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Pour toujours et à jamais: Lettres des Roxton Volume premier
Pour toujours et à jamais: Lettres des Roxton Volume premier
Pour toujours et à jamais: Lettres des Roxton Volume premier
Livre électronique190 pages2 heures

Pour toujours et à jamais: Lettres des Roxton Volume premier

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À propos de ce livre électronique

Ce deuxième volume de lettres jusqu’ici jamais publiées et issues de la correspondance privée de la famille Roxton couvre une période de vingt ans, des années 1760 à la fin des années 1780, et comprend des extraits des journaux d’Antonia, duchesse de Kinross, et de son fils cadet, Lord Henri-Antoine Hesham. Ce volume comprend également des lettres écrites par le cinquième duc de Roxton, quand il était en phase terminale de sa maladie, à son fils cadet, Lord Henri-Antoine. Ce volume se conclut sur une lettre écrite par la femme de ce dernier, Lady Henri-Antoine Hesham, à sa belle-mère, la duchesse de Kinross, pendant leur voyage de noces. Ces lettres accompagnent les derniers tomes de la saga primée de la famille Roxton : Dair le Diabolique, La Fière Mary et Le Fils du satyre. Préface écrite par une descendante de la famille, qui a vécu à la fin de l’époque victorienne : Alice-Victoria, dixième duchesse de Roxton.

Critiques :
Je comprends Lucinda Brant. Elle comme moi, nous sommes de ferventes romantiques dans l’âme. Quand j’ai commencé à lire Éternellement vôtre, le premier volume des lettres des Roxton, je n’étais pas sûre que ces quelques lettres parviendraient à retenir mon attention. Je n’aurais jamais dû douter de Lucinda Brant. Éternellement vôtre était magique. Pour toujours et à jamais nous permet de découvrir le monde du sixième duc, de sa duchesse et de leur dynastie. Chaque lettre, qui donne réellement une impression de discussion personnelle, révèle certaines informations qui n’étaient pas présentes dans les livres précédents sur cette famille, ou répond à certaines interrogations à propos des personnages ou des événements mentionnés au cours de la saga. Lord Henri-Antoine est rapidement devenu l’un de mes personnages préférés des Roxton dans Le Fils du satyre. Ainsi, quand j’ai compris que de très nombreuses lettres de Pour toujours et à jamais évoquaient l’enfance d’Henri-Antoine, puis le début de sa vie adulte et enfin son mariage, j’ai bien sûr été captivée. Une fois encore, Lucinda Brant nous rappelle pourquoi elle fait partie des spécialistes incontestées du genre. ★★★★★ SWurman, Night Owl Review, coup de cœur

Livres du même univers :
Plongez dans le XVIIIe siècle, dans le monde méticuleusement documenté de Lucinda, dans lequel s’entrecroisent les personnages, les lieux et les événements.

Famille Roxton
• Années 1740 LE NOBLE SATYRE (Renard et Antonia)
• Années 1760 NOCES DE MINUIT (Julian et Deb)
• Années 1770 DUCHESSE D’AUTOMNE (Antonia et Jonathon)
• Années 1770 DAIR LE DIABOLIQUE (Dair et Rory)
• Années 1770 LA FIÈRE MARY (Mary et Christopher)
• Années 1780 LE FILS DU SATYRE (Henri-Antoine et Lisa)
• 1743–77 ÉTERNELLEMENT VÔTRE (Lettres des Roxton Volume premier )
• 1772-87 POUR TOUJOURS ET À JAMAIS (Lettres des Roxton Volume second)

Famille Salt Hendon
• 1763 L'ÉPOUSE DE SALT (Magnus et Jane)
• 1767 RETOUR À SALT HENDON (Antony et Caroline)

LangueFrançais
ÉditeurSprigleaf
Date de sortie20 juil. 2023
ISBN9781922985064
Pour toujours et à jamais: Lettres des Roxton Volume premier
Auteur

Lucinda Brant

LUCINDA BRANT is a New York Times and USA Today bestselling author of Georgian historical romances & mysteries. Her award-winning novels have variously been described as from 'the Golden Age of romance with a modern voice', and 'heart wrenching drama with a happily ever after'.Lucinda lives most days in the 18th Century (heaven!) and is addicted to Pinterest. Come join her in her 18th Century world: http://www.pinterest.com/lucindabrant/

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    Aperçu du livre

    Pour toujours et à jamais - Lucinda Brant

    Pour toujours et à jamaisPage de titreSprigleaf logo

    Publié par Sprigleaf Pty Ltd

    ISBN 978-1-922985-06-4     (v230801)

    Lucinda Brant logo

    Pour toujours et à jamais, Lettres des Roxton Volume second.

    Copyright © 2023 Lucinda Brant, tous droits réservés.

