La victoire: Triomphe stratégique, décodage de l'art de la conquête dans la guerre

Par Fouad Sabry

Qu'est-ce que la victoire

Le terme victoire s'appliquait à l'origine à la guerre et désignait le succès obtenu dans un combat personnel, après des opérations militaires en général ou, par extension, dans toute compétition. Le succès d’une campagne militaire constitue une victoire stratégique, tandis que le succès d’un engagement militaire est une victoire tactique.

Comment vous en bénéficierez

(I) Informations et validations sur les sujets suivants :

Chapitre 1 : Victoire

Chapitre 2 : Mythologie chrétienne

Chapitre 3 : Krishna

Chapitre 4 : Vritra

Chapitre 5 : Arjuna

Chapitre 6 : Narayana

Chapitre 7 : Drona

Chapitre 8 : Cri de guerre

Chapitre 9 : Shalya

Chapitre 10 : Justice imputée

(II) Répondre aux principales questions du public sur la victoire.

À qui s'adresse ce livre

Professionnels, étudiants de premier cycle et des cycles supérieurs, passionnés, amateurs et ceux qui souhaitent aller au-delà des connaissances ou des informations de base pour tout type de victoire.

• Langue: Français
• Éditeur: Un Milliard De Personnes Informées [French]
• Date de sortie: 3 juin 2024

Aperçu du livre

Victoire

Triomphe stratégique : décoder l'art de la conquête dans la guerre

Fouad Sabry est l'ancien responsable régional du développement commercial pour les applications chez Hewlett Packard pour l'Europe du Sud, le Moyen-Orient et l'Afrique. Fouad est titulaire d'un baccalauréat ès sciences des systèmes informatiques et du contrôle automatique, d'une double maîtrise, d'une maîtrise en administration des affaires et d'une maîtrise en gestion des technologies de l'information de l'Université de Melbourne en Australie. Fouad a plus de 25 ans d'expérience dans les technologies de l'information et de la communication, travaillant dans des entreprises locales, régionales et internationales, telles que Vodafone et des machines commerciales internationales. Actuellement, Fouad est un entrepreneur, auteur, futuriste, axé sur les technologies émergentes et les solutions industrielles, et fondateur de l'initiative One billion knowledge.

Un milliard de connaissances

Victoire

Triomphe stratégique : décoder l'art de la conquête dans la guerre

Fouad Sabry

Copyright

Victoire © 2024 par Fouad Sabry. Tous droits réservés.

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Couverture conçue par Fouad Sabry.

Bien que toutes les précautions aient été prises dans la préparation de ce livre, les auteurs et les éditeurs n'assument aucune responsabilité pour les erreurs ou omissions, ou pour les dommages résultant de l'utilisation des informations contenues dans ce livre.

Table des matières

Chapitre 1 : Victoire

Chapitre 2 : Mythologie chrétienne

Chapitre 3 : Krishna

Chapitre 4 : Vritra

Chapitre 5 : Arjuna

Chapitre 6 : Narayana

Chapitre 7 : Drona

Chapitre 8 : Cri de guerre

Chapitre 9 : Shalya

Chapitre 10 : La justice imputée

Appendice

À propos de l'auteur

Chapitre 1 : Victoire

L'expression victoire (du latin victoria) se référait historiquement à la guerre et signifie le succès dans le combat personnel, après les actions militaires en général et, par extension, dans toute compétition. Une campagne militaire réussie représente une victoire stratégique, tandis qu'une bataille militaire réussie représente une victoire tactique.

En termes d'émotion humaine, le succès s'accompagne de sentiments intenses d'exaltation, et dans le comportement humain, le triomphe est souvent accompagné de mouvements et de poses ressemblant au spectacle de menace précédant la bataille, qui sont liés à l'excès d'endorphines produit avant et pendant le combat. Semblables aux danses de guerre et aux cris de guerre, les danses de victoire et les cris de victoire sont exécutés avant le début du combat physique. Des exemples de comportement victorieux rapportés dans l'Antiquité romaine, d'où provient le terme victoria, incluent les chants de victoire des mercenaires bataves servant sous les ordres de Caius Julius Civilis après leur victoire sur Quintus Petillius Cerialis lors de la rébellion batave de 69 après JC (selon Tacite) et le « chant abominable » à Wodan chanté par les Lombards lors de leur célébration de la victoire en 580. Autour de la tête de la chèvre sacrifiée, les Langobards dansaient en cercle tout en chantant leur hymne de victoire. La République et l'Empire romains commémoraient les victoires par des célébrations de triomphe et des monuments, y compris des colonnes de victoire (comme la colonne de Trajan) et des arcs. Un trophée est une relique de triomphe qui a été prise à la partie vaincue, comme ses armes ou ses parties du corps (spolia) (comme dans le cas des chasseurs de têtes).

