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Compilation - Compilation 3 Romances Adultes
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Livre électronique276 pages3 heures

Compilation - Compilation 3 Romances Adultes

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Compilation 3 Romans ADULTES (New Romance) à prix PROMO !

 

1. Première Leçon (Trilogie Intégrale)

 

Jule, une petite brune timide, veut devenir styliste, et travaille comme simple bonne à tout faire pour l'une des plus grandes et plus réputées entreprises dans le monde de la mode.

Lorsqu'elle tâche accidentellement le pantalon de son PDG James Kaiser, elle obtient deux choses auxquelles elle ne s'attendait pas – une punition… et un travail.

James Kaiser l'engage en tant qu'assistante, et sa « formation » s'avère être un vrai test de soumission.

 

2. Bad Boy (Trilogie Intégrale)

 

Anoushka a détesté Greg au premier regard. Dès que son père lui a présenté ce nouveau partenaire pour l'entreprise familiale, elle a su que c'était un connard, un bad boy sous un costume 3 pièces impeccable. Exactement le genre d'hommes qu'elle s'était juré de ne plus jamais fréquenter.

Le seul souci, c'est qu'elle va être obligé de travailler avec lui pour remettre l'entreprise familiale dans le vert...et ce n'est pas gagné avec un mec pareil, qui est un beau (même très séduisant) parleur. Certes il est hyper sexy, mais Anoushka, à tout juste 26 ans, cherche fiancé fiable et bien sous tout rapport. Pas lui, clairement pas lui.

Mais Anoushka va comprend que cet homme tient le destin de toute sa famille entre ses mains, et il le sait. Et cela semble lui donner des idées: en échange de sa coopération, il va exiger de Anoushka, qui n'est en fait que peu expérimentée, d'être sa soumise, corps et âme, pour toute la durée de l'été....

Anoushka n'est pas au bout de ses surprises, car c'est un excellent professeur pour son "initiation"...

 

3. Un Si Charmant Voisin (Trilogie Intégrale)

 

Anna, jeune fille de 19 ans, étudiante bien sous tous rapport, vient enfin de prendre son indépendance. Ses parents lui payent une petite chambre de bonne sous les toit d'un des plus bel immeuble de Paris.

Un soir, sa vie bascule : elle rencontre son voisin du grand appartement bourgeois juste en dessous de chez elle : c'est un homme visiblement très riche, habillé avec goût, et franchement très très séduisant.

Elle lui donne 33 ans, il lui répond qu'il en a plus mais qu'elle n'en saura rien. Amusée par son impertinence, il lui propose un soir de venir dîner chez lui, car une de ses passions de jeune rentier est la cuisine…et il aimerait son avis. Anna est sous le charme, elle veut mieux connaître ce séduisant voisin.

La soirée est délicieuse, il est charmant, toujours aussi beau, mais lui fait comprendre en riant qu'il ne serait pas un homme pour elle. Trop innocente. Anna, piquée au vif, insiste…et il la renvoie gentiment chez elle, un baiser sur la joue, avec la mission de lire 50 nuances de grey, pour commencer un mieux comprendre son « univers », comme il dit.

Anna va vite se rendre compte qu'il cache un lourd secret bien plus grave, un secret qui les entraîneront tous les deux dans un tourbillon érotique dont elle ne sortira pas indemne…

LangueFrançais
ÉditeurRose Dubois
Date de sortie28 janv. 2023
ISBN9798215109939
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    Aperçu du livre

    Compilation - Compilation 3 Romances Adultes - Rose Dubois

    Jule, une petite brune timide, veut devenir styliste, et travaille comme simple bonne à tout faire pour l’une des plus grandes et plus réputées entreprises dans le monde de la mode.

    Lorsqu’elle tâche accidentellement le pantalon de son PDG James Kaiser, elle obtient deux choses auxquelles elle ne s’attendait pas – une punition... et un travail.

    James Kaiser l’engage en tant qu’assistante, et sa « formation » s’avère être un vrai test de soumission.

