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Thérapie de couple
Thérapie de couple
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Livre électronique147 pages1 heure

Thérapie de couple

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À propos de ce livre électronique

Lucie aime encore David, mais sexuellement, ce n'est plus vraiment ça. Les années ont usé leur mariage heureux.Elle décide de leur faire entamer une thérapie de couple.Le docteur Wiesman, thérapeute réputé pour ses méthodes "efficaces", saura leur permettre de retrouver une sexualité épanouie.Dans une chambre d’hôtel devenue le nouveau temple de leur amour ou lors de séances en cabinet parfois troublantes, Lucie et David devront dépasser toutes leurs limites.

LangueFrançais
Date de sortie14 juin 2019
ISBN9780463420515
Thérapie de couple
Auteur

Christian Lamant

Born in the early 70's at La Rochefoucauld, a small town in France with the most beauiful castel in the district, Christian Lamant is the second son of a workers family.He spent a happy chilhood, made scientific study, get married...To fight the terrible rut of marital life, he began writing short stories for his wife. Evening readings were the preludes of scorching nights !Aware of the erotic force of his writings, Christian embarked on self-publishing in 2012. He will not stop !

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    Aperçu du livre

    Thérapie de couple - Christian Lamant

    Thérapie de Couple

    auto-édition par

    Christian LAMANT

    Distribué par Smashwords

    Copyright 2019 Christian Lamant

    28 octobre

    D’abord une légère vibration, puis deux coups brefs. David saisit son portable et consulte son message. « 17h30 tjr pareil ». Cela faisait quinze jours qu’il n’avait pas eu de rendez-vous avec Lucie. Il jette un œil sur son agenda. Ouf ! Rien à cette heure-là, ni pour le reste de la soirée. Plus que huit heures et ils vont enfin se retrouver. Pour assouvir un de ses fantasmes à elle. Du sexe, c’est tout…

    17 heures viennent de sonner au carillon du château lorsque Lucie se présente à l’accueil de l’hôtel de France. Le réceptionniste la reconnaît et lui remet la carte de la chambre 32, qui offre une vue superbe sur la vieille ville. En échange, elle lui remet une enveloppe en kraft. « Pour monsieur », dit-elle sobrement. Puis Lucie s’engouffre dans l’ascenseur en tirant sa valisette et demande presque machinalement le 3éme. Elle profite de la courte ascension pour refaire sa frange, plus pour se rassurer que par nécessité.

    Dans la chambre, elle se dirige directement vers la grande baie vitrée et en tire les rideaux. Aujourd’hui, pas besoin de trop de lumière. Elle revient vers la salle de bain en posant son bagage sur le lit au passage. Elle se déshabille entièrement pour une rapide douche. Une fois séchée, elle se maquille avec soin. D’abord les joues, puis les yeux. Pas grand-chose, juste un peu de fard et du mascara pour sublimer ses cils naturellement longs. Enfin, elle termine par ses lèvres. Aujourd’hui, un rouge mat. Elle revient près du lit, allume le plafonnier et ouvre sa valisette. Elle en sort quatre grands cierges rouges, qu’elle dispose dans des coupelles, par terre, à chaque coin du lit. Elle sort ensuite les accessoires qu’elle s’est procurés spécialement pour cette occasion et les dissimule sous un oreiller. Elle sent ses joues rougir en se remémorant son excitation quand elle les avait commandés sur internet. Cette fois, elle avait fait fort ! Mais Lucie n’a pas le temps de rêver. Elle cherche l’heure.

    17 h 20 ! Dans dix minutes, David frappera à la porte. La ponctualité est un de leurs engagements. Jamais en retard, et surtout, jamais en avance ! Elle sort donc sa tenue. Elle enfile d’abord son body-bustier gainant à jarretelles. Le contact du vinyle froid sur sa peau lui fait pointer les seins. Puis elle fait glisser sur ses jambes fraîchement épilées une paire de bas résille rouges. Elle les attache aux jarretelles dont elle ajuste la tension. Elle déballe ensuite de son carton une paire toute neuve de cuissardes à talons aiguilles. Lucie avait opté pour un modèle assorti à son body. Elle avait pu choisir la hauteur de talon, et avait jugé que huit centimètres étaient ce qu’elle pouvait supporter de plus haut. Après tout, elle n’aurait pas à marcher beaucoup. Lucie revient dans la salle de bain afin de mettre la touche finale. Elle attache ses longs cheveux noirs en une queue de cheval très tirée. Enfin, elle passe de longs gants en velours noir qui viennent couvrir ses avant-bras. Lucie se regarde une dernière fois dans la glace, rajuste ses seins lourds. Elle est prête. D’un pas chaloupé, mais peu assuré, elle regagne la pièce principale. Elle fait disparaître sa valisette dans le placard face au lit. Elle prend son briquet et allume les quatre cierges. Elle peut enfin éteindre le plafonnier. Elle se poste à l’entrée du passage qui longe la salle de bain et conduit à la porte de la chambre. Elle attend David qui va arriver d’un instant à l’autre.

