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Ceci est votre passé - Trilogie Œuvre Divine T.3
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Livre électronique222 pages3 heures

Ceci est votre passé - Trilogie Œuvre Divine T.3

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À propos de ce livre électronique

V alentina et Marcus se sont enfin retrouvés ! Pour se soustraire au jugement de l’ainé, ils n’ont d’autres choix que de fuir pour un nouveau-monde, celui de l’Amérique d’aujourd’hui. Malheureusement, cette contrée est de loin la plus dangereuse de toutes car elle est la demeure du premier ange de l’humanité, celui qui détient tous les secrets…
LangueFrançais
Date de sortie7 oct. 2013
ISBN9782312014159
Ceci est votre passé - Trilogie Œuvre Divine T.3

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    Aperçu du livre

    Ceci est votre passé - Trilogie Œuvre Divine T.3 - Eve Roilant

    cover.jpg

    Ceci est votre passé

    Eve Roilant

    Ceci est votre passé

    Trilogie Œuvre Divine T. 3

    LES ÉDITIONS DU NET

    22 rue Édouard Nieuport 92150 Suresnes

    Que le sang des justes s’éveille…

    © Les Éditions du Net, 2013

    ISBN : 978-2-312-01415-9

    Prologue

    – Valentina, nous y sommes ! Voici la grande pomme, la ville de New-York. C’est incroyable, regarde ces maisons gigantesques !

    – Ce sont des gratte-ciels mon prince et même si nous sommes de nuit, il vous faut garder un peu de tenue votre altesse ! dis-je en me moquant de lui.

    Depuis qu’il m’avait tout dit, tout s’était éclairé. J’avais compris qu’il avait honoré son serment, veillant sur moi pendant des siècles et des siècles. Je n’étais pas vraiment persuadée du bien-fondé de la quatrième vision mais je le laissais y croire. Et aussi incroyable que cela puisse être, nous étions redevenu le même couple qu’autrefois. Fusionnel comme on dit dans cette époque. En même temps, sachant que l’on était le sang et la chair du Cœur de Dieu…

    Je n’avais pas vraiment accepté cette définition, c’était un peu trop grand pour moi mais tout comme lui, j’avais appris la patience. Des siècles au milieu des hommes m’y avaient forgée. Et j’étais certaine que si je devais reconnaître cette vérité un jour, alors cela viendrait naturellement.

    – Regarde celui-là ! Il est impressionnant ! Il touche presque le ciel…

    – C’est l’Empire State Building. Un monument à la gloire des hommes. Beau et dominant comme cette nation.

    – Tu n’aimes pas trop cette ville, je me trompe ? demanda Marcus.

    – La période la plus heureuse de ma vie fut celle où nous étions tous les deux au moulin et nous n’avions pas besoin de tout cela mon prince. De quoi nous nourrir, de l’amour, un feu et un toit, cela nous suffisait amplement…

    – C’est le progrès !!! dit-il fier de lui.

    Il n’était réveillé que depuis peu et s’émerveillait de tout ce qu’il voyait. Il se passionnait pour les voitures, comme tous les hommes d’ailleurs. La science était partout ! Elle avait un terrible ascendant sur la religion. Tout s’expliquait désormais ! De l’atome aux galaxies, l’homme avait tout compris, sauf le plus important ! Le pourquoi de son existence.

    C’était soi-disant le rôle du dernier, celui qui possédait la Main droite bénie de Dieu. Un véritable fantasme entre Marcus et son maître car c’était bien sûr impossible à concevoir et encore moins, à accepter.

    Pour en revenir à Marcus, Bientôt, nous discuterions des moulins à eaux et de leurs évolutions. Un moment difficile en perspective, je n’osais lui dire que cela n’existait pratiquement plus. Enfin, je profitais de sa présence, j’avais retrouvé mon prince.

    – Qu’est-ce qu’il y a comme monde !!! Et même la nuit ! reprit-il.

    – Oui Marcus, le monde ne s’arrête plus. Il est déraisonné, ils détruisent la nature, ils détruisent la vie. Seul compte le dieu papier vert, ils se sont égarés à un point que je ne pouvais imaginer…

    – Valentina, la quête du pouvoir existe depuis la nuit des temps ! Sans cela les hommes perdent leurs repères…

    – Il fut un temps où le repère était Dieu et non l’argent…

    – Ne t’inquiète pas, cela finira par changer, nous en sommes la preuve. Il ne reste plus qu’à attendre ! dit-il.

    – Trouvons un endroit plus agréable, cela doit quand même bien exister dans cette ville…

    – J’ai vu un parc près d’ici, cela serait déjà mieux… dit Marcus en réfléchissant.

