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Tu Es À Moi
Tu Es À Moi
Tu Es À Moi
Livre électronique175 pages9 heures

Tu Es À Moi

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À propos de ce livre électronique

Quand Kendra prit la décision d'approcher Aleksej par la ruse, elle était consciente des risques qu'elle prenait car cet homme était sans pitié et ne pardonnait jamais, et par ailleurs suffisamment puissant pour lui faire chèrement payer toute erreur de sa part. Un seul faux pas et elle perdait la possibilité d'obtenir les informations qu'elle recherchait. Plusieurs mois se sont écoulés depuis leur première rencontre lorsqu'à l'improviste tout bascule à la suite d'une trahison qui met la vie de Kendra en danger et révèle tous ses mensonges. Le moment du règlement de compte est arrivé et Aleksej est prêt à la détruire. Mais, au moment où il la tient entre ses mains, il découvre qu'elle a oublié son passé, un passé qui cache des secrets qu'il a besoin de connaître. Il va devoir choisir entre sa vengeance ou garder cette femme dangereuse à ses côtés, serrée entre ses spires, jusqu'au jour où elle recouvrera la mémoire.
LangueFrançais
ÉditeurTektime
Date de sortie29 janv. 2020
ISBN9788835402107
Tu Es À Moi

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    Aperçu du livre

    Tu Es À Moi - Victory Storm

    Tu es à moi

    Victory Storm

    Copyright ©2020 Victory Storm

    Editeur: Tektime

    Traducteur (ita --> fr): Jean-Luc Dollat

    Cover: Good looking guy di Andrey Kiselev - https://stock.adobe.com | Projet graphique de Victory Storm

    Le Code de la propriété intellectuelle et artistique n’autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective » et, d’autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d’exemple et d’illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale, ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite » (alinéa 1er de l’article L. 122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal.

    Tu es à moi

    Quand Kendra prit la décision d`approcher Aleksej par la ruse, elle était consciente des risques qu`elle prenait car cet homme était sans pitié et ne pardonnait jamais, et par ailleurs suffisamment puissant pour lui faire chèrement payer toute erreur de sa part. Un seul faux pas et elle perdait la possibilité d`obtenir les informations qu`elle recherchait.

    Plusieurs mois se sont écoulés depuis leur première rencontre lorsqu`à l`improviste tout bascule à la suite d`une trahison qui met la vie de Kendra en danger et révèle tous ses mensonges.

    Le moment du règlement de compte est arrivé et Aleksej est prêt à la détruire. Mais, au moment où il la tient entre ses mains, il découvre qu`elle a oublié son passé, un passé qui cache des secrets qu`il a besoin de connaître.

    Il va devoir choisir entre sa vengeance ou garder cette femme dangereuse à ses côtés, serrée entre ses spires, jusqu`au jour où elle recouvrera la mémoire.

    1

    KENDRA

    Danielle, viens ici, m'intima Aleksej de ses manières autoritaires et précipitées qui me tapaient beaucoup sur les nerfs.

    J’aurais voulu lui répondre que Non, que je n'aurais pas fait ce qu'il voulait, mais ces paroles étaient interdites si je voulais demeurer dans son entourage.

    Je dégainai donc mon meilleur sourire et m'approchai langoureusement. Chaque pas était accompli avec une lenteur calculée tout en le défiant du regard, consciente toutefois que cette attitude pouvait détériorer sa patience somme toute assez limitée.

    Au lieu de rester debout devant lui comme il s'y attendait, je m'appuyai nonchalamment sur son bureau d'acajou et promenai mes mains sur la pile de documents posée derrière moi.

    Je savais que je l'irritais par mon arrogance et cela m'amusait. Je jouissais de ces brefs instants de suffisance, pleinement consciente des risques encourus. Mais je n'y prenais garde et j'étais sûre qu'il était plus facile d'obtenir sa confiance par des petits mouvements de rébellion que par une attitude de soumission docile.

    Assieds-toi sur mes genoux, s'écria-t-il avec irritation.

    J'obéis, retenant un soupir de mécontentement.

    À l'instant même, ses mains se posèrent sur mon corps et ses lèvres sur mon cou.

    Je détestais sa bouche, surtout depuis la découverte du plaisir qu'elle me procurait, si bien que j’avais commencé à prendre peur.

    Peur d'éprouver des sensations erronées qui me troublaient et m'envoûtaient à la fois.

    J'aurais voulu fuir, mais cela m’était impossible.

    Lorsque j'avais pris la décision d'approcher cet homme, j'étais consciente que je devrais m'abaisser à son niveau, avec l’éventualité de commettre un faux pas.

