Découvrez des millions d'e-books, de livres audio et bien plus encore avec un essai gratuit

Seulement $11.99/mois après la période d'essai. Annulez à tout moment.

Toutes les femmes de ta vie
Toutes les femmes de ta vie
Toutes les femmes de ta vie
Livre électronique192 pages2 heures

Toutes les femmes de ta vie

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

Elles sont 7. Une étudiante à la recherche d'une chimère, une femme au foyer qui s'était un peu oubliée, une réceptionniste qui sait vous mettre à l'aise, une jeune Nigérienne qui découvre la vie en France, une attachée de presse qui suscite l'intérêt, une avocate qui a une revanche à prendre et une épouse en plein doute.
Elles ont entre 20 et 50 ans. Elles sont Femme, dans tous leurs plaisirs.
Vous en avez peut-être déjà croisé une...

LangueFrançais
Date de sortie5 nov. 2023
ISBN9798215099728
Toutes les femmes de ta vie
Auteur

Christian Lamant

Born in the early 70's at La Rochefoucauld, a small town in France with the most beauiful castel in the district, Christian Lamant is the second son of a workers family.He spent a happy chilhood, made scientific study, get married...To fight the terrible rut of marital life, he began writing short stories for his wife. Evening readings were the preludes of scorching nights !Aware of the erotic force of his writings, Christian embarked on self-publishing in 2012. He will not stop !

En savoir plus sur Christian Lamant

Auteurs associés

Lié à Toutes les femmes de ta vie

Livres électroniques liés

Érotique pour vous

Voir plus

Articles associés

Catégories liées

Avis sur Toutes les femmes de ta vie

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    Toutes les femmes de ta vie - Christian Lamant

    Toutes les femmes

    de ta vie

    auto-édition par

    Christian LAMANT

    Distribué par Smashwords

    Copyright 2023 Christian Lamant

    Avertissement

    Texte réservé à un public averti et majeur

    Je suis une femme ! (enfin !)

    Ça y est, je suis une femme ! Une vraie ! Enfin ! C’est arrivé tout à l’heure, alors que je n’y croyais plus vraiment. Mais j’attendais ça depuis bientôt quinze ans… Je m’appelle Marie, j’ai vingt-six ans et vingt jours, et je suis une femme !

    À dix ans, déjà, je me désolais devant la glace, plate et glabre, alors que ma mère était voluptueuse à souhait, avec une belle touffe brune. Comme nous n’avions qu’une salle de bain, je traînais souvent le matin jusqu’à ce qu’elle entre et se déshabille pour prendre sa douche. Je la dévorais des yeux ! Oh, rien de malsain… Juste de la jalousie, et une pointe d’espoir. Depuis ma naissance, tout le monde me disait que j’étais son portrait craché. Je n’avais donc plus qu’à laisser faire le temps. Mais bon sang, que la nature jouait avec ma patience.

    Un soir, je m’en souviens parfaitement, j’avais onze ans, trois mois et deux jours, je fis la découverte qui changea le cours de ma vie. Nous vivions ma mère et moi seules depuis mes trois ans, et le décès stupide de mon père parti chercher des cigarettes. Aucun homme n’avait plus franchit le pas de la porte, à part les pompiers pour le calendrier et le plombier de temps en temps.

    Ce soir-là, donc, alors que j’étais couchée depuis deux heures, je fus réveillée par une envie pressante. Mais la peur me cloua dans mon lit quand je perçus les bruits provenant de la chambre de ma mère. Elle criait, fort, et je croyais qu’un rôdeur s’était introduit dans la maison et s’en prenait à elle. Paralysée dans mon lit, j’entendais la logorrhée de ses plaintes. Ça n’arrêtait pas. Au bout de cinq minutes, je me décidai enfin à intervenir ; Je ne pouvais laisser ma mère seule face à son agresseur. S’il allait la tuer, autant que je parte avec elle. Enfant, on a comme ça des poussées d’héroïsme… Je me levai donc, toute tremblante dans mon pyjama rose, et avançai d’un pas hésitant vers le lieu du crime. Je poussai lentement la porte et me figeai. Maman était engagée dans une lutte avec un homme. Ils étaient tous les deux nus sur le lit et elle l’enserrait de ses bras et de ses jambes. Il me fallut moins d’une minute pour comprendre qu’elle ne courrait aucun danger. Ses longs gémissements, ses râles gutturaux, ses petites jérémiades suraiguës, tout cela n’était que l’expression de son plaisir. Son visage même avait changé. Une sorte de tension l’envahissait. Enfin, elle projeta sa tête en arrière, cambrant son bassin contre celui de l’homme qui se raidit. Ils grognèrent tous les deux et ma mère relâcha son étreinte. Son visage, éclairé par la lumière jaune de sa lampe de chevet, était  d’une grande beauté. Il mêlait extase et béatitude. Jamais je ne l’avais vue aussi jolie. Ses seins lourds étaient gonflés, mais tout le reste de son corps semblait détendu. Je repartis dans ma chambre, sur la pointe des pieds, et me glissai dans mon lit en silence. Cette nuit, je n’avais pas dormi.