    – Oui, allons-y mon prince.

    Nous finîmes par le trouver. Un grand parc, reposant et verdoyant. Au cœur de la ville. Nous étions enfin au calme. L’herbe verte sous nos pieds, le vent dans notre visage. Un moment de tranquillité qui ne dura pas, un terrible pressentiment nous submergea Marcus et moi.

    Quelque chose de fort, non, de terrifiant arrivait ! Puis tout disparut d’un coup et nous vîmes surgir une jeune femme rousse devant nous. Elle avait quelques années de plus que moi mais elle était difficile à distinguer sous ses énormes lunettes noires et son foulard blanc autour de la tête. Seules quelques mèches semblaient libres sous cet accoutrement.

    – Bonjour, excusez-moi de vous déranger mais je cherche mon chemin ? Peut-être pourriez-vous m’aider ? demanda-t-elle en français.

    – Désolée, nous ne sommes pas d’ici ! repris-je dans cette même langue.

    – Oui, c’est ce que je me suis dit ! Vous avez l’air de véritables touristes. Vous venez d’Italie ?

    – Oui ! Comment le savez-vous ?

    – A votre accent ! C’est encore le moyen le plus simple… répondit-elle.

    Marcus commença à se raidir, nous savions lui et moi que nous n’avions pas d’accent et pour cause, nous maitrisions parfaitement notre voix depuis des siècles.

    – Bien, enchantée de vous avoir rencontrée. Nous devons vous laisser… dis-je en la fixant.

    – Attendez ! Je pourrais peut-être vous aider ? Je sais beaucoup de choses ! C’est un don que j’ai depuis ma naissance… dit-elle en souriant.

    – Je n’en doute pas ! Et vous avez aussi le don de voyance peut-être ??

    – Tout à fait ! Je suis sûre que je peux trouver vos prénoms juste en vous regardant…

    Cette jeune femme m’intrigua. Un je-ne-sais-quoi de rivalité entre nous, un sentiment de compétition naturelle qui me donna envie de jouer avec elle.

    – Bien ! J’accepte le défi ! répondis-je.

    – Parfait ! Et si je perds, j’aboierais en faisant trois tours sur moi-même ! répondit-elle en fixant mon prince.

    Cette remarque fit l’effet d’une bombe ! Marcus se mit entre nous et son sang se déclencha agressivement. Je pus étonnamment contenir le mien à ma grande surprise. De son côté, cette jeune touriste ne ressentit rien de particulier ce qui nous rassura.

    – Excusez-moi mademoiselle, j’ai eu une mauvaise sensation. Je ne pensais pas à mal, je vous assure dit Marcus avec soulagement.

    Elle s’approcha de lui et lui glissa un mot à l’oreille.

    – Je le sais bien, la bonté et la compassion sont dans ta nature, Marcus…

    Nous eûmes le même réflexe ! Un bond en arrière pour nous mettre à distance de cette femme. Qui était-elle ? Cela ne pouvait être que la remplaçante d’Ibrail, la nouvelle messagère du feu. C’était donc une situation de danger ! Quoique ?! Elle était particulièrement faible, même inexistante. Je pouvais la vaincre sans difficulté. C’était évident !

    Je fis donc monter mon sang au maximum à mon tour. Cela la dissuaderait rapidement ! Il y avait eu assez de mort dans ma vie et celle de mon aimé. La force du sang du Cœur alliée à celle des Ailes de Dieu furent révélées. Marcus mit genoux à terre. Elle ne bougea pas et se mit à sourire.

    – Et bien, en voilà une grande puissance !!! Mais malheureusement, tu es encore loin du compte ma chère Valentina… dit-elle.

    – Mais qui es-tu bon sang ??? criais-je.

    En moins d’une seconde, un véritable coup de fouet eut lieu. Son sang claqua. Je fus propulsé à genoux comme une paille dans le vent. Impossible, c’était impossible !!!

    – Pardonnez-nous maître, nous ne savions pas !!! dit mon prince terrorisé.

    – Marcus, mais que fais-tu ? demandais-je.

    – Ne t’étonne pas Vénus, il a plus l’habitude que toi de nos rencontres…

    – Mais qui es-tu ?! dis-je à mon tour effrayée.

    – Mon nom est Wanampi et je suis la quatrième…

    Omniscience

    Mon premier maître ! C’était à la fois une joie et une terrible crainte. Au vu de sa puissance, elle pouvait nous anéantir. Nous l’avions compris en une seconde, la force divine en un seul être. Bien qu’étonnant, cela rassura Marcus. Il avait pressenti son existence depuis des siècles, depuis ce jour où il avait découvert le lion caché dans le chapiteau aux lions, l’emblème de l’Inde.

