Miss Cox et le Mystère du Ruban Rayé: Une histoire paranormale de Sherlock Holmes

Par Sadie De Winter

Une cliente désespérée au 221B Baker Street ? Ce n'est pas un événement inhabituel.

Mais quand Sherlock Holmes demande de l'aide à son employée de maison, cela devient une situation peu commune.

Miss Drusilla Cox, n'étant pas contre une petite aventure policière, accepte d'accompagner Miss Helen Stoner à Stoke Moran. La sœur jumelle de cette dernière, Julia, y a trouvé la mort il y a deux ans dans des circonstances troublantes. Les nuits précédant sa mort, Julia avait été régulièrement réveillée par un étrange sifflement, mais elle n'avait pas accordé d'importance à ce bruit.

Julia était alors sur le point de se marier, et maintenant Miss Helen Stoner a l'intention de se marier à son tour. Et comme sa sœur jumelle, elle est depuis peu tirée de son sommeil la nuit par un sifflement insistant...

Il s'agit d'une variation paranormale de l'histoire de Sherlock Holmes intitulée "Le Ruban moucheté". L'histoire est racontée du point de vue féminin et se termine bien sûr différemment de la version édulcorée que le Dr Watson a écrite à l'époque.
 

• Langue: Français
• Éditeur: BookRix
• Date de sortie: 17 févr. 2024
• ISBN: 9783755469506

Aperçu du livre

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Miss Cox et le Mystère du Ruban rayé

Une histoire paranormale de Sherlock Holmes

© Sadie De Winter 2023

c/o Gunda Plewe

Friedhofsallee 103d

47198 Duisburg

Contact : [e-mail]

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Il s'agit d'une histoire fictive. Toute ressemblance ou correspondance éventuelle avec des personnes ou des événements existant réellement est fortuite et involontaire.

Design de la couverture :

© Gunda Plewe

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Contents

1.Préface

2.Chapitre 1

3.Chapitre 2

4.Chapitre 3

5.Chapitre 4

6.Épilogue

À propos de l'auteur

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Préface

Si l'on considère les nombreux manuscrits de la plume du Dr John Watson qui ont été découverts puis publiés au cours de ces dernières années, on ne peut arriver qu'à une seule conclusion : L'ami et collègue du grand détective a renoncé au sommeil depuis le moment où il a fait la connaissance de Sherlock Holmes, car il était occupé soit à assister le maître détective, soit à transcrire leurs aventures.

En tant que personne moins crédule, on soupçonne les éditeurs de ces ouvrages de faire preuve d'un excès d'imagination. Combien de journaux intimes et de manuscrits transmis de génération en génération, qui ont dormi pendant plus d'un siècle dans un coffre de banque, peuvent-ils exister ?

Imaginez mon scepticisme lorsque j'ai moi-même été destinataire d'un tel envoi il n'y a pas si longtemps. Il s'agit en effet d'un journal intime qui m'a été transmis sans commentaire. Il n'a pas été rédigé par John Watson, comme je l'ai d'abord supposé, mais par une personne mystérieuse du nom de Drusilla Cox, dont ni le monde ni moi n'avions eu connaissance jusqu'à ce moment.

Ce qui était tout à fait regrettable, comme je l'ai constaté au cours de ma lecture. Miss Cox, ou Drusilla, comme je l'appelais familièrement en pensée après quelques pages, était une femme extraordinaire. Sa version des faits vaut la peine d'être lue par un public contemporain, ne serait-ce que parce qu'elle raconte les histoires du point de vue d'une femme. Je trouve extrêmement fascinantes les allusions qu'elle fait dans des rapports datés plus tard à l'existence d'une unité de police paranormale de métamorphes, qui perdure jusqu'à nos jours. En faisant jouer mes relations (ne me demandez pas), j'ai découvert que ce groupe avait survécu aux cent