    Le plateau tanguait épouvantablement sous mes mains tremblantes. La tasse de café qui y était posée était à deux doigts de se renverser. Reprends ton calme Jule, ce n'est qu'un café. Oui enfin, ce n'est qu'un café que tu apportes à l'homme le plus important de la boîte dans laquelle tu travailles. J'entendais mes talons retentir contre le sol en marbre qui semblait encore plus glissant que d'habitude. Ou étais-je la seule à avoir cette impression ? Car j'avais le pressentiment que j'allais tomber à tout moment, me ridiculisant devant tout le monde. Quoique cette idée m'effrayait moins que d'entrer dans ce bureau.

    Je m'arrêtai devant la double porte tout au bout du couloir. L'écriteau indiquait en lettres capitales :

    « JAMES KAISER. PDG DES CRÉATIONS KAISER ».

    Je calai le plateau contre ma poitrine et d'un poing pas très rassuré, donnai trois coups à la porte. Dans la demi-seconde qui suivit, celle-ci s'ouvrit brusquement devant moi, faisant basculer le plateau sous mes tentatives maladroites pour rattraper tout ce qu'il contenait. Je sentis alors un liquide chaud brunâtre couler sur mon uniforme blanc, s'étendant sur ma poitrine pour descendre jusqu'à mon nombril. J'entendis des voix s'esclaffer devant moi : deux hommes pris d'un rire ridicule et un, silencieux, dont le pantalon extrêmement chic avait été recouvert de la tartelette aux framboises qui s'était trouvée sur le plateau. Je réalisais que c'était celui de James Kaiser.

    –  Oh mon dieu, je suis vraiment désolée, Monsieur Kaiser... m'exprimai-je honteusement en me mordant la lèvre.

    Je déposai le plateau sur la banquette à côté, et me saisis d'un torchon que je gardais toujours sur moi. Je me mis ensuite à enlever les morceaux de framboises qui se trouvaient au niveau de sa cuisse, ne réalisant pas vraiment les gestes que je faisais. Sous l'emprise du stress, je n'agissais pas sensément. Ce ne fut qu'en voyant son recul évident à mon contact que je rougis davantage et baissai le visage. Je sentais son regard brûler de fureur.

    –  Laissez. Je vais le jeter, articula-t-il.

    –  Bon, nous te laissons, James. À demain à la réunion, lança l'un des hommes d'affaires.

    Les deux individus s'éloignèrent bruyamment, me laissant seule avec M. Kaiser. Je ne savais toujours pas quoi faire. C'est que je n'avais pas l'habitude d'accomplir ce genre de tâches. Son assistante personnelle était celle qui devait lui apporter ses cafés mais étant indisposée elle m'avait rigoureusement demandé d'y aller à sa place. Embarrassée, je m'excusais une seconde fois avant de m'apercevoir que ses yeux bleus fixaient étrangement ma poitrine, là où la tâche de café s'était formée. Lorsqu'il remarqua que je l'observais ainsi, il détourna la tête à son tour perturbé puis, sans même me lancer un seul regard, referma la porte. Je pris alors la fuite et retournai immédiatement à la salle de pause où je pus me débarrasser du plateau. Mon uniforme collait affreusement à ma peau, révélant les tracés de mon soutien-gorge. Je compris rapidement pourquoi M. Kaiser m'avait reluqué ainsi !

    Après m'être changée, je me mis au ménage dans la partie ouest de l'immeuble. Tous les jours depuis presque un an maintenant, je passais mes soirées à partir de 18h, à faire le ménage dans les locaux des Créations Kaiser. Être agente d'entretien n'avait jamais été mon objectif dans la vie. Si j'avais décidé d'accepter ce job c'était d'une part parce que je n'avais guère eu le choix : je devais bien trouver un moyen de payer mes factures, et puis travailler dans l'enceinte d'une si prestigieuse compagnie de mode était un rêve devenu réalité. Sauf qu'à la place de dessiner des croquis de vêtements, je passais la serpillière dans les bureaux de ceux qui le faisaient...

