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Untamed Wolf: Tome V : The Growing Fairy
Untamed Wolf: Tome V : The Growing Fairy
Untamed Wolf: Tome V : The Growing Fairy
Livre électronique157 pages1 heure

Untamed Wolf: Tome V : The Growing Fairy

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À propos de ce livre électronique

Ayant pris conscience que je n’étais qu’une illusion tel mon handicap moteur n’était « que de la fumée », puisqu’il ne détermine pas qui je suis; je me suis prise au jeu de me refaire le chemin à l’envers. J’ai retrouvé les sentiers perdus de mes origines ; ainsi, je me suis réapproprier mon histoire en rénovant mes pensées. J’ai découvert que j’étais la seule à entretenir mes souffrances. Mon passé n’est plus. Tout ce qui le constituait peut reposer en paix.
Mon rôle est de puiser au fond de mon âme tout ce qui me caractérise réellement. Toutes les scènes imaginaires que j’ai créée existe dans la matière, puisque je les ai érigée avec mes tripes.
Ce livre est un hommage à moi même pour avoir évoluer sur le chemin de la Sérénité.
LangueFrançais
Date de sortie19 nov. 2020
ISBN9782312078496
Untamed Wolf: Tome V : The Growing Fairy

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    Untamed Wolf - Fabienne Starzinsky

    cover.jpg

    Untamed Wolf

    Fabienne Starzinsky

    Untamed Wolf

    Tome V : The Growing Fairy

    LES ÉDITIONS DU NET

    126, rue du Landy 93400 St Ouen

    © Les Éditions du Net, 2020

    ISBN : 978-2-312-07849-6

    JE T’AURAI UN JOUR, JE T’AURAI

    Si pleurer est une faiblesse,

    Comment puis-je gérer mon stress ?

    Peux tu me le dire,

    Toi qui peux courir ?

    J’aimerai me sortir de moi-même

    Effacer les problèmes

    Que me cause cette douleur extrême

    À ma vie devenue principal thème.

    Je me crève à écrire

    Pour la faire partir

    Mais tenace

    Elle me regarde de face

    Épuisée de cette chiasse efficace

    De ses demandes de dédicaces

    Qu’elle tatoue un peu plus chaque jour

    Aux creux de mes rides et ses contours.

    J’ai beau l’ignorer,

    Lui dire que je ne l’aime pas,

    Elle reste là

    À me susurrer

    Des maux du matin au soir

    me raillant d’aller me faire voir

    dans les dédales de mes émotions ;

    Qu’elle n’en a que faire, de mes questions.

    Mais accepter l’inacceptable,

    J’en suis incapable.

    Pour me comprendre, il faudrait connaître mes nuits,

    Lorsqu’elle me chuchote à l’oreille le cri de ses gazouillis

    Pour me détendre, il faudrait prendre la place de mes jours,

    Lorsqu’elle me hurle dessus affaiblissant mon énergie qui fait demi tour.

    Avec ses radiations qui me brûlent les os

    Quand elle se nourrit de la météo.

    Elle joue avec mes contractures

    Qui me fendille l’âme à chaque blessure,

    C’est alors qu’un torrent de pluie, que je ne peux contrôler

    C’est mon sourire qui s’évanouit dans les bas-fonds de ma contrariété.

    Mon âme est fatigué

    de porter ce corps déglingué.

    Elle m’empêche de vivre, cette vieille peau

    Mes gestes me rendent à fleur de peau.

    En quelle langue dois-je lui parler,

    Quels maux pourraient-ils la faire se déloger ?

    Chaque effort que me rappelle cette garce

    Chaque mouvement qui me barre la route, que ça m’agace.

    Ces crispations qui étranglent mes entrailles

    Le corps qui lutte pour étouffer ses « aïe, aïe, aïe ! »

    Les sursauts qui me tiraillent

    À faire décrocher mon cœur de ses rails.

    Cette barre de fer

    Avec sa caisse de résonance,

    À contempler ma déchéance.

    Me fait vivre l’enfer.

