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Compilation S&M Adulte (5 Romances Adultes)
Compilation S&M Adulte (5 Romances Adultes)
Compilation S&M Adulte (5 Romances Adultes)
Livre électronique179 pages2 heures

Compilation S&M Adulte (5 Romances Adultes)

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Compilation de 5 Romances Adultes S&M !  Découvrez dans cette anthologie exceptionnelle: 

 

1. BD SM Sur Mesure

Anne-Sophie vient de quitter son mari et son mariage si ennuyeux. Libre de s'amuser, libre de constater qu'avec un peu d'effort, elle et ses 36 ans font encore effet sur les hommes...
Un soir, elle a rendez-vous avec un homme qui a l'air particulièrement mystérieux: très beau, très sûr de lui… et qui n'a pas peur de lui dire qu'il a des désirs particuliers...

Anne-Sophie est piquée au vif et sous le charme, elle l'accompagne chez lui… pour y découvrir que cet homme est un expert dans le monde du BDSM...et il va l'emmener avec lui loin, très loin…

 

2. Chantages

Dans toutes les bandes d'amis, il y a toujours cette fille, cette copine, qui sous ces airs de jeune fille timide, essaie tout pour s'habiller sexy et se comporter comme une trainée, en tout discrétion: toujours en tenue sage et sexy à la fois, quel que soit le temps et avec une telle attitude qu'elle sait rendre fous tous les mecs. 

Et bien, cette fille, cette petite coquine, c'est moi. J'ai 19 ans et j'adore baiser. Les mecs beaux, les mecs morts de faim, les mecs trop timides, les mecs trop violents. Je les dévore. 

Et du coup, je n'ai pas trop d'amis filles...et aujourd'hui, justement, je vais me venger d'une garce qui m'a fait une crasse: son mec est un beau garçon, connu pour être bien sous tout rapport... Mais aujourd'hui, c'est le jour de ma revanche. Je vais le séduire, le ramener dans ma piaule d'étudiante, lui faire faire des choses qu'il n'a jamais faites et qu'il ne refera jamais. Car je vais tout filmer, et je vais tout diffuser...

 

3. Deux Gars Une Fille

Ces vacances s'annonçaient mal: je me suis retrouvée coincée pour une semaine de camping en Italie, avec ma mère, son nouveau mec et ses deux fils. Ce sont des gros cons, arrogants car beau gosses, et surtout pas du tout mon type : musclés, tatoués, tout à fait les bad boy à la con.

Bon ok, entre nous ils sont quand même effectivement très beaux gosses…

Mais de fil en aiguille, je dois dire que j'ai changé d'avis sur eux… jusqu'à cette fameuse soirée sur la plage, où je me suis un peu (beaucoup) laissée aller… Je n'aurais jamais pensé oser faire quoi que ce soit comme cela, en plein air, la nuit avec deux mecs si beaux…et ce n'est que le début…

 

4. Le Danseur de Tango

Mark est un écrivain en pleine ascension à Buenos Aires. Il a quitté les États-Unis pour venir en Argentine chercher l'inspiration. 

Paula est une jeune danseuse de tango qui aspire à devenir professionnelle et rêve de gloire à l'étranger. 

Un soir, dans un bar dansant de Buenos Aires, c'est leur rencontre. Electrique, passionnée dès le début, et qui les consumera vite tous les deux…jusqu'à l'irréparable.

 

LangueFrançais
ÉditeurRose Dubois
Date de sortie30 juil. 2024
ISBN9798227974853
Compilation S&M Adulte (5 Romances Adultes)

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    Compilation S&M Adulte (5 Romances Adultes) - Rose Dubois

    Contents

    BDSM Sur Mesure

    Chantages

    Deux Gars X Une Fille

    Le Danseur de Tango

    Sex Traffic

    Rose Dubois

    BDSM Sur Mesure

    Anne-Sophie vient de quitter son mari et son mariage si ennuyeux. Libre de s’amuser, libre de constater qu’avec un peu d'effort, elle et ses 36 ans font encore effet sur les hommes...

    Un soir, elle a rendez-vous avec un homme qui a l’air particulièrement mystérieux: très beau, très sûr de lui... et qui n'a pas peur de lui dire qu'il a des désirs particuliers...

    Anne-Sophie est piquée au vif et sous le charme, elle l’accompagne chez lui... pour y découvrir que cet homme est un expert dans le monde du BDSM...et il va l'emmener avec lui loin, très loin...