    D'ordinaire, je terminais mon service du soir vers 21h. À cette heure-ci, les locaux étaient quasiment vides. Tout le monde finissait environ entre 20h et 20h30.

    Mais alors que je rangeais tranquillement les derniers torchons de poussière en haut du casier, je fus surprise de voir M. Kaiser adossé à la porte en train de m'observer. Je hoquetai de surprise.

    –  Monsieur Kaiser.

    Mais il ne répondit pas. Il se contenta de me regarder, droit dans les yeux. Bleus contre verts. Encore gênée au souvenir de notre dernière rencontre, je me mis à rougir.

    –  Écoutez Monsieur Kaiser, à propos de tout à l'heure, je suis vraiment désolée...

    –  L'êtes-vous assez pour réparer votre maladresse ? murmura-t-il doucereusement.

    –  Bien sûr.

    –  Suivez-moi dans ce cas.

    Puis il se détourna et reprit le chemin de son bureau. Je le suivis, marchant dans ses pas et l'observant de dos. Il avait un costume bleu marine qui lui flattait la silhouette et qui semblait s'accorder à chacun de ses mouvements. Ses cheveux étaient d'un noir de jais et il était grand, bien plus grand que mon 1m60. Je ne voyais même pas son visage et je me sentais quand même intimidée. Je ne saurai su dire si c'était à cause de sa figure influente dans l'industrie de la mode ou bien son incarnation de la beauté masculine. Quoi qu'il en soit, je me surpris à aimer le regarder ainsi à son insu, même si je me doutais bien qu'il savait que je le dévorais des yeux. Comme toutes les autres filles d'ailleurs...

    Il ouvrit les portes de son bureau en poussant puissamment les battants, dévoilant ainsi la grandeur de la pièce. Elle n'était pas très éclairée, seulement la lampe de son bureau au milieu était allumée ainsi que quelques autres aux quatre coins de la salle. L'obscurité du soir s'était installée sur Manhattan et les gigantesques baies vitrées ne montraient que les autres tours allumées au loin.

    Je fus encore plus impressionnée une fois entrée. Je me trouvais dans le bureau de l'un des plus grands maîtres de l'univers de la mode. Pour quelle raison ? Je ne le savais pas trop non plus moi-même... Mais je compris rapidement lorsqu'il me tendit son pantalon gris tacheté d'éclaboussures roses.

    –  Vous saurez sans doute y remédier, n'est-ce pas ? dit-il avec un sourire aux coins des lèvres.

    –  Oui, mais n'avez-vous pas dit que vous alliez vous en débarrasser ?

    –  C'est ce que j'ai dit parce que... je n'avais pas l'esprit clair, suggéra-t-il en accentuant la fin de sa phrase.

    –  Oh, je vois...

    –  Sinon, que faîtes-vous dans la vie, à part être une employée de ménage ? m'interrogea-t-il sérieusement.

    –  Eh bien, à vrai dire, je ne fais que ça, mentis-je un peu.

    –  Vraiment ? Vous n'avez pas de passe-temps, hobby, vocation ?

    –  Pour être honnête, je dessine un peu.

    –  Qu'est-ce que vous dessinez ?

    –  Des croquis de vêtements.

    –  Hum... Je serai fasciné de les voir, dit-il avec un sourire intéressé.

    –  Oh, rien qui ne valent vos créations...

    –  Ne vous sous-estimez pas. La première chose à faire pour réussir, c'est d'abord de croire en soi. C'est la moitié du chemin.

    –  C'est bien mon problème... soufflai-je, gênée par ma propre timidité.

    Mais contrairement à ce que je m'attendais, il ne se moqua pas. Il me semblait même réfléchir, comme s'il ne pouvait comprendre une chose pareille. C'était tellement facile pour lui, il était beau, charismatique, riche, ambitieux et tellement doué. Et moi, j'étais seulement... moi.

    –  Je vais vous inscrire à notre stage.

    –  Pardon ?! m'exclamai-je, paniquée.