    Il avait compris qu’un grand moment était arrivé, que la roue du destin venait d’avancer d’un cran. Et il en parut enchanté. Moi beaucoup moins.

    Elle nous amena en direction de l’île de ce territoire, celle nommée Manhattan. Elle vivait dans une charmante demeure qui attirait l’œil sans être vraiment ostentatoire. Nous rentrâmes dedans, elle était pratiquement vide. Seul un grand fauteuil de cuir noir reposait au milieu du séjour ainsi qu’un canapé blanc.

    Entre les deux s’affichait un livre d’or couvert de joyaux reposant sur une table de marbre. Au pied se trouvait un large sac de sport. Ce fut Marcus qui rentra le premier, il partit directement près du livre et se mit à rire.

    – Pourquoi ris-tu ? demandais-je.

    – C’est le livre ! Tu ne le reconnais pas ? dit-il.

    Je me mis à l’observer, je l’avais déjà vu. J’en étais certaine !

    – C’est le livre du lion de Venise, celui que le vieil homme vous avait fait parvenir ! dit doucement Wanampi.

    – Le vieil homme ? demandais-je un peu étonnée.

    – Mon grand frère, Kata.

    Marcus s’amusa de cette réflexion, la quatrième lui plaisait déjà. J’en fus immédiatement contrariée, suffisamment pour lui lancer un regard explicite. Il se calma aussitôt et me prit la main.

    – Asseyez-vous mes enfants, ce livre est un symbole pour la longue discussion à venir. Mettez-vous à l’aise.

    – Comment l’avez-vous eu ? demandais-je.

    – Je suis allé faire un tour à Venise il y a quelques siècles, j’en ai profité pour ramener des souvenirs, faire du shopping comme on dit aujourd’hui. L’Italie est vraiment un joli pays ! Bien sûr, il a une forme de botte un peu grotesque mais bon, c’est normal vu que c’est lui qui donne le coup d’envoi de la fin des temps. Un peu d’humour divin, c’est amusant, vous ne trouvez pas ?

    – Non, pas vraiment… répondis-je.

    Je n’étais pas d’accord avec Marcus et son histoire de fin des temps. Cela n’était qu’une grotesque farce ! Une pseudo peur pour contrôler les gens par la religion.

    – Vous savez, Dieu a un sens de l’humour assez particulier mais en général, on l’apprécie, enfin, quelques fois…

    Elle sembla être dans son monde, complètement à l’opposé de la normalité. Mais que pouvions-nous dire ?

    – C’est logique que vous me trouviez un peu différente car je suis à part dans l’œuvre divine. Tout comme les deux autres…

    – Les deux autres ? Marcus et moi ?

    – Non, les trois majeurs qui soutiennent l’œuvre de Dieu. Pour résumer, c’est une sorte de droite qui montre le chemin à prendre. Un la débute, un la renforce et un…

    – La finit ? dis-je logiquement.

    – Peut-être ou peut-être pas ! Je vous en parlerai plus tard car je ne sais pas tout…

    – Oh ? Il existe des choses qui échappent à un maître ? C’est étonnant ! dis-je en la piquant un peu.

    Elle se mit à sourire en réponse à ma petite attaque. Son sourire était particulier. Ni franc ni caché, une sorte de pincement de lèvres qui lui donna autant un air malicieux que dangereux. Elle enleva alors le livre de son piédestal et le remit dans le sac. Puis, elle sortit un dé de sa poche avec lequel elle commença à jouer tout en nous parlant. Je le voyais rebondir sur le guéridon de marbre.

    – Vous êtes plus puissante que Kata ! Comment est-ce possible ? demanda Marcus.

    – C’est simple, il est né après moi…

    – Mais il est l’ainé ?! Et vous êtes plus jeune d’apparence…

    – Ce sont les crèmes ! Elles conservent bien de nos jours ! dit-elle en le taquinant.

    Il lui répondit par un large sourire avec ses dents blanches bien affirmées. Il y avait un feeling entre eux, c’était évident. Ils étaient semblables, aussi intelligents qu’espiègles. Ma jalousie s’amplifia !

    – Ne t’inquiète pas Valentina ! Dans les années à venir, nous passerons beaucoup de temps à nous mesurer. Cela nous occupera et nous amusera également. Mais pas sur ce point-là !

    Elle savait ce que je pensais. Elle me parlait de notre futur comme si elle le connaissait. Ce n’était pas possible !

    – Mais qui êtes-vous ? demandais-je à nouveau.