    Elle est blonde, faussement sage, en tailleur anthracite anguleux qui met en valeur, par contraste, les courbes généreuses de son corps de trentenaire, et la clarté de son teint. Elle est assise dans un coin du bar devant une boisson de luxe, elle rit quand un danseur manque un pas, elle décoche des œillades aux beaux gosses qui entrent ; elle est là pour profiter de la vie.

    Elle s’appelle Anne-Sophie et elle semble parfaitement à l’aise, pourtant ce n’est pas un pilier de bar. Tout, dans son attitude, respire la bonne éducation, la vie paisible et productive... à côté des gamines farfelues qui se déhanchent en mini jupe, et des femmes vulgaires qui cachent leur visage sous trois centimètres de maquillage, elle a l’air d’une reine égarée parmi le bas peuple.

    Elle n’a d’yeux que pour lui.

    Il a peut-être quinze ans de plus qu’elle, l’air calme mais prêt à bondir, comme un lion au repos ; des fils d’argent s’accrochent aux tempes de ses cheveux châtains, et tout chez lui respire une élégance racée, étudiée avec soin. Il est solitaire ; un seul regard suffit à mettre en fuite les importuns (et les importunes) que son charisme avait instantanément fascinés.

    Il est assis à la table d’en face, et depuis le début de la soirée, il ne cesse de la fixer. Il faut être franc : Anne-Sophie a tout fait pour ça. Il la dévore des yeux. Youri est un habitué de ce bar, mais ça fait quelques mois qu’il n’était pas revenu ; parti en vacances, puis dans sa famille, il vient de rentrer en ville et... quand on voit des nouveautés comme celle-là, ça fait plaisir d’être de retour à la maison. Il la veut, elle est parfaite. Rien d’une jeunette inexpérimentée, mais rien d’une femme mûre autoritaire non plus, et surtout, elle est rayonnante.

    Et pour cause : il l’ignore, mais Anne-Sophie ne jouit pas de sa liberté comme d’un jouet inconnu dont elle ne saurait que faire. Elle en comprend parfaitement le prix. Pierre, son mari depuis dix ans, hante encore son souvenir. Elle vient juste de le quitter. Ils se téléphonent encore souvent. Ils ont du mal à se détacher. Les affaires à répartir, les petits conflits à mettre au point... Mais sexuellement, elle profite à fond, et elle sait qu’elle ne reviendra pas en arrière.

    Elle vient dans ce bar tous les samedis depuis six semaines, et elle n’est jamais rentrée à la maison seule. Elle plaît et ça la ravit. Elle se sent revivre. C’est cela, cette aura de joie et d’amour du plaisir que Youri ressent quand il la regarde, et qui le fascine.

    Mais comment être sûr qu’elle est son genre de femme ? Le genre qui peut endurer les caprices de cet homme pas comme les autres ? Il n’a pas le choix : il faudra bien, tôt ou tard, engager la conversation. Anne-Sophie lève les yeux de son verre et a un choc quand elle le voit s’approcher. Il lui plaît, à elle aussi ; mais elle n’aurait jamais imaginé qu’il ferait le premier pas, surtout aussi vite. Il lui demande la permission de s’asseoir, ils commencent à parler de tout et de rien ; ce soir-là, ils boivent ensemble, ils dansent ensemble...

    Elle sent bien qu’il essaie de deviner quelque chose à son sujet, mais il ne demande rien de façon claire et directe. Et Anne-Sophie perçoit confusément qu’elle ne s’y connaît pas assez pour comprendre de quoi il s’agit, s’il ne le lui dit pas lui-même.

    Elle se résigne : il part et quitte le bar. Tant pis, ce ne sera pas celui-là cette nuit. Dommage. Il commençait déjà à beaucoup lui plaire.

    Elle pose des questions à son sujet au barman, et aux piliers de bar qui l’ont salué à son départ. Ils le connaissent tous bien : comme elle, il vient normalement tous les samedis soirs. Il est marié mais sa femme ne l’accompagne jamais. Ils ne savent même pas à quoi elle ressemble. Il drague, c’est vrai, mais il est très exigeant. Elle n’est pas la première à venir poser des questions à son sujet... Elle rit et fait mine de ne pas s’y intéresser plus que ça.

