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Thomas Sif espace: Science-fiction
Thomas Sif espace: Science-fiction
Thomas Sif espace: Science-fiction
Livre électronique200 pages2 heures

Thomas Sif espace: Science-fiction

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À propos de ce livre électronique

Nous sommes en l'an 20 000 et Thomas s'embarque dans une expédition de sept milliards d'années-lumière !

Une photo de l’espace a motivé un challenge entre l’auteur et Thomas Pesquet, l’astronaute français. Durant son séjour dans la station spatiale internationale, le spationaute envoyait des photos de la terre et cela a donné l’idée à Abdelkarim Belkassem de proposer au scientifique de prendre des clichés de son pays natal, le Maroc, en échange d’un roman… Quelques jours après, 4 photos des montagnes de l’Atlas et de 3 villes marocaines ont été diffusées… Un héros, portant le prénom de Thomas, un de ses descendants en l’an 20 000 a alors vécu une aventure romanesque de science-fiction : Thomas Sif Espace. En cette année 20 000, la Terre est en danger et risque de disparaître. Thomas et six compagnons se lancent dans un voyage de sept milliards d’années-lumière. Une mission de sauvegarde de la Terre et des êtres vivants, aidée de la force extrême de la nature se déploie alors. Une lutte entre le bien et le mal, un duel pour préserver les créations et anime l’histoire entre vivre ou périr. L’homme est-il capable de vaincre son destin de mortel ?

Plongez-vous dans ce roman de science-fiction et vivez une mission trépidante aux côtés du descendant de Thomas Pesquet et ses six compagnons !

EXTRAIT

— Il y a toujours une solution. On prendra le temps qu’il faudra mais on trouvera un chemin. Il y en a au moins un, non ? Sinonnous sommes vraiment maudits par la Force divine et par nos ancêtres, remarque Maha.
— Gardons espoir ! Demandons à la Lampe quelle voie emprunter, celle du nord ou celle du sud, propose Thomas.
— La Lampe signale le sud. Rebroussons le chemin et écoutons–la. Nous avons confiance en elle qui nous a si bien guidés jusqu’à présent, dit le Petit Prince.
Alors ils changent de direction, encherchant l’air qui leur manque et rend leur mission plus difficile.
Ils ont assez perdu de temps et l’ennemi est partout, dans le ciel et sur Terre. Ils doivent éviter de s’exposer et de rallonger la durée du périple si dangereux. Ils peuvent tomber dans un guet-apens des soldats de la mort ou d’autres ennemis extraterrestres. La Terre est devenue plus hostile que ce qu’elle était. On la croit vide mais des yeux surveillent sans qu’ils s’en rendent compte. La menace et le danger sont partout.
Le groupe regarde le fond de la faille à la recherche d’espoir. Il semble que la profondeur soit sans limites.
— Peut-on calculer sa taille ? demande Sakouz.
— On pourrait dire onze mille mètres ! répond Thomas. On n’a aucune chance d’y descendre. On ne peut même pas s’accrocher aux rochers, lisses comme du verre.
— La collision a ouvert une grande brèche au fond de la mer. Comme si la Terre s’apprêtait à se couper en deux comme une part de gâteau d’anniversaire ! plaisante Sakouz.
De l’humour pour amuser un peu ses amis.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Franco-marocain, né à Safi au Maroc en 1963, Abdelkarim Belkassem est écrivain et professeur de littérature arabe et musicien classique. Oudiste dans un orchestre arabo-andalou, il est également ténor en chant arabo-andalou et oriental. Il se consacre à l’écriture de romans, pont entre ses deux cultures, et d’essais.
LangueFrançais
Date de sortie26 sept. 2019
ISBN9782851139887
Thomas Sif espace: Science-fiction

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    Aperçu du livre

    Thomas Sif espace - Abdelkarim Belkassem

    « Le centre terrestre »

    — Des soldats arrivent ! Des soldats arrivent ! crie l’un des spectateurs.

    Le groupe se disperse comme des fourmis au-dessus desquelles on a enlevé une pierre sur le nid. Les gens courent à droite et à gauche, déboussolés.

    Des hommes organisent la vie de la cité sous le commandement d’un prêtre de l’Église de la Nouvelle Religion. Ce bourreau se prend pour Dieu sur cette planète qu’on ne peut plus appeler de son nom, la Terre.

    La verdure a disparu et on en parle comme d’un mythe. Plus aucun arbre, des montagnes nues et pelées. Cela fait des siècles que les gens entendent parler de cette nature si verte, perdue à jamais.

    La nourriture, aussi, est différente. Aucun champ et l’eau est introuvable. La sécheresse règne partout.

    Les moyens de relation avec l’autre bout du monde sont devenus impossibles. On ne voyage plus. On ne sait même pas s’il y a des êtres vivants à l’opposé de la cité.