    Le lendemain matin, dans la salle de bain, ma mère me demanda ce que j’avais à la regarder avec autant d’insistance. Je ne pouvais lui dire que je la trouvais moins belle que la nuit précédente. Elle était comme je la connaissais : ma maman. Mais la veille, j’avais vu pour la première fois la véritable beauté de cette femme. Et moi, avec mes petits bouts de seins qui pointaient à peine, mes hanches anguleuses et mes fesses plates, j’étais terriblement jalouse.

    Il me fallut attendre plus de cinq longues années avant que mon corps ne trouve des formes vraiment féminines. Bien sûr, vers mes douze ans, j’ai eu mes premières règles. Assez douloureuses, d’ailleurs. Ma mère m’avait alors dit : « ça y est, ma chérie, il y a deux femmes à la maison, maintenant ! ». Mais la douleur qui me vrillait le ventre et me pliait en deux sur la cuvette des toilettes n’avait rien de la posture de ma mère après l’orgasme. Bien sûr, je me suis caressée, à partir de mes quatorze ans, pour tenter de reproduire sur moi ce qui m’avait paru si beau chez ma mère. D’abord avec mon oreiller entre les cuisses, pâle remplaçant de cet homme fougueux qui avait mis ma mère dans cet état. Puis mes mains prirent le pouvoir au fur et à mesure que mes seins se développaient, que ma fine toison devenait un beau buisson brun. Je devins experte en masturbation. Face à mon miroir, je faisais tourner mes doigts sur ma chatte, palpais ma poitrine d’abord avec précaution, puis avec de plus en plus d’ardeur. J’écartais les lèvres de ma fente moite pour glisser un doigt timide dans mon sexe, rapidement suivi d’un autre. Je pinçais mes tétons dressés par le plaisir grandissant et enfin, je branlais mon clitoris gonflé par l’envie de jouir. Mais jamais, quand l’orgasme me clouait à mon matelas, je ne retrouvais dans le reflet la même expression que ma mère repue de sexe. Je compris alors que je n’y arriverais pas seule. Aidée par mon corps appétissant, mes seins ronds et fiers, ma cambrure de reins naturelle qui faisait ressortir mon cul bien ferme perché sur des jambes fuselées, j’entrepris de capturer un garçon pour le ramener dans mon lit. Ce fut assez facile…

    Ce mercredi après-midi, après les cours, Thomas, mon petit copain du moment, me rejoignit dans l’appartement déserté par ma mère. Je lui sautai carrément dessus et l’entraînai vers ma chambre. Nous étions déjà nus en franchissant ma porte, moi, les tétons dressés, lui, la barre à l’horizontale. Je me suis jetée sur le lit en écartant les cuisses. Il m’a pénétrée sans peine, mon hymen n’ayant pas résisté à mes fréquentes masturbations. Hélas, il n’avait lui aussi guère plus de seize ans. Sa jouissance fut rapide, ma déception fut immense.

    Je multipliais ensuite les expériences. Les garçons de mon âge furent vite abandonnés au profit d’hommes mûrs. Au début, je dus mentir sur mon âge, bien aidée par mon corps aux proportions avantageuses. Mais les hommes, passée la quarantaine, raffolent des petites jeunettes, de toute façon.