    Le samedi suivant, cependant, elle a fait encore plus d’efforts pour être séduisante. Elle est passée chez le coiffeur l’après-midi même, et elle a l’air d’une star de cinéma. Quand elle entre, les étincelles volent. On pourrait presque dire que tous les hommes se retournent sur elle. Mais rien : pas de Youri, et elle se sent déçue.

    Quand il arrive enfin, en deuxième partie de soirée, elle est déjà sur la piste en train de lever son gibier du jour. Elle l’oublie instantanément pour venir saluer « son ami ». Ils reprennent leur étrange conversation ; et cette fois, l’homme se montre un peu plus direct. Elle comprend qu’il évalue ses seuils de tolérance au lit. Ce qu’elle est presque à supporter, et ce qui lui semble insurmontable. Très curieuse, elle se met à riposter.

    Le profil de Youri est rapidement établi : il n’aime que la domination. Il l’a découverte dans ses jeunes années, avec une initiatrice qui l’a guidé sur cette voie complexe et secrète, en se faisant sa soumise pour son plus grand plaisir. Il s’est rendu compte qu’il pratiquait déjà pas mal de ces codes par instinct, avant même qu’elle les lui apprenne. Et il n’est jamais plus revenu à une relation classique, mais cela lui a rendu la vie sentimentale plus compliquée.

    Anne-Sophie l’écoute, fascinée, comme si elle découvrait avec lui un nouveau monde.

    « Il y a trois genre de femmes : celles qui connaissent ces codes et les pratiquent avec aisance, les initiées. Je n’ai rien à leur apprendre, mais je n’ai pas de réaction hostile à craindre non plus. C’est comme si on avait déjà couché ensemble. Ensuite il y a les curieuses, celles qui n’y connaissent rien mais sont prêtes à se laisser séduire. » Il lui décoche un petit clin d’œil. « Et enfin il y a... celles qui sont trop prudentes, ou trop coincées. Celles-là se refusent d’excellents plaisirs. Mais je ne vais quand même pas les leur imposer. »

    Anne-Sophie hoche vaguement la tête ; l’alcool monte déjà, et elle n’est pas sûre d’être d’accord avec tout ce qu’il dit, mais elle veut le rassurer sur le fait qu’elle ne lui est pas... hostile, en tout cas, ni coincée.

    « Tu comprends ? » reprend-il avec une sorte de note stricte dans sa voix. Il n’aime pas les faux-semblants, c’est clair.

    « Oui monsieur, » répond Anne-Sophie du tac au tac.

    Oui monsieur... Trois petites syllabes, mais une vraie formule magique. Elles font bondir la queue de Youri dans son pantalon, et lui arrachent un frisson qui descend tout au long de sa colonne vertébrale : il adore ce jeu, ce mélange d’intimité absolue et de retenue civilisée. Elle vient de prouver qu’elle était parfaite.

    « Moi qui m’étais imaginé que tu faisais partie des curieuses... Il faut croire que je m’étais lourdement trompé, » sourit-il presque affectueusement, en lui caressant la joue.

    Cette découverte le rendit silencieux le temps de leur trajet en voiture. Il la ramenait chez lui en connaissance de cause : elle lui avait parlé de sa rupture récente, de l’ennui de son mariage, des coups de fil agaçants de son ex mari, et il récapitulait tout ce petit portrait psychologique et social, en se demandant comment il allait faire jouir une telle femme au maximum.

    Il était évident qu’elle cherchait à découvrir un peu de frivolité et de nouveauté, pour échapper à l’ennui de son mariage. Cela lui laissait donc le champ libre pour expérimenter, d’autant plus qu’elle était parfaitement équilibrée, comme un cocktail d’artiste, avec des doses égales et harmonieuses de grâce pudique et de provocation sulfureuse. Une femme fatale qui s’était longtemps ignorée et était restée fraîche comme une rose, jusqu’à cette éclosion tardive.

    Anne-Sophie remarqua immédiatement qu’il était encore en train de la tester, quand il la guida dans l’ascenseur aux parois transparentes devant son domicile, et lui ordonna : « Déshabille-toi. »

    « Oui, monsieur. »

    Elle ne savait pas du tout dans quoi elle s’engageait. Mais elle était là pour s’amuser, non ? Elle s’effeuilla donc sans hésiter, tandis que la cabine montait lentement vers le septième ciel. Elle appréciait de se montrer ainsi sous le regard d’un homme, et ça se voyait au moindre de ses gestes, qui formaient presque une danse. Elle aimait le sexe, elle était à l’aise dans sa peau et elle savait mettre ses atouts en valeur. Ce n’était pas sa beauté qui coupait le souffle, c’était sa confiance en soi ; Youri la dévorait des yeux.

