intéressé par l'art. Pour une raison mystérieuse, il jette son dévolu sur Sandy. Et Gérard est habitué à obtenir ce qu'il veut.

Le pari

Seulement quelques minutes après leur rencontre, Gérard fait une proposition incroyable. Il va acheter deux des tableaux les plus coûteux de la galerie si Sandy accepte de l'accompagner à Paris dans son avion privé pour le week-end. Bien sûr, le sexy milliardaire n'a pas qu'un simple voyage amical en tête. Il s'attend à plus, beaucoup plus. 

Sandy sera-t-elle en mesure de satisfaire les exigences particulières de cet homme mystérieux ou finira-t-elle par en avoir le cœur brisé?

** Le Pari du Milliardaire est un roman de domination et de soumission, mais surtout une histoire d'amour. Le sixième volume de la série sera bientôt disponible. **

• Langue: Français
• Éditeur: Sarah Cooper
• Date de sortie: 12 juil. 2015
• ISBN: 9781516320356

Aperçu du livre

Lundi matin, lorsque Sandy entra dans la galerie, c'était comme si rien n'avait changé. Elle était la nouvelle patronne, mais elle ne s'était certainement pas encore faite à cette idée. Elle se rendit à la cuisine et, comme d'habitude, se mit à préparer un café. Monsieur Clark qui venait d'arriver s'était, comme si de rien n'était, déjà installé à son bureau. Malgré son comportement odieux, Sandy n'avait pas eu le courage de le licencier. Elle n'avait pu s'empêcher d'éprouver de la pitié envers cet homme qui était passé si rapidement de patron à simple employé. En plus, elle se disait que comme elle n'avait aucune idée comment gérer une galerie, elle pourrait bénéficier de son expérience. Elle se dirigea vers le bureau et, lorsqu'elle trouva Monsieur Clark installé dans son fauteuil, elle posa automatiquement le café devant lui. Lorsqu'elle releva la tête elle le vit hésiter, puis esquisser un petit sourire forcé. Il déplia lentement ses gros doigts dodus et, tout en la scrutant du regard, tendit la main pour saisir la tasse de café. Tout à coup elle se ressaisit. Que faisait-elle ? C'était elle la patronne ! Elle n'allait tout de même pas servir un café à son employé. Et que faisait donc Monsieur Clark assis à SON bureau ? Elle l'interpella :

– Monsieur Clark, il me semble que vous vous êtes trompé de bureau. Sa main s'immobilisa, à quelques centimètres du café.

– Ah, je suis désolé, Sandy. Vous savez, je n'ai pas l'habitude... mais... je ne... Rassurez-vous, ça ne se reproduira plus.

Il recroquevilla ses doigts comme un vautour qui lâche sa proie. Puis se leva et saisissant la chaise par son dossier, invita Sandy à s'asseoir.

– Voilà, mademoiselle Paine. Je vous en prie. S'il vous plaît, asseyez-vous.

Sandy prit place. C'était tellement bizarre que Monsieur Clark, qui jusque-là l'avait considérée comme une rien de rien, se mette soudain à la traiter comme une reine. Elle avait de la peine à s'habituer à cette situation. C'était comme s'il avait en un instant complètement changé.

— Alors, Mademoiselle Paine, c'est confortable, j'espère.

— Oui... répondit Sandy.

— Ah, c'est très