    Il est 17 h 29 quand David se présente à la réception.

    – Bonjour ! Chambre 32. Vous avez un message pour moi ?

    – Tout à fait monsieur. Madame est arrivée…

    – Merci.

    David se saisit de l’enveloppe en kraft et entre dans l’ascenseur. Il découvre alors le message de Lucie. « Quand tu entres, tu baisses les yeux ! Toujours ! Pas un regard ! » Il sort de l’ascenseur et se place face à la porte de la chambre 32. Il frappe trois coups et n’attend pas de réponse pour entrer, comme toujours.

    – Je ne t’ai pas dit d’entrer ! tonne Lucie.

    – Mais… Euh… d’habitude…

    – Baisse les yeux ! Et ressors !

    – OK, OK !

    – Oui Maîtresse ! Tu dis « oui Maîtresse » !

    – D’accord…

    – Comment ! hurle Lucie.

    – Oui Maîtresse, dit David en ressortant.

    Il se replace devant la porte et frappe de nouveau trois coups. Rien. Il frappe une troisième fois. Lucie l’autorise enfin à entrer.

    – Bonjour.

    – Bonjour qui ?

    – Bonjour, Maîtresse.

    – Bienvenue, ma chose. Entre dans la salle de bain et mets-toi à poil !

    – Oui Maîtresse.

    David s’exécute. Dans l’obscurité, et qui plus est les yeux baissés, il n’a pratiquement rien vu de Lucie. Mais la situation l’excite et il se dépêche d’obéir. Il ressort de la salle de bain, nu comme un ver. Lucie l’interpelle et lui demande d’avancer. David baisse la tête et entre dans la pièce principale. Lucie lui demande d’approcher encore. Même les yeux baissés, David découvre la tenue de sa maîtresse. Il est surpris de la découvrir sur des talons, et très excité par l’ensemble. Le sang commence à affluer dans sa verge. Comme Lucie lui demande d’approcher encore, David vient pratiquement se coller à elle. Son regard plonge dans le décolleté très avantageux, ce qui durcit encore sa queue. Son gland en vient presque à toucher Lucie.

    – Recule, sale petit pervers ! Tu vas me salir !

    – Pardon, Maîtresse. Mais vous êtes tellement belle…

    – Tu as l’air surpris !? Tu en doutais ?

    – Oh non Maîtresse, mais…

    – Il n’y a pas de « mais » !

    – Bien Maîtresse.

    – Ton manque de respect mérite une punition. Tourne-toi contre le mur !

    David obtempère. Tout penaud, il ne sait pas quoi faire de ses mains, qu’il croise dans son dos, comme un enfant. Lucie se dirige vers le lit et récupère sous l’oreiller la cravache qu’elle avait dissimulée. Elle revient lentement vers David et se poste à côté de lui, la bouche à quelques centimètres de son oreille. Elle fait remonter la languette de cuir dans le dos de son amant.

    – Alors comme ça, tu doutais de ma beauté…

    – Pas du tout !

    – Alors, qu’est-ce qui te surprend ?

    – Votre tenue…

    – Qu’a-t-elle, ma tenue ?

    – Elle est si…excitante…

    Un premier coup de cravache claque sur les fesses de David.

    – C’est ma tenue qui t’excite ?! Ce n’est pas moi ?

    – Si, Maîtresse, c’est vous. Vous êtes terriblement excitante…

    Lucie passe derrière David. D’une main, elle saisit son sexe à demi bandé.

    – Si je suis si excitante, pourquoi bandes-tu si mou ?

    – C’est que… euh… balbutie David.