    Titre original : Forever Remain.

    Traduction : Marion Gabillard.

    Édition : Gaelle Ty R So.

    Visuel et conception : Sprigleaf.

    Le visuel à trois feuilles de Sprigleaf est une marque déposée appartenant à Sprigleaf Pty Ltd. La silhouette d’un couple georgien est une marque déposée appartenant à Lucinda Brant.


    Également disponible en livres numériques et autres langues.

    Pour


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    Table des matières

    Préface

    Note des éditeurs

    Lettres de Dair le Diabolique

    1. Le comte de Strathsay au commandant Lord Fitzstuart

    2. Antonia, duchesse de Kinross, à Charlotte, comtesse de Strathsay

    3. Mr. Radcliffe Plume, Esq., au commandant Lord Fitzstuart

    4. Jonathon, duc de Kinross, à l’honorable Mrs. Charles Fitzstuart

    5. Le commandant Lord Fitzstuart à Lady Fitzstuart

    6. Jonathon, duc de Kinross, à Antonia, duchesse de Kinross

    Arbre généalogique de Dair le Diabolique

    Lettres de La Fière Mary

    1. Kate, Lady Paget, au [5e] duc de Roxton

    2. Kate, Lady Paget, au [5e] duc de Roxton

    3. Le [5e] duc de Roxton à Kate, Lady Paget

    4. Charlotte, comtesse de Strathsay, à Lady Mary Cavendish

    5. Le [6e] duc de Roxton à Mr. Martin Ellicott, Esq.

    6. Evelyn Gaius Ffolkes, Earl of Streatham Ely, to the Lady Mary Cavendish

    7. Mr. Christopher Bryce au [6e] duc de Roxton

    Arbre généalogique de La Fière Mary

    Lettres du Fils du satyre

    1. Le [5e] duc de Roxton à Lord Henri-Antoine Hesham

    2. Le [5e] duc de Roxton à Lord Henri-Antoine Hesham

    3. Mr. Martin Ellicott, Esq., à Lord Henri-Antoine Hesham

    4. Miss Theodora Cavendish à Miss Lisa Crisp

    5. Entrée dans le journal de Lord Henri-Antoine Hesham

    6. Miss Theodora Cavendish à Miss Lisa Crisp

    7. Deborah, duchesse de Roxton, à Sir John Cavendish

    8. Le [5e] duc de Roxton à Lord Henri-Antoine Hesham

    9. Sir John Cavendish à Miss Theodora Cavendish

    10. Entrée dans le journal d’Antonia, duchesse de Kinross

    11. Miss Lisa Crisp au Dr et à Mrs. Robert Warner

    12. Entrée dans le journal de Lord Henri-Antoine Hesham

    13. Entrée dans le journal d’Antonia, duchesse de Kinross

    14. Lady Henri-Antoine Hesham à Mrs. Harold Humphreys

    15. Lady Henri-Antoine Hesham à Antonia, duchesse de Kinross

    Arbre généalogique du Fils du satyr

    Dans les coulisses

    Remerciements

    La traductrice

    L'auteur

    Préface

    C’est avec un immense plaisir que Sa Grâce et moi vous proposons ce deuxième et dernier volume de lettres, une sélection de la correspondance de mes estimés ancêtres et de personnes importantes dans leur vie quotidienne.

    Nous sommes ravis de l’accueil que les universitaires ont réservé au premier volume il y a à peine plus de deux ans, et nous espérons que cette sélection se révélera tout aussi intéressante et apportera un éclairage supplémentaire sur les vies vécues pendant le règne de Sa Majesté le roi George III.

    Les lettres de cette sélection sont largement dominées par des extraits de correspondance qui abordent les thèmes de la famille et des histoires familiales. Car ce sont les naissances, les morts et les mariages qui étaient au centre des préoccupations de la famille élargie des Roxton pendant la seconde moitié du xviii e siècle. C’est donc sur la famille que mon époux et moi-même souhaitons nous concentrer ; nous voulons emmener le lecteur dans un voyage au cœur de la vie domestique du duché, à l’époque où le sixième duc et sa duchesse posaient les bases d’une dynastie. Cela n’inclut pas seulement leurs huit enfants, qu’ils ont éduqués jusqu’à l’âge adulte, mais également la gestion des liens familiaux plus étendus, par le biais des mariages et naissances qui ont consolidé leur position et celle de leur cercle familial rapproché au plus haut sommet de leur classe à leur époque, avec des ramifications qui perdurent à ce jour, à l’orée d’un nouveau siècle.