    Mon échec le plus cuisant fut un vieux beau de quarante-cinq ans. J’avais alors vingt et un ans, et mes études en fac de psycho me laissaient pas mal de temps pour traîner dans les bars à la recherche de l’amant qui me donnerait enfin l’ « Orgasme » tant espéré. Il fut facile à ferrer. Je pense qu’il n’avait pas eu sa dose depuis quelque temps. Nous passâmes une soirée agréable. Il se força même, pour être sûr de ne pas me laisser filer, à m’accompagner dans cette boîte « électro » où j’avais mes habitudes. Je le chauffais encore un peu sur la piste en me frottant à lui sensuellement. Ma robe trop courte lui permettait un accès facile à ma croupe, et il ne s’était pas gêné pour me peloter le cul en plaquant ma chatte sur sa cuisse. À deux heures du matin, nous quittâmes la boîte pour aller chez lui. Un superbe appartement, qui me changeait radicalement de ma chambre universitaire. Et dans sa chambre, au-dessus du lit, je découvris un immense miroir. OK, ça faisait vraiment craignos, mais moi, j’y vis le moyen idéal d’observer ma jouissance. Hubert, puisqu’il s’appelait comme ça, me coucha sur son lit en commençant à retirer sa chemise. Ses mains remontèrent mes cuisses, repoussèrent ma robe pour faire glisser ma culotte sur mes jambes. Il se redressa face à moi, défit sa ceinture et fit tomber son pantalon et son boxer. Je poussai alors un soupir de contentement en écartant machinalement les cuisses. La barre que j’avais sentie contre ma fente en dansant tenait toutes ses promesses. Hubert se glissa entre mes jambes, et vint embrasser ma touffe brune parfaitement taillée. Sa langue commença à tournoyer sur mon clito. Je rejetai la tête en arrière et plongeai mon regard dans mon reflet. J’observais chacun de mes rictus, nombreux, car Hubert savait y faire. Sa langue fut rejointe par ses doigts, qui me fouillèrent le vagin avec application. Mon visage s’empourprait et je voyais mes seins tendre l’étoffe de ma robe. Enfin, Hubert se redressa et se couvrit rapidement la bite de latex. J’en profitai pour envoyer valser ma robe. Nue, j’attendais qu’il vienne en moi, mon sexe coulant comme un fruit pressé. Mais Hubert m’attrapa par les chevilles et me fit rouler sur le ventre. Il se colla à mon dos. Je sentais sa grosse bite coulisser dans le sillon profond de mes fesses cambrées. Il trouva rapidement le chemin de ma chatte ouverte qui l’aspira avec avidité. Sous la brutalité de la charge, je poussai un long râle qu’il étouffa en me plaquant autoritairement la tête contre un oreiller. « Doucement, me lança-t-il en chuchotant, ma fille dort à côté ». Loin de me choquer, cette révélation décupla mon excitation. Je revenais quelques années en arrière, et l’idée d’être surprise par cette enfant dans mon orgasme fit remonter dans ma mémoire l’image de ma mère terrassée par son plaisir. Je lançai alors ma croupe en arrière en écartant mes fesses de mes mains pour qu’Hubert me pénètre encore plus profondément. Lui, la main toujours sur ma tête pour me maintenir silencieuse, s’activa vigoureusement en s’enfonçant jusqu’à la garde à chaque coup de reins. Je sentais mon plaisir monter. Une grosse boule de chaleur envahissait mon ventre, des frissons partaient de mon sexe et remontaient mon dos en vagues de plus en plus rapides. Je soufflais dans l’oreiller, et la chaleur de ma respiration irradiait mon visage. J’allai y arriver, c’était sûr. Je regrettais de ne pouvoir me contempler dans le miroir, mais la présence de sa fille dans la chambre voisine impulsait des décharges hormonales dans mon cerveau. Alors que je commençai à gémir de plus en plus fort, persuadé de partir d’un instant à l’autre dans un orgasme fulgurant, Hubert se retira de mon sexe. Il attrapa ma chevelure brune et me tira à lui, alors qu’il enlevait la capote de son autre main. Il maintint mon visage à quelques centimètres de sa queue qu’il branlait avec vigueur. Je vis son foutre gicler et j’eus à peine le temps de fermer les yeux. Son sperme éclaboussa mon visage en jets brûlants, puis coula sur mes joues et sur mes lèvres pour finir par se répandre sur mes seins tendus par l’excitation. Ce salaud avait gâché « mon Orgasme » pour s’offrir une belle éjac faciale sur mon joli minois d’étudiante en chaleur. Il m’indiqua poliment la salle de bain. Je pris une longue douche brûlante au cours de laquelle je m’offris une rapide jouissance en torturant mon clito et mes tétons encore dressés. Je revins dans sa chambre et remis ma robe et ma culotte sans même le regarder. Je sautai dans mes escarpins et quittai Hubert sans me retourner. J’étais profondément frustrée, et me demandai si je rejoindrais un jour ma mère au paradis des femmes.

