À reparcourir à l'occasion de ce « bilan », nous voilà frappés à nouveau par son acuité, sa malice et ses passages fulgurants. Et par la gouaille de l'irrévérencieuse Rebecca, qui ne fait pas du cinéma « pour; la juste colère de Zoé, qui dénonce implacablement , dont elle fait l'objet; la ténacité d'Oscar, , qui arrête de boire et se détache de cette masculinité toxique qui entrave les hommes. , dit-il, et progressivement, Virginie Despentes guide ses trois personnages vers une liberté nouvelle, dans un livre sous-tendu par ses propres questionnements et qui dresse un aperçu bien senti de l'époque, agitée ici par MeToo et les confinements.