    Les lecteurs qui souhaiteraient avoir un aperçu des opinions politiques des divers correspondants, qui espèrent découvrir dans ces lettres des complots gouvernementaux et des manœuvres de la part des membres des deux chambres du Parlement, mais aussi glaner des commentaires sur le climat et les événements politiques de ce royaume et d’autres royaumes lointains, seront déçus. Le seront aussi ceux qui aimeraient connaître les croyances religieuses et philosophiques des membres de la famille. De tels sujets sont parfois brièvement abordés, et sont sans doute discernables dans certaines remarques incidentes des lettres sélectionnées ici, mais de manière générale, toutes les lettres de nature politique, religieuse ou polémique ont été mises de côté, car elles ne rentrent pas dans le cadre de ce que nous souhaitons accomplir avec cette collection épistolaire. Nous ne reviendrons pas sur ces omissions.

    En sélectionnant intentionnellement des lettres qui se concentrent sur les interactions sociales quotidiennes de la famille et sur les détails domestiques afférents, le duc et moi espérons que le lecteur comprendra mieux le véritable caractère, la véritable nature des correspondants. Car c’est seulement par l’expression de ses sentiments et par la révélation de ses pensées les plus profondes qu’une personne peut réellement se dévoiler.

    Il nous semble nécessaire de réitérer que ce volume-ci et le précédent sont publiés à titre privé et ne sont pas destinés au grand public. Ils ont pour but de rejoindre les étagères de quelques personnes qui portent un intérêt académique à la lignée des Roxton et qui souhaitent avoir un meilleur aperçu de la vie et des motivations de mes ancêtres.

    Une fois encore, Sa Grâce et moi souhaitons reconnaître les efforts acharnés du bibliothécaire de Treat, Sir Elliott Fortescue, Bt., et de son assistant, Mr. Percival Mandrake, ainsi que du professeur Sir Marcus West-Hamilton et de l’éminent linguiste français monsieur Auguste Martin. Ce second volume a bénéficié des connaissances de l’éminent diplomate Sir Bipin Narendra Deb, qui a gentiment traduit la lettre que Sa Grâce de Kinross a écrite en hindi à sa fille naturelle, Mrs. Charles Fitzstuart, le père et la fille étant deux linguistes compétents dans cette langue du sous-continent. Sans le dévouement de ces gentlemen, ce volume de lettres, tout comme le premier, n’aurait jamais vu le jour.

    Ce second volume est dédié à nos enfants : Henry, Christopher, Deborah, Evelyn et Lisa-Antonia.

    Alice-Victoria Hesham

    Sa Grâce la très noble duchesse de Roxton

    Mai 1898

    Note des éditeurs

    Les lettres et entrées de journaux de ce deuxième et dernier volume suivent le même ordre chronologique que dans le premier. Ce volume s’ouvre sur une correspondance qui date du début des années mille-sept-cent-soixante-dix, avec une lettre que nous pensions perdue dans les pages de l’histoire, mais qui a été retrouvée par hasard dans les archives des Roxton – l’une des plus grandes découvertes de cette publication, car il s’agirait de la dernière lettre encore existante du deuxième comte de Strathsay, petit-fils de Charles II. Le deuxième chapitre contient des lettres envoyées par Kate, Lady Paget, au cinquième duc, lettres écrites dans les années mille-sept-cent-soixante et qui ont leur importance, car elles témoignent de l’amitié unique que Kate entretenait avec le duc et de sa relation particulière avec le deuxième époux de Lady Mary Fitzstuart Cavendish Bryce, le marchand influent de laine et de tissu Sir Christopher Bryce. Parmi les lettres proposées dans le troisième chapitre, certaines ont été écrites par le cinquième duc à son fils cadet quand il savait qu’il allait mourir et qu’il était déterminé à laisser des mots de sagesse et d’amour à ce jeune homme qu’il aimait incommensurablement, ce qui est évident dans cette correspondance. Ces lettres illustrent parfaitement ce que Sa Grâce explique avec éloquence dans sa préface et qui vaut la peine d’être répété ici : « C’est seulement par l’expression de ses sentiments et par la révélation de ses pensées les plus profondes qu’une personne peut réellement se dévoiler. »

    Les lecteurs constateront que plusieurs noms, mots, passages et phrases ont été censurés dans certaines lettres, ce qui est indiqué par un [censuré], sur la demande de Leurs Grâces, ce sur quoi ni eux ni nous ne reviendrons.

    Toutes les traductions des écrits en français ont été méticuleusement réalisées par monsieur Auguste Martin, et la traduction de la lettre en hindi par Sir Bipin Narendra Deb, chevalier grand commandeur de l’empire des Indes. Les éditeurs sont tout à fait reconnaissants du travail acharné de Mr. Percival Mandrake, qui a assemblé et transcrit les versions originales des diverses correspondances, dans ce volume et dans le premier (une omission dans les remerciements du premier volume qui est rectifiée dans celui-ci, avec nos plus sincères excuses).