    Peut-être est-elle la seule à avoir survécue aux changements de la planète terrestre.

    Les nuits se déroulent sous les ruines de la ville et on sort uniquement durant la journée pour respirer un peuet voir la lumière.

    Mais de quelle lumière parle-t-on dans la cité perdue ? Selon Sakouz, cela s’est beaucoup modifié.Le soleil était plus clair, lumineux et chaud qu’en cet an 20 000. Tellement plus agréable et brillant pour la population initiale.

    Les conteurs précisent que la planète s’est transformée mais ils en connaissent mal l’origine à part de rares traces écritessur des pierres.

    La lecture est devenue rare. Il faudrait un don des dieux pour expliquer aux gens ce qui leur arrive. Personne ne lit.Il n’y a plus d’école puisque aucun maître ne pourrait se référer au passé et les enseigner. Aucune source de connaissances.

    Alors qu’ailleurs, dans le monde… Des notables s’y sont cachés, selon Sakouz. Ils profitent d’une vie que le peuple n’a jamais connue, et n’y a jamais goûtée. Même les seigneurs de ce monde n’ont pas de temps avant l’Apocalypse et personne ne peut les sauver de la catastrophe.

    — La fin du monde approche plus vite qu’un cheval au galop, dit Sakouz.

    Qui peut leur expliquer ce qu’est un cheval ? Il n’y en a plus. Tout a disparu sauf les hommes. La dernière chose dont il se souvient, c’est que le soleil s’est rapproché de la terre. Il est devenu brûlant et tellement imposant. Rouge comme le feu puis il s’est divisé enpetits morceaux circulaires. Alors les hommes ont éprouvé un vertige, un tournis qui leur a fait perdre conscience.

    Ceux qui se sont réveillés se sont regroupés dans un souterrain d’une obscurité absolue au-delà de celle qu’ils connaissaient.

    La vie est plutôt de la survie, comme le racontent les anciens mythes.

    Le changement a eu lieu loin d’eux. Personne n’est informé sauf par de petites histoires révélées de temps en temps. Des images apparaissent et constituent des légendes qui se transmettent. Au début, secrètementavec crainte puis,enhardis, à haute voix.

    Personne ne croit aux racontars. Le seul qui ose révéler les choses, c’est Sakouz mais considéré comme un fou, on ne l’écoute pas.

    Il croit que c’est une révélation du ciel et des forces de la nature. Une prophétie de cette nouvelle ère.

    Personne ne donne crédit à ses paroles. On a appris à travers les récits des ancêtres qu’il n’y a plus de prophète.

    Sakouz est certain de ce qu’il dit. Ce sera lui qui en sera le dernier avant la fin du monde. Mais qui peut dire où se trouve la Terre, le paradis perdu ? Nul ne le sait.

    Ils entendent parler de choses qu’ils ignorent. Rien de tout celan’existe pour eux. Ils croient que leurs yeux, modifiés, ne voient plus la beauté. Pas de plantes, aucun arbre, pas de fruits… Il n’y a rien à distinguer dans leur environnement. Tout est différent, comme s’ils ne se trouvaient plus dans la galaxie de la voie lactée.

    Le monde où ils se trouvent n’a rien à voir avec la connaissance des ancêtres. Ni mathématicien, ni physicien, ni astronome, personne… Le monde nage dans la stupidité.

    C’est ce que Sakouz annonce. C’est l’ère de l’instinct.

    — Quand le monde perd tous ses savoirs, l’homme n’a plus que ses impressions pour survivre. Rien n’est perdu, tout se transforme. La mort est le chemin naturel vers les autres mondes. La vraie vie n’existera qu’après notre disparition. La réalité se trouve ailleurs, la vie qu’on a connue avant de se poser sur terre. Il n’y a plus aucune hiérarchie entre les hommes et les autres êtres vivants. Nous sommes tous égaux dans ce monde, personne n’est meilleur qu’un autre. Il suffit de laisser son instinct parler puis le guider et on vivra l’éternité !

    Mais quicroira les paroles d’un fou ? Lui – mêmereconnaît que ses dires n’ont pas d’origine. Les ancêtres annonçaientla même chose mais les livres et les écritures sont perdus.

    — Peut-on croire un cinglé ? se demandent les habitants de la cité. Peut-on le prendre comme sauveur du monde ? Ce n’est pas raisonnable de le choisir !

    Les gens qui ont guidé les peuples depuis le début des temps n’étaient pas des fous, comme Sakouz. C’étaient les meilleurs des hommes, les élites, les plusintelligents et les plus forts, physiquement.

    Aucun signe de pouvoir ni d’élection divine avec Sakouz, le fou. Les gens n’entendent que sa voix cassée, ses cris qu’illibère dans les rues dès le lever du jour pour prévenir les hommes et leur montrer le chemin salvateur.

