Réflexions: Échos et Murmures

Par Dennis Amankwaah

Dans les moments ordinaires de nos vies, nous découvrons souvent des histoires extraordinaires qui attendent d'être révélées. "Réflexions : Échos et Murmures" est l'une de ces histoires, un miroir vivant dressé devant le petit ensemble où des journées apparemment ordinaires prennent une tournure inattendue vers le royaume de l'imprévu.

Nichés au sein de cette humble demeure se trouvent des personnages aussi divers que les couleurs de l'arc-en-ciel : Aba Mansa, dont la sagesse équilibre le chaos ; Tante Araba, une mère dont l'amour ne connaît aucune limite ; Antobam, l'agent espiègle du désordre ; et Lady Z, la voisine énigmatique aux secrets inexprimés.

Top of Form

Ces personnages s'apprêtent à entreprendre un voyage à travers les malentendus, les confrontations et les révélations occasionnelles. Dans la tapisserie des bizarreries et absurdités de la vie, les frontières entre l'humour et le drame s'estompent. En toile de fond de l'ensemble, vous découvrirez une chaise brisée, une pomme, et les échos et murmures qui composent le rythme de la vie.

En plongeant dans cette narration, préparez-vous à être à la fois amusé et touché par les réflexions profondes qui émergent des circonstances les plus inattendues. Car "Réflexions : Échos et Murmures" est plus qu'une histoire ; c'est une réflexion vibrante et colorée sur l'expérience humaine dans toute sa complexité, avec l'humour et le cœur entrelacés.

Top of Form

Cette histoire est une invitation à explorer l'inattendu, à embrasser les leçons qui accompagnent la patience et à apprécier la beauté imprévisible de l'imprévisibilité de la vie. Les échos et murmures entre ces pages résonneront avec vos propres réflexions, et vous pourriez découvrir que les jours ordinaires cachent des secrets extraordinaires.

Bienvenue dans le petit ensemble et d'autres décors où l'extraordinaire attend dans les moments les plus modestes.

• Langue: Français
• Éditeur: Sir Den
• Date de sortie: 1 mars 2024
• ISBN: 9789988799878

Aperçu du livre

Contenu

CHAPITRE 1

CHAPITRE 2

CHAPITRE 3

CHAPITRE 4

CHAPITRE 5

CHAPITRE 6

CHAPITRE 7

CHAPITRE 8

CHAPITRE 9

CHAPITRE 10

CHAPITRE 11

CHAPITRE 12

CHAPITRE 13

Préface

Dans les moments ordinaires de nos vies, nous découvrons souvent des histoires extraordinaires qui attendent d'être révélées. Réflexions : Échos et Murmures est l'une de ces histoires, un miroir vivant dressé devant le petit ensemble où des journées apparemment ordinaires prennent une tournure inattendue vers le royaume de l'imprévu.

Nichés au sein de cette humble demeure se trouvent des personnages aussi divers que les couleurs de l'arc-en-ciel : Aba Mansa, dont la sagesse équilibre le chaos ; Tante Araba, une mère dont l'amour ne connaît aucune limite ; Antobam, l'agent espiègle du désordre ; et Lady Z, la voisine énigmatique aux secrets inexprimés.

Ces personnages s'apprêtent à entreprendre un voyage à travers les malentendus, les confrontations et les révélations occasionnelles. Dans la tapisserie des bizarreries et absurdités de la vie, les frontières entre l'humour et le drame s'estompent. En toile de fond de l'ensemble, vous découvrirez une chaise brisée, une pomme, et les échos et murmures qui composent le rythme de la vie.

En plongeant dans cette narration, préparez-vous à être à la fois amusé et touché par les réflexions profondes qui émergent des circonstances les plus inattendues. Car Réflexions : Échos et Murmures est plus qu'une histoire ; c'est une réflexion vibrante et colorée sur l'expérience humaine dans toute sa complexité, avec l'humour et le cœur entrelacés.

Cette histoire est une invitation à explorer l'inattendu, à embrasser les leçons qui accompagnent la patience et à apprécier la beauté imprévisible de l'imprévisibilité de la vie. Les échos et murmures entre ces pages résonneront avec vos propres réflexions, et vous pourriez découvrir que les jours ordinaires cachent des secrets extraordinaires.

Bienvenue dans le petit ensemble et d'autres décors où l'extraordinaire attend dans les moments les plus modestes.

CHAPITRE 1

Le soleil du matin baignait la maison du domaine d'une lueur chaleureuse tandis qu'Aba Mansa, la veuve industrielle, balayait la terre rouge vibrante. Chaque mouvement de balayage créait une mini-tempête de poussière, tourbillonnant et dansant dans l'air avant de retomber au sol. Le son du balai contre le sol résonnait à travers le quartier tranquille, annonçant le début d'une autre journée animée à Awoshie.

Aba Mansa, le front plissé et l'esprit déterminé, était fière d'être la première à se lever dans la maison. Son pagne de deuil, un rappel sobre du passé, flottait légèrement dans la brise douce. Elle était un pilier de force, naviguant à travers les défis de la vie avec résilience et une touche d'humour. Une fois qu'elle eut terminé de ramasser la dernière pile de déchets, elle se lava les mains méticuleusement, éclaboussant l'eau fraîche du seau sur sa peau ridée. Les gouttelettes d'eau scintillaient comme des diamants au soleil avant de dévaler le long de ses doigts et de disparaître dans le sol. Aba Mansa fit une pause d'un moment, s'essuyant les mains avec son tissu, savourant l'éphémère sensation de calme avant que le chaos de la journée ne se déroule.

Au milieu de sa tranquillité, Antobam, un mélange singulier de malice et d'innocence, jaillit de leur chambre comme une tornade. La porte s'ouvrit avec un bruit fort, surprenant Aba Mansa, qui se cramponna à sa taille, surprise..

