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Punis-Moi je le mérite
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Punis-Moi je le mérite
Livre électronique54 pages49 minutes

Punis-Moi je le mérite

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À propos de ce livre électronique

Sara et son mari David sont présents à un concert apéritif au domaine du château de Christopher, ami et associé de David. Alors que les deux hommes ont une conversation, David voit que sa femme est en train de flirter avec Joshua, un jeune homme à la peau foncée. David attend tranquillement, jusqu'à ce qu'il puisse parler tête à tête à sa femme. Ce qui se passe défie alors l'imagination.
Les pornovellas de Charlie Hedo sont des romans de 5000 à 15000 mots. Idéal pour la lecture sur votre smartphone et tout autre appareil multimédia.

LangueFrançais
ÉditeurCharlie Hedo
Date de sortie26 mai 2017
ISBN9781370856442
Punis-Moi je le mérite
Auteur

Charlie Hedo

Charlie Hedo is een Nederlandstalige schrijver. Hij woont en werkt in Oostende, Vlaanderen.

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    Punis-Moi je le mérite - Charlie Hedo

    Chapter 1

    En sortant de sa Porsche Carrera GT, Sara avait remarqué les deux surveillants du parking qui la fixaient entre ses jambes. Elle portait une robe blanche d’été sans bretelles, et l’avait donc bien cherché, car sortir humblement de sa voiture avec une telle robe est impossible.

    Elle devait lever une jambe assez haut, ajuster sa robe, pour ensuite prendre pied sur les deux jambes restées suspendues un instant au dessus du sol. Elle pouvait donc s’attendre à ce que quelqu’un observe entre ses jambes sa petite culotte minuscule.

    Les surveillants ne faisaient preuve d’aucune honte. Lorsqu’elle les regarda de manière gênée, ils ne baissèrent pas les yeux, au contraire. Elle avait le sentiment qu’ils admiraient sa chatte à travers sa tenue révélatrice. Elle roula des fesses en passant devant eux, sans même leur jeter un regard, tandis que son homme leur laissait 5 euros de pourboire.

    Au loin résonnait la musique de l’orchestre à cordes. Il y avait beaucoup de monde sur le perron du château. David estimait que le groupe comportait cent personnes, ce qui voudrait dire qu’ils faisaient partie des derniers invités arrivant pour le concert. L’hôte Christopher parlait la veille encore de 80 invités, mais David connaissait son collègue et patron mieux que personne.

    Pour ce type de fêtes, il était du genre à inviter des personnes supplémentaires au dernier moment pour être sûr d’éviter un flop. Des gens qu’il croisait dans le village, le boulanger, le boucher, des amis de son club de tennis, le genre de personnes qui, en soit, n’ont pas leur place à une fête d’entreprise pour architectes, de maîtres d’ouvrages et de développeurs.

    Au fur et à mesure qu’ils s’approchaient, Sara sentait les regards peser sur elle de plus en plus lourdement. Elle appréciait le regard des hommes qui admiraient son corps, et les yeux curieux des femmes présentes qui étaient captivées par ce couple qui s’approchait du château. Elles admiraient David qui tenait fermement la main de sa compagne. Il garda le bras droit tendu, poussant sa main fermement vers le bas, en la laissant marcher diagonalement derrière lui, comme s’il promenait sa chienne. Elle gambadait derrière lui, lui qui d’ailleurs marchait trop vite pour une femme en Louboutins. Il lui arrivait de trébucher de temps en temps dans sa hâte pour maintenir la cadence, ce qui lui faisait paraître désespérée.

    Certaines des femmes fantasmaient sur le fait qu’un homme puisse les tenir de manière brutale sur le droit chemin comme il le faisait.

    Certains hommes, eux, fantasmaient sur une femme qui, comme Sara, serait bénie d’un corps parfait, d’un beau visage et de cheveux longs noirs ondulés. La plupart s’excitait à la vue de ses poils d’aisselles soyeux, qu’on pouvait clairement apercevoir, et tentait de s’imaginer son pelage pubien qui était invisible. ‘C’est une salope vulgaire’, pensaient les femmes. ‘Elle a besoin d’un homme sévère qui l’oblige à se raser les parties intimes’.

    ‘Pourquoi est-ce qu’ils ne nous laissent pas stationner plus près ?’ dit David avec un gros soupir après avoir marché 200 mètres.

    ‘Parce que tous ces gazes d’échappements ne sont pas agréables pour les convives déjà présents, apéritif à la main. Sans parler du bruit de ces gros moteurs…’ répond Sara.

    Elle avait l’œil pour ça. Lui pensait aux minutes précieuses et au temps qu’il ne pouvait pas perdre, elle à l’ambiance et la convivialité. Un mélange idéal pour un mariage heureux.

    Elle menait grâce à lui une vie de luxe. Grâce à elle, il avait appris à profiter de la vie. Ils allaient bien ensemble sous tous les angles. Elle laissa son mari la tirer le long de la voie d’accès sans broncher. David coupa le dernier bout de chemin sur la pelouse, sur laquelle il était difficile de marcher.

    Ma petite pelouse, la surnommait Christopher. Un grand champ de 3 hectares avec de l’herbe millimétrée, qu’il tondait lui-même. ‘Ma pelouse, mon entreprise, ma femme.’ c’était dans cet ordre qu’il classait les choses les plus importantes dans sa vie. Sa femme était partie peu après l’achat du château.

    Christopher n’avait le château que depuis un an et il

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