    –  Oui, nous proposons d'excellentes formations au sein de notre entreprise et il se trouve que j'aurai bien besoin d'une autre assistante.

    –  Oh non, s'il vous plaît... Je serai une calamité. Il suffit de voir ce matin...

    –  Ce n'était pas si terrible que ça, déclara-t-il d'un air malicieux. Et puis allez-vous vraiment laisser passer la chance d'avoir accès à tous ces privilèges ? Car il va de soi que les assistantes ne se chargent pas seulement de me rapporter mon café, mais elles assistent également aux réunions, rencontrent des personnalités importantes, participent à des événements prestigieux...

    –  Tout cela semble vraiment génial, admis-je, rêveuse.

    –  Dans ce cas, la question est réglée.

    –  C'est vraiment généreux de votre part, M. Kaiser. Je ne sais comment vous remercier...

    –  Et si vous commenciez par enlever ces tâches ?

    –  Oh... il suffit juste de mettre un peu de citron dilué dans de l'eau dessus, et après un lavage ça devrait être comme neuf.

    –  Du citron ? Il se trouve quand j'en ai justement.

    Puis il se dirigea vers un petit réfrigérateur que je n'aurai pas soupçonné par la surface semblable au reste du mobilier. Il s'activa dans ce coin de la pièce, me laissant regarder tout autour de moi. Ce bureau était décoré avec beaucoup de goût, ce qui ne m'étonnait pas tellement venant d'un as de la créativité.

    Au bout de quelques minutes, il déposa devant moi un verre d'eau avec du jus de citron et à côté, un autre verre à cocktail rempli d'un liquide qui ressemblait également à de l'eau mais qui j'en étais certaine n'en était pas. Il y avait ajouté quelques rondelles de citron qui flottaient à la surface.

    –  Vous voulez que je le fasse maintenant ? demandai-je un peu surprise.

    –  Il vous manque quelque chose ?

    –  J'aurai besoin de coton...

    –  Cela fera-t-il l'affaire ? questionna-t-il en me tendant un mouchoir en tissu.

    –  Euh, je vais essayer...

    Quand je me saisis du mouchoir, nos mains se frôlèrent, faisant passer à travers mon corps un courant électrisant. Je sentis une chaleur naître dans le bas de mon ventre. Oh non, mauvais signe. Je croisai son regard au même instant, il me fixait avec délectation, un sourire à peine dissimulé aux bords de ses lèvres rosées.

    Prise de panique, je fis un mouvement brusque, renversant par la même occasion le verre d'eau citronnée... sur sa chemise. Encore. Il se recula, surpris, mais à la différence de ce matin, il émit un petit rire moqueur.

    –  Je commence à croire que vous le faîtes exprès.

    –  Non, vraiment désolée. Je suis tellement maladroite parfois...

    Il se releva puis commença à déboutonner sa chemise, passant d'un bouton à l'autre avec des gestes tellement plus gracieux que les miens. Je voyais la scène au ralenti, ne voulant détourner les yeux. Ce que je voyais était bien trop plaisant. Bientôt il finit par se retrouver torse nu, dévoilant le haut de son corps musclé juste comme il le fallait. Cette fois-ci, ce fut mon entrejambe qui fut en proie à des braises. Mon dieu qu'il était sexy.

    –  Vous aimez ce que vous voyez, Mlle Lewis ?

    –  Comment connaissez-vous mon nom ? le questionnai-je, interloquée.

    –  Je me suis renseigné sur vous. En réalité, depuis que je vous ai vu il y a quelques mois de cela, j'ai tout de suite été... attiré.

    –  Pardon ? Je ne comprends pas...

    –  C'était un soir. Vous étiez à quatre pattes à nettoyer une tâche sur le sol... susurra-t-il en s'approchant doucement de moi. Quand je vous ai vu dans cette position, j'ai tout de suite voulu faire une chose qui depuis, me démange agréablement à chaque fois que je vous vois.