    Toutes les contradictions s’entrechoquent dans les pensées des habitants. En même temps qu’ils fuient à la vitesse de l’éclair pour échapper aux hommes de l’ordre.

    Quand les hommes se séparent,chacun sauve sa peau. Après le passage de la garde, ils ne comptent plus leurs morts.Peu importe, mais qu’attendent-ils donc de la vie ?

    « Un rapide fuyard »

    Sakouz est arrivé à s’échapper, un vrai miracle. Les rafales lui étaient destinées. Oui, pour lui, car les autres habitants sont impuissants et ne savent où aller. On ne peut dépasser l’entrée de la cité, une immense grotte sous une haute montagne.

    Ils s’y sont retrouvés. Vivants ou plutôt survivants, peu importe. Ils vivent ensemble comme des zombies sans âme. Ils suivent à droite et à gauche des sons et des voix, comme s’ils déambulaient comme des malades dans un hôpital psychiatrique.

    Ils cherchent à retrouver leur mémoire. Ils aimeraient bien comprendre ce qui s’est passé et comment ils sont arrivés sur cette planète à laquelle ils ne connaissent rien. Des terres et des montagnes nues, rien d’autre.

    Ils ont eu la chance de découvrir cette grotte pour les abriter comme une mère poule, sous son aile. C’est l’origine de leur vie, l’origine de l’humanité. Sans cette échappatoire, il n’y aurait que le néant.

    Les gens s’informent et croient tout ce qu’ils entendent, même s’ils n’ont pas confiance en quelqu’un comme Sakouz.

    Des animaux-soldats fouinent dans les quartiers. Ils ont un pouvoir démentiel. Ils peuvent s’éloigner, se perdre là-haut derrière les sommets qui entourent la cité. Ils ne craignent pas les apparitions dont parlent les habitants. Des extraterrestres, des monstres sauvages qui mangeraient de la chair humaine.

    Les gens n’ont plus le souvenir de ces animaux Ils peuvent avancer tranquillement vers la gueule de la créature sans se soucier des conséquences. Ils ont perdu toute sensation.

    La fin du monde ! Les gens se dirigent,groupés vers on ne sait quoi. Il faut qu’ils marchent, par un besoin instinctif. Ils cherchent à sortir de ce lieu qui les étouffe.

    Ils se sentent pourtant mortels, menacés. Ils en ont l’assurance et n’attendent que leur heure.

    Mais l’espoir, malgré tout,les motive. Peut-être ont-ils raison. Personne ne sait ce qu’il adviendra, sauf Sakouz.

    Ce qu’il dit c’est la lumière, une infime espérance pour la survie et la renaissance. Alors les habitants se demandent ce qui pousse les soldats à chercher cet homme. Quel danger représente-t-il pour la cité ?

    Un simple idiot ? Les gens ne le croient guère. Ils l’écoutentpour passer le temps, il n’a aucun pouvoir sur eux. L’intérêt des soldats pour cet homme les laisse cependant perplexes. Ce n’est pas anodin que la force soit ainsi mise en branle dans la cité.

    Habituellement, les soldats surveillent de loin. Ils ont un pouvoir effrayant, ils connaissent ce que les personnes pensent, ce qu’elles imaginent. Ils lisent dans leurs pensées… Sans même un interrogatoire, les soldats appréhendenttout. Ils voient et ils perçoiventtout, sans se déplacer.

    Il leur suffit de penser à la personne ou de ressentir ses mouvements pour visualiser et entendre. Images et son. Peut-être encore plus, qui sait ?

    Les gens comprennent cette surveillance qui s’intensifie. Comme si leurs pensées étaient à nu, à découvert, au su des surveillants. Ils ne se trompent pas.

    Sakouz dit que ces soldats sont des extraterrestres venus de loin, envahir la planète des hommes. Des animaux humanoïdes dénués de sentiments et de regrets. Ils mangent de la viande humaine, comme les carnivores. Ils ne respectent aucune loi sauf celle de leur chef, le Bourreau de la cité.

    Celle de la fin du monde, comme le pensent les habitants, la cité de la disparition de la terre, le berceau des hommes, leur mère nourricière !

    Ils se sont transformés eux aussi, sans le réaliser. Ils ont un don de communication étrange, une sorte de télépathie. Ils partagent des informations entre eux, seulement avec leur corps.

    Ce changement, personne ne sait comment il leur est advenu et ils cherchent à le comprendre.En pensant simplement à quelqu’un, ils font les questions et les réponses.

    Ils croient être ensorcelés et ont vite accepté cette singularité. Ils ont compris que c’est le réveil d’une fonction oubliée de leur corps.

    L’homme peut tout entendre et tout voir ! Pour autant, on ne dit pas tout. Des éléments restent secrets.

    Les soldats extraterrestres, eux, possèdentun autre moyen de communication et ça, les citoyens ne le partagent pas.