    J’avais accepté ce risque.

    J'aurais tout fait pour parvenir jusqu’à lui et à ce qui gravitait autour de lui, comme ces diamants répandus dans une boîte de velours bleu ouverte sur son bureau.

    Ils te plaisent, ces diamants ?, me demanda-t-il à un certain point, s’écartant de moi.

    Pourquoi me le demandes-tu ?, cette insinuation me préoccupa, tandis que je sentais ses mains remonter sous ma jupe jusqu'à l'élastique du string.

    J'ai noté que tu les observais depuis que tu es entrée dans cette pièce. Ils ont l’air de beaucoup t'intéresser, poursuivit-il sans broncher, malgré la morsure que j'infligeai à son poignet pour tenter de l'éloigner.

    C'est un fait : toutes les femmes veulent être couvertes de bijoux, lui répondis-je, feignant l'indifférence malgré le sursaut provoqué par la déchirure de la dentelle qui couvrait mes parties intimes, me laissant une marque sur la peau.

    Il en allait toujours ainsi avec Aleksej : il semblait concentré sur ce qu'il disait, mettant son interlocuteur sur la défensive ; mais il était trop tard lorsqu'on s'apercevait qu'il avait déjà passé outre.

    Toi aussi ? me chuchota-t-il dans l'oreille, embrassant mon cou et glissant sa main entre mes cuisses serrées.

    J'étais si mal à l'aise que je ne comprenais plus s’il était question de diamants ou d'autre chose.

    Je parvins à répondre : Certainement, avant d'être saisie par sa bouche qui prit violemment possession de mes lèvres.

    Comment se fait-il que je ne t'aie jamais vue porter un quelconque bijou ?, poursuivit-il avec la froideur habituelle dont il ne se départait jamais, raison pour laquelle je le haïssais.

    Que veux-tu que je te dise ? Nul homme n'a jamais daigné m'en offrir, répondis-je avec aigreur, approchant ma main de la boîte de velours bleu sombre. Mais avant que je puisse atteindre les diamants, Aleksej, saisissant mon poignet, me tourna vers lui.

    Ils ne sont pas pour toi, m’avertit-il, me fulminant froidement du regard.

    Alors pour qui sont-ils ?, demandai-je, piquée par la curiosité.

    Il coupa court : Cela ne te regarde pas, et, me saisissant par les hanches, il m’inclina sur le bureau.

    Tu t’en tapes une d'autre ?, grommelai-je, m'efforçant de me libérer. Jamais je n'aurais permis à quiconque d'être un obstacle pour parvenir à mes fins !

    Il éclata de rire : Jalouse ?

    Je ne suis pas partageuse, tu devrais le savoir.

    Nous n'avons baisé qu'une seule fois et tu prétends déjà être la seule et l'unique ?

    J’évitai de répondre combien il m’avait coûté de m’être volontairement donnée à lui, ceci sans prendre en compte les marques des cordes avec lesquelles il m’avait attachée, ni le temps que celles-ci étaient restées imprimées sur mes poignets.

    J’avais eu plus de mal à dissimuler la crainte d’être entièrement à sa merci que mon absence d’excitation.

    La seule chose qui alors m’avait donné l’énergie de ne pas tout laisser tomber étaient ces diamants, justement, ainsi que leur origine à laquelle moi-même souhaitais parvenir.

    Cela fait huit mois que je travaille pour toi, lui rappelai-je.

    Et alors ?

    Je m’abandonne à toi, m’imaginant être importante pour toi ; au final, je découvre qu’il y en a une autre, m’enflammai-je avec une indignation feinte.

    Sans croire à cette scène de jalousie, il me demanda, Que veux-tu, Danielle ? Le fait était que le masque de glace que j’arborais habituellement, me montrant insensible et détachée de tout, ne rendait pas crédible cette scène digne d’un feuilleton sentimental.

    C’est toi que je veux, murmurai-je, le fixant du regard et posant mes lèvres sur les siennes avec impétuosité. Ce fut un baiser rageur, tout ce que j’éprouvais à cet instant… Rage d’avoir dû coucher avec lui, rage de devoir mentir au quotidien, alors qu’au fond de moi je n’aspirais qu’à accéder à ses ressources illimitées et m’approprier ses contacts, avant de disparaître enfin dans le néant.

    Alors mets-toi à genoux et suce-moi, me défia-t-il, tout en continuant à me palper de ses mains.

    Je ne suis pas ta pute ! râlai-je énervée, parce que je n’étais pas parvenue à lui soutirer une bribe d’information, ainsi qu’à cause de sa façon de me manipuler et provoquer ma jouissance contre ma volonté.