    Sir Elliott Fortescue Bt., commandeur de l’ordre de l’Empire britannique

    Le professeur Sir Marcus West-Hamilton,

    chevalier grand-croix de l’ordre de Saint-Michel et Saint-Georges, officier de l’ordre de l’Empire britannique

    Juin 1898

    Note :

    À travers ce volume et quand cela était nécessaire, [5 e] et [6 e] ont été insérés devant « duc de Roxton » afin de distinguer le père du fils et d’éviter au lecteur d’être confus quant à la personne dont il est question.

    Lettres de Dair le Diabolique

    Dair Devil “Rory’s Pineapple” fleuron as an eighteenth century design motif

    Dair le Diabolique

    Lettre 1

    Le très honorable comte de Strathsay, Charles House, la Barbade, au commandant Lord Fitzstuart, dix-septième régiment des Light Dragoons, aux bons soins de Sir John Becher, Hollybrook House, comté de Cork, Irlande.


    [Lettre envoyée alors que le commandant était stationné avec son régiment en Irlande, puis transmise et reçue pendant qu’il était en service dans les colonies américaines durant la guerre d’indépendance des États-Unis. L’anecdote familiale raconte qu’après la lecture de la lettre de son père, le commandant l’a enflammée du bout de son cheroot et l’a jetée dans le feu de camp. Il s’agit donc ici d’une copie de cette même lettre, découverte par Mr. Percival Mandrake tandis qu’il classait les archives des Roxton. C’est une découverte majeure, car il s’agit de la seule lettre écrite de la main de Theophilus Fitzstuart, le deuxième comte de Strathsay, qui existerait encore. Une note écrite d’une autre main sur le recto de la lettre précise qu’il s’agit d’une copie de celle-ci, envoyée par Lord Strathsay au sixième duc pour qu’il la garde en lieu sûr pour le cas où son fils le commandant Lord Fitzstuart ne recevrait pas l’originale.]


    Charles House, la Barbade

    Décembre 1774

    Cher commandant,

    Alisdair, j’espère que vous vous portez bien et que votre vie au service de notre roi vous apporte satisfaction. Comme vous le savez par le biais des autres, car vous n’avez pris la peine de lire aucune de mes lettres, j’étais et suis toujours opposé à votre commandement. J’ai écrit à Sa Grâce de Roxton (le cinquième duc, et non l’actuel) pour lui signifier mon opposition dans les termes les plus forts. Mais il était trop tard, car vous étiez déjà en train de rejoindre votre régiment en Irlande. Et j’apprends maintenant que ce régiment va aller combattre les traîtres rebelles dans les colonies américaines. Je vous souhaite donc bonne chance, et je prie pour que vous restiez hors de danger et reveniez de cette entreprise risquée en vie et en un seul morceau. Vous ne pouvez pas m’en vouloir de remercier le Seigneur d’avoir un deuxième fils et que Charles soit d’une nature guindée, ce qui signifie qu’il ne risquerait jamais sa peau en faisant quelque chose d’aussi sot et injustifié.

    Bien que votre volonté de défendre votre roi et votre patrie contre les colons rebelles qui ont osé prendre les armes contre Sa Majesté toute puissante ne m’inspire qu’admiration, vous auriez mieux fait d’apprendre à gérer votre héritage, de vous marier tôt et de donner naissance à un héritier pour prendre votre suite. Vous savez que le jour où vous vous marierez, je vous céderai le domaine, qui est actuellement géré par l’actuel duc de Roxton. Cet admirable jeune homme est un digne successeur de son père. J’oserais même dire qu’il est plus digne encore que son prédécesseur. Il pourrait se passer du fardeau supplémentaire que représente la gestion de mes affaires en Angleterre, mais il s’en charge car sa mère est ma nièce, et parce que vous êtes son plus proche cousin. Lui, au moins, sait ce qu’il doit à sa famille, et il est prêt à endosser le lourd fardeau de responsabilités associé à un grand nom. Je continue à espérer qu’un jour, il en sera de même pour vous.

    Vous devez ricaner en lisant ces mots, car votre père vit à des milliers de kilomètres de ses responsabilités. Mais je me permets de vous rappeler que ce n’est pas par choix que je suis venu ici dans les Caraïbes, même si j’y demeure à présent de mon plein gré. Aujourd’hui, c’est sur le compte de la Providence que je mets ma venue sur une plantation de sucre aussi loin de l’Angleterre. Et si vous m’accordez cinq autres minutes de votre temps pour continuer à me lire, vous constaterez que votre père a bel et bien une conscience.

    Je ne cherche pas à obtenir votre pardon, même s’il me ferait plaisir. Charles et Mary sont plus susceptibles de m’accorder une certaine latitude avec le temps, mais je sais que ce ne sera pas votre cas. Et je ne peux pas vous le reprocher. Je ne vous

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