ANNIVERSAIRE PRINCIER POUR ALEXANDRE
Nicole a fait de son fils un jeune homme bien élevé qui va entrer à l’université et jouer les mannequins
Paris Match. Alexandre vient d’avoir 18 ans. A-t-il eu la vie à laquelle vous aspiriez pour lui quand il est né, le 24 août 2003, à l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul à Paris ?
Nicole Coste. Ce n’est pas un enfant tout à fait comme les autres. Son père étant prince souverain, certaines choses sont un peu hors norme. Il se comporte de façon très saine, et je pense que c’est dû à une enfance et une adolescence très protégées, ainsi qu’à une éducation conforme aux valeurs catholiques et éthiques.
Alexandre a été reconnu par son père devant notaire quatre mois après sa naissance, le 15 décembre 2003. C’est un enfant du destin ?
Il est né d’un amour et reconnu, donc voulu par Dieu. J’en suis convaincue. Avant d’être enceinte, j’avais connu une relation de cinq ans avec son père, suffisamment de temps pour que nous ayons une confiance mutuelle. Continuer de dire ou d’écrire que notre fils est un enfant illégitime est incorrect et insultant. En bon français, et selon le Code civil, cela signifierait que ses deux parents auraient été engagés maritalement avec d’autres au moment de sa naissance, et que, de surcroît, il ne serait pas reconnu. Or ce n’était nullement le cas. Alexandre est né deux ans avant que ne commence l’idylle entre son père et Charlène en décembre 2005. Avant, ils s’étaient juste croisés. Il est faux de dire le contraire. Je tiens à le souligner, car ce doute a permis à la presse de continuer de faire croire que mon fils était illégitime.
Pourquoi avoir révélé son existence dans Paris Match, en 2005 ? Que redoutiez-vous ?
« Dès que Stéphanie est devenue la marraine d’Alexandre, j’ai su qu’il aurait sa place dans la famille princière »
Contrairement aux directives données, le notaire a refusé de me remettre l’acte signé sous scellé prouvant que son père l’avait reconnu devant moi à l’âge de 3 mois. En sus, il a essayé d’exercer des pressions sur moi. Je n’avais pas ces papiers entre les mains, et si je ne les obtenais pas avant les 2 ans d’Alexandre, je n’avais plus aucune possibilité de recours en justice si le père changeait d’avis. En même temps que paraissait l’article de Paris Match, j’ai
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