    Cette expérience me calma pour un petit moment dans ma recherche. Et quand je repris ma quête, jamais je n’arrivai à atteindre cette extase que je recherchais. Ah, ça, j’étais devenue un sacré coup ! J’étais tellement experte en sexe que tous les garçons, dans ce moment de vérité qu’ils ont juste après l’éjaculation, me remerciaient et avouaient n’avoir jamais connu un tel plaisir avant moi. Mais moi, je restais là, comme une conne, éternelle insatisfaite malgré de fréquents orgasmes qui avaient tous un goût d’inachevé. J’en vins même à me demander si je n’avais pas rêvé ce soir-là, si ma mémoire n’idéalisait pas l’image de ma mère. Mais non, ce n’était pas possible. Ces yeux brillants de mille feux, ce visage comblé, ce corps fatigué et reposé à la fois, non, je n’avais pas pu les imaginer. Ils m’obsédaient, et mon incapacité à les reproduire finissait par ternir ma vie. Pour être sûre de ne rien rater, j’ai même tenté quelques expériences avec des filles. À la fac et dans les lieux dans lesquels je traînais, les lesbiennes ou les bi ne manquaient pas. J’en ai broutées, des chattes ! Des brunes, des blondes, de rares rousses, et de nombreuses lisses comme un brugnon. J’en ai tâtés, des seins ! Des petits, des gros, des fermes et des pendants. J’ai énormément joui durant cette période, mais là encore, il me manquait quelque chose que je n’arrivais pas à nommer. Et puis, je réalisais qu’une bonne grosse bite, ça me manquait. Je n’étais définitivement pas lesbienne, mais j’ai mis ça dans un coin de ma tête, pour plus tard, quand j’aurai trouvé mon Graal.

    Curieusement, mon envie de sexe s’est un peu émoussée quand j’ai eu vingt-cinq ans. En plus, dans mes études, ça commençait à devenir sérieux. Je préparais un DEA de psycho à Paris VII, mention sexualité, procréation et périnatalité. Et comme dit l’adage, ce sont ceux qui en parlent le plus qui font le moins. Je sortais beaucoup moins, lisais tard dans la nuit, étais toujours par monts et par vaux dans des stages tous plus prenants les uns que les autres. Enfin arriva l’examen final, que je réussis assez aisément. Les résultats ont été proclamés il y a un mois, à une semaine de mon anniversaire. Cadeau avant l’heure, j’étais jeune diplômée prête à monter mon cabinet de sexothérapie. Drôle de thérapeute, me direz-vous, incapable de se satisfaire de sa propre sexualité… Mais justement, depuis…

    Pour mes vingt-six ans, mes copines m’avaient organisé une petite fête. Elles avaient débarqué vers vingt heures, après s’être débrouillées pour que je reste à mon appart pour la soirée. Donc, vers vingt heures, je fus envahie par des furies les bras chargés de bouteilles et de petits fours. Il y avait là Hortense, ma copine d’enfance, accompagnée de son mari Nicolas. Simona et Vanessa, amies depuis ma première année de fac, étaient venues seules, et Léa et Nadia, deux de mes ex, étaient venues ensemble. Enfin, Cathy était accompagnée de son cousin Arnaud, qu’elle hébergeait pendant qu’il faisait son stage dans une agence de pub. Nicolas était ravi de sa présence, car il avait eu peur de se retrouver le seul mec au milieu de toutes ces filles, et il lui mit le grappin dessus avant même que la première bouteille ne soit débouchée. On a beaucoup bu, mangé un peu, et dansé comme des folles. Arnaud, coincé avec Nicolas, n’arrêtait pas de me lancer des regards en coin. Visiblement, je lui plaisais bien. Et il me plaisait bien aussi. À peine plus grand que moi, aussi blond que j’étais brune, il remplissait bien son tee-shirt avec son buste musclé et ses épaules carrées. Son petit cul ferme était moulé dans son jean. Il avait des bras larges comme mes cuisses, et le gobelet qu’il tenait avait l’air tout petit dans ses grandes mains. Tout en

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1