    Cette fois-ci, il était vraiment proche de mon corps. Ma poitrine touchait son torse bien dessiné. Je sentais la chaleur qui s'en dégageait et qui me réchauffait à mon tour. J'entendais sa respiration dont le souffle qui sortait de ses lèvres venait caresser érotiquement mes joues. Il s'approchait de plus en plus, s'arrêtant juste en face de mon visage qui était brûlant.

    –  Est-ce que vous frotterez ces tâches pour moi à nouveau ?

    –  C'est ce que vous voulez ? murmurai-je, ne me contrôlant plus.

    –  À quatre pattes, oui. Je veux vous voir sur ce sol, nettoyer cette tâche rouge que vous avez faite à mon pantalon.

    Puis il s'éloigna et remit entre mes mains l'habit en question. Je voyais son regard brûler de désir en me regardant me mettre dans la position qu'il souhaitait. Je ne savais pourquoi je lui obéissais mais je trouvais son ton autoritaire excitant.

    Je n'avais jamais imaginé le fait que nettoyer puisse rendre quelqu'un aussi désirable. Et ce fut étrangement comment je me sentis lorsque je me mis par terre, mes genoux touchant le marbre glacé qui contrastait avec le feu de mon corps.

    Imbibant le mouchoir avec le peu d'eau qui était resté dans le verre renversé, je me mis à frotter son pantalon. L'odeur citronnée me vint aux narines, éveillant toute l'acidité de ma bouche. J'avais bien conscience qu'avec cette posture osée, ma robe remontait et que d'où il se trouvait, M. Kaiser devait avoir une vue extraordinaire sur ma culotte. Je réfléchis soudainement à celle que j'avais mise ce matin et fus soulagée que ce fut une rouge en dentelle. C'était l'une des plus affriolantes que je possédais.

    Je l'entendis déglutir, il avait sûrement pris une gorgée du martini qui se trouvait dans le verre à cocktail.

    –  Il semblerait que cette tâche ne parte pas. Relevez-vous, ordonna-t-il soudainement.

    –  J'essaye mais... commençai-je en me remettant debout.

    Il m'interrompit en déposant son doigt sur ma bouche. Ensuite, il commença à faire descendre ses mains le long de mon cou, de mes bras, puis de mes hanches pour atteindre mes fesses bien rebondies. Je sentais ses doigts les malaxer avec la parfaite pression. Il me faisait tellement d'effet... La façon dont il me touchait... Personne ne m'avait jamais touché ainsi auparavant.

    –  Buvez, reprit-il sur un ton autoritaire en me faisant avaler le contenu du verre.

    La boisson me brûla la gorge mais peu m'importait car l'instant d'après il s'empara de ma bouche, mordillant mes lèvres, suçant l'alcool qui y était resté. Sa langue citronnée faisait des merveilles avec la mienne qui était humectée de cet élixir aphrodisiaque.

    –  Je dois vous punir, chuchota-t-il.

    –  Me punir ?

    –  Vous avez tâché mon pantalon et ma chemise. Et vous n'avez pas réussi à enlever les tâches.

    –  Vous méritez donc... une bonne fessée.

    Je me reculai de lui, pas certaine de ce qu'il voulait me faire... Envisageait-il réellement de me donner une fessée ? Je rougis immédiatement quand je vis qu'il était très sérieux. Il me dirigea jusqu'à un divan qui se trouvait là, s'assit et me mit à genoux au-dessus de lui. Il baissa alors prestement ma culotte et mes fesses se retrouvèrent exposées à la bonne volonté de sa paume ferme.

    –  Ton cul est parfait... Et il va adorer ce que je vais lui faire.

    La première tape me fit sursauter mais je ne ressentis aucune douleur. Au contraire, chaque frappe faisait augmenter mon désir. Jusqu'à présent, je n'avais pas été vraiment sûr de ce que je voulais qui se passe dans ce bureau mais maintenant je le savais : je voulais qu'il me prenne, qu'il me possède et qu'il ne s'arrête jamais.