La mythologie déifie souvent le triomphe, comme avec la Grecque Nike et la romaine Victoria. L'agent gagnant est généralement représenté comme un héros qui s'engage dans un combat au corps à corps avec un monstre (comme Saint George tuant le dragon, Indra tuant Ahi, Thor tuant le serpent de Midgard, etc.). Sol Invictus (« le soleil invincible ») est une appellation du Christ dérivée de la mythologie romaine. Paul de Tarse décrit la résurrection du Christ comme un triomphe sur la mort et le péché (1 Corinthiens 15:55).

Le mot anglais latin victory (datant du XIVe siècle) a remplacé le terme équivalent en vieil anglais sige (apparenté au gothique sigis, au vieux haut allemand sigu et au Sieg en allemand moderne), un élément fréquent des noms germaniques (comme dans Sigibert, Sigurd, etc.) et apparenté au celtique sego et au sanskrit sahasra.

Le signe traditionnel « V » a deux variantes : une avec la paume tournée vers l'extérieur et une avec la paume tournée vers l'intérieur. « gagner » est signifié par les deux signes de la main aux États-Unis.

Bouddha a souligné l'existence de l'immortalité en nous-mêmes ; agir pour nous conquérir est sa victoire et la nôtre « Il est préférable de se vaincre soi-même que de gagner mille batailles. Alors vous serez victorieux. Elle ne peut vous être enlevée, ni par les anges ni par les démons, ni par le ciel ni par l'enfer. La victoire de Bouddha est la nôtre ; il réside éternellement dans le siège de l'esprit, se déployant à travers d'innombrables vies.

Dans le chapitre 2, verset 38 de la Bhagavad Gita, Krishna ordonne à Arjuna de pratiquer l'équanimité ; « Sachez que ce qui imprègne l'univers entier est indestructible. Atma ne peut pas être détruit car il est indestructible. Plus tard, après avoir exhorté Arjuna à agir avec une clarté nouvellement acquise, Krishna déclare : « Préparez-vous à la guerre en assimilant le triomphe et la défaite, le gain et la perte, la joie et la tristesse. En combattant de cette manière, vous ne transgresserez pas. Les vertus du péché sont mentales, pas physiques.

Dans le Nouveau Testament, saint Paul et saint Jean font référence à la victoire de Jésus-Christ sur la mort et au partage de cette victoire avec le croyant chrétien (par exemple 1 Corinthiens 15:57, 1 Jean 5:4).

{Fin du chapitre 1}

Chapitre 2 : Mythologie chrétienne

La mythologie chrétienne est le corpus des mythes liés au christianisme. L'expression englobe un large éventail de légendes et d'histoires, en particulier celles considérées comme sacrées. Les thèmes et les éléments mythologiques sont répandus dans la littérature chrétienne, y compris les mythes récurrents tels que l'ascension d'une montagne, l'axis mundi, les mythes du combat, la descente aux Enfers, les récits d'un dieu mourant et ressuscitant, le mythe du déluge, les histoires sur la fondation d'une tribu ou d'un peuple, et les mythes sur les grands héros (ou saints) du passé, les paradis et le sacrifice de soi.

Divers auteurs l'ont également utilisé pour faire référence à d'autres thèmes mythologiques et métaphoriques bibliques, tels que le récit du Léviathan. Le mot a été donné aux mythes et légendes du Moyen Âge, tels que l'histoire de Saint Georges et du Dragon, les légendes du Parsival et les histoires du roi Arthur et de ses chevaliers de la Table ronde. De nombreux commentateurs ont classé