    Les commissures de ses lèvres se retroussèrent sur un sourire de loup.

    « Tu veux bien qu’on adapte notre langage à notre nouvelle... situation ? Toi, continue à m’appeler Monsieur. Mais tu peux aussi dire Maître si tu veux me témoigner un respect particulier, ou Daddy si tu veux être affectueuse. »

    « Oui monsieur, » sourit Anne-Sophie, en essayant de ne pas rire. Daddy ? Ils n’étaient pas ici pour jouer à la poupée. Mais il ne fallait surtout pas qu’elle se moque, elle sentait bien que pour cet homme, ce jeu d’adultes était on ne peut plus sérieux.

    Elle était maintenant presque nue, mais elle cachait ses appas sous ses mains et ses cheveux telle une Vénus sortant des mers. La lumière de l’ascenseur la nimbait d’une lueur dorée, lunaire ; autour d’elle, le ciel de nuit était d’un bleu sépulcral.

    « Moi, je t’appellerai comme il me plaît, et je ferai de toi ce qu’il me plaît. »

    A cet instant, la porte de l’ascenseur s’ouvrit, sur un couloir qui évoquait un grand hôtel de luxe. L’homme prit Anne-Sophie par le bras quand elle fit mine de se baisser pour ramasser ses vêtements. Elle comprit qu’il ne l’y autorisait pas. Après un bref échange de regards, il la relâcha et s’avança dans le couloir en jetant : « Suis-moi. »

    Il se refusait à trop la toucher pour l’instant. Ainsi, il se ménageait le plaisir de l’anticipation... mais il savait que ce serait bientôt aussi une torture. Qui a dit que les dominants ne savaient pas s’imposer des souffrances ?

    Tout l’étage lui appartenait. Il s’agissait d’un loft magnifique, décoré selon un design dernier cri aux courbes futuristes. Il emmena directement son invitée dans son salon, et sans allumer la lumière, la plaqua contre ce qui ressemblait à un mur. C’était en fait la paroi d’un aquarium : il devinait qu’elle apprécierait le chaud et froid.

    Il l’avait saisie par les poignets pour les croiser au-dessus de sa tête, exposant ainsi sa poitrine généreuse aux pointes dressées. Mais à part ce geste de contrôle, il ne la touchait toujours pas, ce qui faisait frémir Anne-Sophie. Cet homme n’avait besoin d’aucune démonstration pour asseoir sa toute-puissance. Il se contentait d’être. Son regard était plus pénétrant que n’importe quel organe. Elle était déjà terriblement excitée, et il pouvait sans doute le sentir, comme le grand prédateur qu’il était ; mais il voulait jouer.

    Anne-Sophie se garda de prononcer le moindre mot. C’était une danse qu’elle n’avait jamais dansée, et dont elle ignorait même le nom. Elle recevait son enseignement ; elle se laissait guider et elle apprenait.

    Elle le regarda s’éloigner d’un pas, et marcher vers l’interrupteur en défaisant sa cravate. Il alluma la lumière et elle vit la vaste pièce s’illuminer ; du dehors aussi, on pouvait à présent les voir. Enfin... ils étaient si haut dans le bâtiment qu’il aurait fallu se tenir sur la colline d’en face avec des jumelles, mais ce n’était pas impossible.

    Il revint près d’elle, en jouant avec sa cravate ; il détachait maintenant sa chemise et elle voyait apparaître son torse finement musclé sous le tissu de marque. Elle essayait de rester aussi neutre que lui, mais ce n’était pas facile. Les vêtements défaits de l’homme effleurèrent sa peau nue, et elle se sentit trembler visiblement. Il sourit.

    Levant les mains, il attacha sa cravate à un crochet au-dessus de l’aquarium géant, puis, aux poignets d’Anne-Sophie, à présent sa prisonnière. Elle ne ressentait aucune crainte. Si c’était un psychopathe... eh bien tant pis : elle était irrémédiablement sous le charme.

    « Dis-moi, petite chienne... Pendant ce trajet en voiture, tu as été sage ? »

    Et voilà, Anne-Sophie

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