    – Je suis la toute première messagère et la guide des immortels. La treizième…

    – L’élément caché ? Celui dont parlait mon maître ? demanda Marcus.

    – Oui ! Kapi est le seul à être au courant de mon don. Celui d’origine, l’omniscience !

    Nous avions eu de grands moments d’étonnements dans notre vie mais celui-ci les dépassa tous. Marcus et moi-même en perdîmes la voix pendant quelques secondes. L’omniscience de Dieu ! La connaissance absolue ! Le passé, le présent et le futur ! Impossible à accepter, même en étant une immortelle !

    Et face à l’inacceptable, l’esprit humain revient toujours à son fondement. Le rationnel tenta donc de reprendre le dessus.

    – Ce n’est pas possible ! Cela n’existe pas ! dis-je.

    – Crois-tu que Dieu aurait laissé les hommes sans berger ? Comme un troupeau d’âmes égarées dans le temps ?

    – Je ne sais pas mais personne ne connaissait votre existence. Ce n’est pas vraiment être guidé, que l’on soit mortel ou immortel.

    – Il y a trois bergers dans l’œuvre divine. le premier est la guide des immortels et c’est la meilleure des trois. Moi. Le second est le guide des mortels, et c’est Jésus, votre ancêtre commun. Et le troisième est le messager de lumière, celui qui ouvrira ou fermera le cycle…

    – Prouvez-le nous !!! dis-je.

    – Le berger n’a pas à prouver car la foi en lui devrait suffire ! Mais je suppose que pour mes enfants, je peux faire une exception.

    Elle commença alors à jeter son dé en annonçant le chiffre par avance. La première fois, ce fut évidemment un coup de chance. La deuxième, obligatoirement une coïncidence. La fois d’après, cela devint irréel, aussi dérangeant qu’inquiétant. Puis cela continua. Encore et encore…

    Et quand les probabilités elle-même furent dépassées, quand tout semblant de logique disparut, quand le raisonnement humain fut vidé de son essence, il ne resta plus qu’une seule conclusion.

    – Alors la notion divine apparaît ! dit-elle.

    – C’est fou, on ne peut concevoir cela !

    – Cela n’est pas fait pour être compris mon enfant. Cela doit être tout simplement accepté, indépendamment de tout entendement.

    – Je sais tout ça ! J’ai été sœur pendant six cents ans ! Mais là c’est vrai et c’est différent !

    – Oui, tout comme un humain peut-être un croyant par sa naissance, sa volonté ou ses principes, il ne découvre la véritable foi que lorsque le divin apparait…

    Elle se mit à me sourire. Sa dernière phrase résonna alors en moi ! Une étrange sensation, plutôt une nouvelle force arriva. Plus grande que ma puissance physique, elle était à la fois impressionnante mais en même temps très douce.

    C’était le sentiment d’avoir été acceptée par Dieu ! Celui que j’avais prié pendant tant d’années. Un sentiment de confiance totale, une paix intérieure incroyable ! Même la mort que j’avais toujours cherchée à éviter me parut acceptable.

    Evidemment, Wanampi me regarda et sourit du bout des lèvres, un sourire timide de celle qui savait.

    – Vous savez ce qui se passe je suppose ? demandais-je.

    – Oui Valentina, le sang des justes qui coule dans tes veines vient de s’éveiller…

    – Mais je suis la petite fille de Jésus par le sang !

    – Mon enfant, le sang des justes ne s’éveille qu’au contact de la véritable foi. Et celle-ci ne peux arriver que lorsque le moment est venu, quand ton âme ressent l’appel du divin.

    – Comment ça ? Qu’est-ce que cela veut dire ?

    – A partir de maintenant, l’essence divine est en harmonie avec ton corps. Tu viens d’obtenir la sérénité, celle que nombre d’hommes obtiendront dans le futur…

    Elle avait raison ! Cela n’avait pas duré longtemps, je n’avais pas eu comme Marcus une intense lumière qui m’avait inondé mais c’était pareil. J’avais désormais en moi une quiétude que je n’avais jamais connue. Une confiance en moi, en Dieu, en l’avenir. Un sentiment unique, extraordinaire ! Il était dit que la foi pouvait soulever les montagnes, c’était faux ! Elle pouvait soulever le monde !!!

    – Les hommes vont ressentir aussi cela ? demandais-je doucement.

    – Oui, cela sera l’œuvre du dernier berger, celui qui éveillera le sang des justes… reprit Wanampi.

    – Des milliers d’hommes deviendront comme moi ?

    – Des milliers ? Non ! Des millions de mortels mais nous

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