Où est ce jeune homme ? N'est-il pas en route pour l'école ? Il sera en retard, bon sang ! murmura Aba Mansa, des gouttes de sueur se formant sur son front. Ses yeux balayèrent les environs, cherchant son fils. Antobam, avec sa nonchalance caractéristique, s'approcha de sa mère en mettant en avant une façade d'innocence. Il plaça son pouce droit dans sa bouche et le suça, son regard espiègle croisant les yeux inquiets de sa mère.

Maman, euh, puis-je te demander de l'aide, s'il te plaît ? Je n'arrive pas à trouver mes chaussettes, geignit Antobam, sa voix teintée d'une pointe de désespoir. Son appel à l'aide semblait sincère, mais Aba Mansa avait appris à déchiffrer ses stratagèmes au fil des ans.

Tais-toi ! Espèce de garçon insensé. Que diable fais-tu ? Quel genre d'enfant ai-je mis au monde, je me demande ? réprimanda Aba Mansa, sa frustration grandissante. Elle ne pouvait s'empêcher de s'émerveiller devant la capacité de son fils à transformer la tâche la plus simple en un grand drame. Elle attrapa Antobam par l'oreille, la force de sa prise le tirant vers leur lit. Son visage se tordit de douleur, mais son pouce resta fermement ancré dans sa bouche. Avec un mélange d'exaspération et de tendresse, Aba Mansa le réprimanda, ses paroles étant empreintes à la fois d'amour et de frustration.

Allez, rentre à l'intérieur. Un grand garçon comme toi, tu ne sais pas où tu as mis tes chaussettes. Que vais-je faire de toi ? interrogea Aba Mansa, son ton étant un mélange parfait de sévérité et d'affection maternelle. Alors qu'Antobam se précipitait de retour dans la chambre, son oreille toujours douloureuse de la prise de sa mère, Aba Mansa ne put s'empêcher de secouer la tête avec amusement. Elle s'assit sur le canapé usé, l'épuisement évident dans sa posture. Ses yeux suivirent son fils qui quittait la pièce, claquant la porte derrière lui avec un bruit qui résonna dans toute la maison.

Ce garçon me donne parfois du fil à retordre, oh mon Dieu ! Donne-moi de la patience, supplia Aba Mansa, sa voix étant un mélange d'exaspération et d'affection. Ses yeux fatigués suivirent le chemin du départ d'Antobam, son esprit inondé d'une myriade de souvenirs, un rappel des joies et des défis de la maternité.

Mais les pensées d'Aba Mansa basculèrent rapidement vers la situation dans laquelle elle se trouvait. La maison du domaine, avec ses pièces vides en attente de locataires, pesait lourdement sur son esprit. Le confinement induit par la pandémie avait apporté une vague d'incertitude, et trouver des occupants pour les chambres vacantes était devenu une tâche redoutable.

Hmm, mon Dieu, même un enfant me donne du fil à retordre. Il y a des chambres vacantes à louer, mais personne ne vient. Ce confinement est une source de préoccupation pour moi, oh. se lamenta Aba Mansa, sa voix teintée d'inquiétude. Elle se cramponna une fois de plus à sa taille, trouvant du réconfort dans le soutien qu'elle lui offrait. Comme par une intervention divine, Lady Z fit son entrée, une vision de séduction et de confiance en soi. Sa tenue captivante exigeait l'attention, un crop top rose vif assorti d'une jupe courte noire serrée qui accentuait ses courbes. Elle se déplaçait avec grâce, ses pas dégageant une assurance subtile mais indéniable.

Frappant !, appela Lady Z, sa voix emplie d'un mélange d'espièglerie et de nonchalance. Son chewing-gum ajoutait une touche décontractée à son attitude, comme si elle était détachée du monde qui l'entourait.

Aba Mansa, attirée par le son de la voix de Lady Z, se précipita vers la porte principale. Ses yeux s'élargirent en prenant la vue devant elle, une dame plutôt jolie parée d'une tenue à la mode. Un mélange de curiosité et d'anticipation dansa dans les yeux d'Aba Mansa. J'arrive, qui est là ? demanda Aba Mansa, une touche d'excitation évidente dans sa voix. D'un geste vif, elle ouvrit la porte, révélant le sanctuaire intérieur de l'ensemble.

Oh, ma fille, hmm, je suis désolée. L'esprit de ta vieille maman divaguait. Comment puis-je t'aider, d'ailleurs ? s'enquit Aba Mansa, son regard balayant Lady Z de la tête aux pieds. Elle ne put s'empêcher de s'émerveiller devant l'ensemble moderne de la jeune femme, l'image de la modernité juxtaposée à sa propre tenue traditionnelle de deuil.

Lady Z, avec une expression de déception assombrissant son visage, répondit avec une pointe d'irritation : Mon Dieu, pourquoi ça a pris si longtemps ? J'ai frappé pendant un moment. Elle poussa distraitement sa jupe serrée vers le bas, essayant de maintenir une certaine apparence de modestie, bien que ses efforts semblent vains.

Je comprends que je vais avoir une chambre ici. Je veux louer une chambre, déclara Lady Z d'un ton catégorique, sa voix teintée d'une pointe d'assurance. Oui, ma fille, il y a beaucoup de chambres. Laisse-moi te faire visiter, offrit Aba Mansa, une lueur d'espoir brillant dans ses yeux. Elle guida Lady Z à travers le labyrinthe de l'ensemble, chaque pas résonnant avec le potentiel d'un nouveau départ.

Nous avons celle-ci. Tu peux y entrer ; elle est ouverte. Personne ne l'a prise depuis qu'ils ont assoupli les restrictions du confinement, expliqua Aba Mansa, sa voix