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Le Voyage de Druidle
Le Voyage de Druidle
Le Voyage de Druidle
Livre électronique52 pages41 minutes

Le Voyage de Druidle

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À propos de ce livre électronique

Il y a longtemps, très longtemps, plus de jours qu’on ne peut compter avec toutes les pétales d’un jardin de marguerites, se passe notre histoire : L’aventure d’un garçon avec le courage d’un homme mais comme toutes les histoires ont un début… Soyons sages et commençons d’où nous devons toujours commencer… Du début.
LangueFrançais
ÉditeurBookBaby
Date de sortie16 sept. 2013
ISBN9781483508924
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    Aperçu du livre

    Le Voyage de Druidle - Helder Machado

    début.

    La tribu

    Notre histoire commence dans une tribu gitane, ce genre de tribu où les coutumes sont suivies fermement … Il y avait un mélange de liens de parenté et d’amitié fraternelle qui unissait la tribu et parmi les chefs de famille il y avait le grand-père de notre garçon, Duncan.

    Duncan était un homme fort, d’environ quarante ans avec de fortes convictions. Il avait été esclave pendant un certain temps mais il a réussi à s’échapper avec ceux qu’il appelait son peuple et a constitué la tribu. Duncan avait une fille Aditi, mère de notre Aventurier.

    Aditi, une très jolie fille de 17 ans, de taille moyenne, avec des cheveux bruns clairs, peau brune, d’une joie contagieuse, vive, ayant le goût de vivre, pour la musique et la beauté. Elle aimait son père mais ils avaient beaucoup de mal à s’entendre, sa mère calmait la situation mais c’étaient des jours difficiles. Aditi était jeune et comme tous les jeunes elle voulait le monde pour elle, mais le monde ne lui était pas encore disponible.

    Un matin très froid, durant l’un des voyages du groupe à la recherche de liberté en passant près d’un village, Aditi adossée à sa roulotte colorée et bruyante, vit passer un beau jeunehomme, blond, à la peau claire, les yeux bleus, bleus comme la mer qu’elle aimait tant mais qu’elle ne pouvait voir que rarement. C’était un jeune-homme avec des bottines de cuir et des vêtements rustiques, et seulement plus tard elle put l’appeler par son prénom : Adonis.

    En ce bref instant, Aditi eut la certitude de ce qu’elle savait déjà, sa tragédie et sa rédemption, son présent et son futur, tout comme ils étaient gravés dans la paume de sa main. Elle suivit des yeux le jeune-homme de telle façon que, dérangé, il leva les yeux et fut ébloui par la chose la plus belle qu’ il lui avait été donné de voir de toute sa vie, et il tomba amoureux des yeux en amande ni si foncés ni si clairs : simplement les plus beaux yeux qui l’avaient déjà regardé.

    Le campement fut vite dressé et tous s’installèrent. Aditi avait des battements de coeur lents et douloureux, car elle savait qu’il la trouverait, et elle savait qu’elle l’aimait mais elle savait aussi que cette histoire n’aurait pas une fin heureuse.

    Adonis arriva chez lui, une cabane chaude et douillette où il vivait avec son père, son meilleur ami comme le sont tous les pères, il ne tient qu’aux enfants de le découvrir. Il arriva avec un bonheur intrigant, son père a voulu en savoir plus mais il répondit : c’est mon bonheur.

    Dès qu’Adonis en eut la possibilité, il tâcha de découvrir où se trouvaient les Gitans, ce qui était très facile à savoir, car les gens n’aimaient pas beaucoup des Gitans même s’ils ne les connaissaient pas, ce qui est drôle, n’est-ce pas? Enfin… Après deux jours d’attente, Adonis raconta son amour à son père et partit finalement à la recherche d’Aditi. Il prit beaucoup de temps, même si son cheval ne partageât pas son opinion, un printemps pour qui attend sont quatre-vingt-dix lunes, et quatre-vingt-dix soleils; et il attendait pour la retrouver.

    Il était tard, il faisait presque nuit, Aditi était au bord d’un lac, chantant et dansant toute seule, Adonis fût amené jusque là par le son des bracelets et par les battements sourds de son coeur, ils étaient un couple

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