    Les hommes simples peuvent cependant camoufler leurs connaissances, même dans ces circonstances de fin du monde. Ils protègent toujours leur paradis et peuvent empêcher un indésirable de s’introduire dans ce domaine intime. Il faut se prémunir contre les autres, surtout les ennemis par instinct de survie.

    Sakouz explique cette capacité etindique comment procéder.

    — Il faut bloquer les intrus. Rester vigilants, yeux grand ouverts. On ne sait toujours pas ce qui s’est passé et on ne reconnaît plus rien de l’environnement !

    C’est pour ça qu’il est considéré dangereux par le Bourreau et les soldats car il voit loin, très loin plus que ce qu’ils admettent.

    — Ce n’est qu’un fou qui crée son monde irréalisable, pourquoi les soldats lui courent-ils après ? Il s’échappe, ce qui paraît impossible à un homme sain d’esprit !

    — Il n’est pas si fou que ça ! Il représente un danger pour la cité.

    — Et s’il était le vrai sauveur ? On en a besoin… Mais un homme n’a pas de force devant les soldats.

    L’assemblée se disperse. Tant qu’elle cède aux règles, tant qu’il n’y aura pas un décret du chef, elle sera saine et sauve. Les soldats n’interviennent donc pas.

    La terreur domine quand elle aperçoit que des personnes en uniformes courent silencieusement. Pas une voix, seulement le bruit deleurs brodequins et de leurs protections. Celles-ci se confondent avecleur peau ou est-ce une carapace naturelle ?

    Quand ils parlent, la voix est métallique. Les soldats se protégeraient-ils des criminels en la modifiant ?

    Leurs armes sont puissantes, éclatantes de lumière et insonores. Les cibles touchées deviennent informes. Après leurs attaques, plus rien. Une terre de fumée et de cendres.Terrifiant.

    Les habitants assistent avec étonnement à leurs entraînements. Ils se demandent où ils ont pu se procurer leurs armes dans un monde où rien ne fonctionne, ils possèdentdes instruments de destruction définitive.

    — C’est comme de la magie !

    Le silence règne sur la place. Certains soldats sontau garde à vous, d’autres ont continué leurs recherches. Ils ont recensé la population, mais le seul qui n’alaissé aucune trace, c’est Sakouz !

    Est-il humain, ange ou diable ?

    Y a-t-il espoir que la vie continue ?

    « Le numéro inattendu »

    Sakouz est prêt à affronter l’ennemi qu’il connaît mieux que tout le monde. Même s’il y semble étranger, il appréhende tous les coins de la ville. Y aurait-il déjà habité dans une autre vie ? Il n’est donc pas si fou que ça ! Sans doute moins qu’on le croit.

    La folie, c’est l’inconscience du risque tapi autour de soi. L’ignorance du danger qui nous cerne de près.

    Le Bourreau et les soldats, avant même la nature, annoncent-ils la fin du monde ?

    Ils ont volé la terre et ils en exterminent les hommes désespérés.Pourtant l’espérance peut être illimitée sans se prendre pour des dieux.

    L’hommerêve de créer sa vie. Il neprétend jamais d’en matérialiser d’autres mais de maintenir la sienne. S’il arrive à semer la graine de l’humanité, ce seraune réussite pour laquelle l’homme a une mission.

    Surtout nepas laisser passer l’occasion, avancer main dans la main pour sauver la Terre.

    Une seule personne ne pourrarien. Elle sera faible devant le gigantisme de la nature mais à plusieurs, sincères, elles seront dominerontle diable. Aucune force ne pourra résister devant elles, solidaires et unies.

    Sakouz est très rapide. Il ressemble à un vieillard mais ses jambes sont celles d’une gazelle, comme ille raconte dans ses histoires. Sa course est identique à la coulée de l’eau sur du sable. Elle pénètre partout et les petits grains l’entourent et la rende invisible.

    C’est l’un des missionnaires chargés de lutter contre la fin du monde. Il le ressent intimement et il s’engage pour cette cause. C’est dans ce but qu’il navigue inlassablement dans la ville et qu’il discourt pour prévenir les habitants de l’existence de l’ennemi.

    Selon lui, si on est sur le bon chemin,des yeux nous surveillent et nous protègent du mal en guidant notre esprit.

    Soudain, une main tire fortement sur l’épaule de Sakouz et l’emmène vers la grotte par un passage secret que seul un extraterrestre, normalement,peut voir.

    L’homme qui l’a mitraillé de questions, le notable, Chanat, vient donc à son secours.

    Un vrai ange terrestre, pense-t-il. Le seul, parmi les habitants, à ne pas le prendre pour un vieux fou.

    « À la recherche du sage de la cité »

    Sakouz n’a aucun souvenir sur la bourgade et les chemins

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