    J'avais perdu le compte des claquements à force, bien trop concentrée sur les sensations qui envahissaient mon corps. Mais il me retourna et enleva chaque tissu qui protégeait ma peau. Il caressa mes seins avec ses mains et joua avec mes tétons durcis avec ses lèvres, les léchant d'abord délicatement puis vigoureusement du bout de sa langue brûlante. Je le regardai ainsi qui chérissait chacun de mes mamelons, les mordillant entre ses dents blanches. Le contact de sa bouche sur ma peau était un véritable poison.

    –  Maintenant, je veux me coller à tes fesses que j'ai fait rougir.

    Il se releva, me laissant à quatre pattes, languissante. J'entendis la fermeture éclair de son pantalon puis un bruit d'affaissement au sol. Il ne me laissa pas le voir nu, se plaçant directement derrière moi. Je sentis soudainement ses doigts caresser mon entrejambe, puis entrer en moi, faisant des gestes circulaires qui me firent chavirer de plaisir. Il toucha ensuite la corde sensible en titillant mon clitoris dont il prit bien soin avec l'un de ses doigts experts de remonter le petit capuchon qui le cacher. C'était délicieux. Il savait à quelle cadence me faire plaisir, il lisait le morse à la perfection sur mon membre humide. J'aurai pu jouir dans les secondes suivantes s'il n'avait pas retiré ses doigts mais je n'en fus pas déçue car son pénis s'enfonça exquisément en moi. Nos essoufflements s'accordaient harmonieusement avec les mouvements de nos corps. Je sentais la sueur perler sur mon front et couler le long de mes seins. Il m'obligea à m'abaisser davantage de telle sorte que mon visage puisse caresser le cuir froid du divan. Sa main était posée sur mon dos et m'arrachait presque la peau mais peu m'importait car le plaisir qu'il me donnait à ce moment précis pouvait tout pardonner.

    –  J'aime te voir comme ça... Avec ton beau cul relevé rien que pour moi, maugréa-t-il entre deux sons rauques de la gorge.

    –  Juste pour toi...

    Encore quelques coups de rein et l'orgasme s'empara de moi, submergeant mon corps, mes émotions. Tout devint confus. Pendant un bref instant, je ne savais plus qui j'étais, où j'étais, pourquoi j'y étais mais ce qui était sûr, c'était que je savais ce que je faisais. Et surtout ce que l'on me faisait.

    –  Oh mon dieu, ça vient... gémit-il.

    Et à son tour, il finit par jouir, se retirant au dernier moment pour éjaculer sur mes fesses et mon dos recourbé. Je sentis sa semence chaude s'écouler sur mon corps, marquant son territoire à jamais sur ma peau nue.

    Après quelques secondes de silence total, je l'entendis remettre rapidement ses vêtements. Je me sentais d'un coup extrêmement fatiguée même si c'était lui qui avait tout donné. Il m'avait fait ressentir tellement de sensations à la fois et en si peu de temps que mon corps et mon cerveau ne répondaient plus.

    –  Votre uniforme.

    –  Ah, merci...

    Je m'en saisis et le passai rapidement sur moi. Il m'avait observé en silence pendant que je me rhabillais. Je voyais encore des scintillements dans ses yeux bleus. J'étais abasourdie par l'effet que je produisais sur lui. Il était clair que mon ex-copain ne m'avait jamais regardé de cette manière et encore moins prise sur un divan comme ça.

    –  Ce fut une entrevue forte intéressante, Mlle Lewis.

    –  Je ne m'y attendais pas.

    –  Cela vous a-t-il plu au moins ? s'enquit-il tout en sachant pertinemment la réponse.

    –  Je pense vous l'avoir suffisamment montrer.

    –  Dans ce cas, je vous dis à demain. Soyez devant mon bureau à neuf heure précise.

    –  Vous voulez refaire ça demain matin ? l'interrogeai-je, un peu surprise.

    –  Non, soyez ici demain pour le stage.

    –  Ah oui. À demain donc, M. Kaiser.

    Je lui fis un dernier sourire avant

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