    Que se passe-t-il, Danielle : tu n’es plus disponible ? Cette fois tu ne dois pas me distraire comme lorsque que je t’avais surprise à fourrer ton nez dans ce qui ne te regardait pas, me souffla-t-il à l’oreille et, me saisissant par les cheveux, il approcha mon visage du sien.

    Je me mordis les lèvres d’inquiétude et d’énervement.

    Il m’avait surprise alors que j’étais à un doigt de savoir qui était son contact. Je me rappelais très bien cet épisode, trois jours auparavant dans cette même pièce...

    Ma couverture allait sauter d’une minute à l’autre, j’avais lu la suspicion dans les yeux d’Aleksej et j’avais compris que j’avais commis une erreur impardonnable.

    La seule issue pour ne pas être chassée et perdre tout ce que j’avais fait pour parvenir jusque-là fut de l’embrasser et de lui offrir ce qu’il désirait depuis le jour de notre première rencontre.

    Je m’étais faite baiser contre la bibliothèque située à trois pas de là.

    À un certain point il m’avait attachée avec des cordes et m’avait suspendue à un crochet qui dépassait en haut de la bibliothèque.

    Consciente qu’il me mettait à l’épreuve, je m’étais laissée faire.

    J’étais parvenue à ne pas bouger un seul muscle malgré la terreur qui, telle un venin mortel, envahissait toutes les fibres de mon corps.

    Je m’étais faite prendre à ses conditions, sans réagir à ses manières brusques et sauvages.

    A ce moment précis je sentais qu’il allait agir de même.

    J’aurais voulu me retirer, sachant qu’au fond il aurait accepté parce qu’il était un gentleman. Mais ses insinuations me pesaient, telle une épée de Damoclès suspendue au-dessus de ma tête, donc je le laissai faire.

    Tu me déçois, Aleksej. Tu ne fais pas la différence entre une femme qui veut baiser avec toi et une qui veut te rouler, le provoquai-je, consciente de signer mon arrêt de mort.

    Tu as besoin d’une bonne leçon, murmura-t-il d’une voix rauque, me penchant sur le bureau.

    Il me maintint fermement par les cheveux, tandis que de l’autre main il relevait ma jupe et baissait son pantalon avant d’arracher définitivement ce qui me restait de lingerie intime.

    Il me fit écarter les jambes et, avant que je puisse me redresser, je le sentis me pénétrer d’une poussée puissante, me remplissant au-delà de ce que je m’imaginais.

    Je hurlai d’effroi.

    Je m’efforçai de me rebeller mais, plus je me débattais, plus son membre me pénétrait furieusement et en profondeur.

    J’adore le fait que tu sois toujours si humide et accueillante, murmura-t-il d’une voix grave, pendant qu’il accélérait ses mouvements.

    Je haïssais ses paroles parce qu’elles disaient la vérité. Personne ne m’avait jamais baisée de cette façon et, bien que je le méprisasse, il me soumettait et me faisait sentir inférieure à lui. La chose me plaisait et, au fond, m’excitait bien plus que je ne l’aurais jamais cru.

    Subitement je sentis ses mains parcourir mes flancs jusqu’à parvenir à mes seins qui dépassaient du décolleté.

    Je ne pouvais pas le voir, mais je sentis ses doigts pincer mes tétons et les triturer jusqu’à les rendre turgescents et gonflés, me provoquant une gêne agréable quand ils frottaient contre le bois du bureau à chacune de ses poussées.

    Aleksej, murmurai-je, en proie à un désir incontrôlable, tandis que lui, ramenant ses mains sur mes flancs, les glissait entre mes cuisses jusqu’à atteindre mon petit bouton auquel il prodigua le même traitement qu’à mes tétons.

    En quelques secondes mon corps se contracta sous les spasmes d’un orgasme qui me frappa avec la violence d’une tempête.

    Assez, je t’en prie, le suppliai-je, sentant mon corps se contracter autour de son pénis qui continuait à fourailler dans mon vagin et ses mains qui n’arrêtaient pas de me titiller.

    C’est moi qui décide quand arrêter, m’avertit-il d’une voix dure et inflexible. Je veux que tu jouisse à nouveau.

    Je n’en peux plus, haletai-je, tandis que mon corps se laissait emporter à nouveau entre les mains d’Aleksej.

    À un certain point, je le sentis venir en moi.

    Je soupirai de satisfaction, espérant que cette torture allait prendre fin. Mais je me retrouvai encore poussée vers l’avant, une de ses mains sur mon sein et l’autre au niveau du clitoris.

    Excitée par son orgasme qui palpitait

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