    Un coup de cravache s’abat sur sa cuisse. Un étrange mélange de douleur et de plaisir l’envahit. Du coup, son érection grossit.

    – Mais c’est que ça t’excite, mon cochon ! Tu vas voir si je vais te faire bander, moi !

    À ces mots, Lucie se détache du dos de David, tout en gardant sa bite en main. Elle lui décoche un grand coup de cravache sur les fesses. Sous le choc, David lance son bassin en avant, ce qui fait coulisser son sexe dans la paume gantée de Lucie, et renforce encore son érection. Voyant l’effet que produit sa correction, Lucie donne encore cinq coups de cravache, zébrant les fesses de David de rouge. Elle a maintenant dans sa paume un sexe si gorgé de sang qu’elle peine à joindre son pouce et son index.

    – Hé bien, mon salaud, ça te plaît !

    – Oh, Maîtresse… Vous me faites mal…

    – Ce n’est pas l’impression que ça donne. Tu commences à m’exciter.

    – Je suis là pour ça, Maîtresse.

    – Exactement, ma chose ! Exactement !

    Une nouvelle série de coups pleut sur l’arrière-train de David, qui gémit à chaque fois que la cravache fouette sa chair. Il appuie ses mains contre le mur pour affronter plus facilement la violence des coups, mais il ne peut contenir les mouvements de son bassin. Il se branle bien involontairement dans la paume veloutée de sa maîtresse.

    – ça suffit comme ça ! Tu ne crois pas que je vais te faire jouir ainsi… dit Lucie en relâchant la bite tremblante.

    – Votre main est si douce, Maîtresse.

    – Pour te récompenser de la belle érection que tu m’offres, tu vas découvrir que j’ai bien d’autres douceurs pour toi.

    – Oh oui, s’il vous plaît, Maîtresse, faites-moi profiter de ces douceurs.

    – Ne sois pas impatient. Allez ! Suis-moi !

    Lucie contourne le lit et se poste debout. David la suit avec l’empressement d’un petit chien. Elle se retourne et fait reculer son amant en pointant la cravache sur son torse. Elle lui demande de s’asseoir au bord du lit et d’écarter les cuisses. Lucie se place entre les jambes de David et pose tendrement la main sur sa joue, puis la passe dans sa nuque et lui empoigne les cheveux. Elle rejette alors violemment la tête de David en arrière. Tout son corps vient s’affaler sur le lit. Alors qu’il tente de se redresser, un coup de cravache sur un téton le stoppe net. Lucie l’invite à ne surtout pas bouger, d’une voix suave, mais menaçante. Elle promène sa cravache sur le torse de David, puis descend sur son ventre et se dirige enfin sur ses bourses gonflées. Elle les frappe à trois reprises et s’amuse de voir la bite tendue tressauter. Lucie se penche alors en avant et vient lécher un téton, qu’elle se met rapidement à mordiller. Elle sent contre son ventre le bassin de David se tortiller sous la douleur. Elle change de téton et reprend ses morsures. David ne peut contenir des petits gémissements, tout en lançant son sexe à la rencontre des seins de Lucie qu’il sent si proches. Répondant aux attentes de son amant, elle se laisse glisser en arrière et vient caler le membre brûlant dans le sillon de sa poitrine comprimée par le bustier. Lucie s’appuie sur un coude et, de son autre main, descend la cravache sur l’extérieur de la cuisse de David. Elle entame alors un lent mouvement de va-et-vient pour le branler au creux de sa gorge, scandant le rythme par de petits coups de cravache. David respire de plus en plus fort. Il tente de jeter un œil sur le spectacle que lui offre sa maîtresse en redressant légèrement la tête. Il croise le regard noir de Lucie qui lui signifie sa réprobation par un coup de cravache beaucoup plus appuyé. David s’abandonne et sent la jouissance monter. Lucie, voyant poindre une goutte au méat, se redresse brusquement, arrachant un soupir de déception à son homme.

    – Tu ne vas pas jouir ainsi non plus, ma petite chose…

    – Lucie, c’est tellement bon…

    – Comment ?! aboie-t-elle en faisant claquer sa cravache.

    – Maîtresse ! Oh, pardon, Maîtresse !

    – Je préfère ça ! Vraiment, tu me déçois… Moi qui voulais être un peu

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