    Mes maux me brûlent les os,

    Ils se gravent jusque dans mon dos.

    Difficile à décrire, ils aiment se noyer dans l’eau,

    Cette flotte dans laquelle ils aiment agoniser.

    Sournois, pervers, je ne peux plus les évoquer

    Douleur aux mille et une frimousses

    Si compliqué de la crayonner

    Parmi ses multitudes housses.

    Elle me déshabille en riant

    Mais de mon Essence,

    Elle se dévêtira en pleurant

    Parce qu’elle et moi, ne feront jamais alliance.

    Je t’aurai,

    Un jour je t’aurai

    Je te dévisagerai comme il se doit.

    J’envisage de te détruire,

    Ton portrait va mourir

    De mon clavier avec mes dix doigts,

    Je t’étoufferai avec ma feuille chiffonnée

    Ce jour venu, j’aurai gagné.

    tite Elfe le 04/11/2016 COPYRIGHT tous droits réservés.

    QUISIERA

    J’aimerai retourner là bas,

    Juste pour un moment

    Réanimer le temps

    Du monde de l’enfance, des illusions qui ne blessent pas

    Là où ces brûlures qui n’étaient qu’une couleur,

    Pas une douleur.

    J’aimerai effacer la mémoire de mon disque dur

    À coup de musique Celte, mes déchirures

    À coup de rêves, prendre mes jambes à mon cou,

    Me convertir en éclats de rire et sauter à pieds joint dans la boue.

    J’aimerai retourner là bas,

    Apprendre à me fondre dans le paysage

    Et maîtriser les actes liés à mon âge

    Afin que certaines erreurs ne se reproduisent pas.

    J’aimerai y retourner avec ma propre démarche

    Redessiner le contour de mes passions

    Sur un lit de feuilles de brouillon

    À la gouache de mes traces jouant à cache cache.

    J’aimerai retourner là bas

    Avec les gens que j’aime au présent

    Mais il est impossible de revenir sur ses pas,

    Alors je dois faire le tri dans mes sentiments

    Pour que ma blessure redevienne une couleur,

    Et non une douleur.

    tite Elfe le 04/12/2016 COPYRIGHT tous droits réservés.

    L’ÂME À LA MAIN

    dans mon fort intérieur

    J’ai fouillé tout ce qui me constituait

    Et je n’y ai découvert que du feu

    De cette colère qui m’étouffait.

    De mes agissements, je m’en veux,

    De me conduire telle une enfant capricieuse

    Avec cette horreur pernicieuse

    Qui m’ôte des journées précieuses.

    Un jour, viendra son heure,

    Je vais la trucider

    De mes mains de Fée.

    Mes cris ne sont plus que râles

    De ces contractures qui me font mal.

    Allez, viens mon âme allons,

    Prends moi la main du cœur, et dansons !

    Viens, envolons nous au dessus des nuages

    Explorons le monde et ses pâturages

    Caressons l’herbe de notre robe sans âge

    Flirtant avec des contrées merveilleuses,

    À l’abri des oreilles, nous défouler à tue-tête

    Courir, voler, à travers champs.

    De cette liberté, faisons la fête,

    Découvrir des sentiers en direction du soleil couchant !

    Allez viens mon âme adorée

    Que je t’extirpe de cette prison dorée

    Notre esprit va nous guider

    Vers des chemins ignorés.

    Creusons à l’intérieur de nous

    Quitte à nous laminer les genoux

    D’orthies, de ronces de rochers.

    La lumière est au bout, je le sais !

    Perdue dans la bonne Direction

    Je ne sais par où commencer.

    Gravir ou bien descendre cette allée ?

    Vagabonder seule me donne des frissons

    Avec la solitude, me sentir délivrée

    Est « Essence-ciel » pour me concentrer.

    L’âme à la main,

    Mon corps n’est plus qu’un Pantin.

    Accrochée au cœur de mes incertitudes,

    Je suis prète pour de nouveaux préludes.

    Une petite voix qui me hurle de m’en aller,

    Ayant pour seul bagage, ma conscience,

    Je prends le large avec bienveillance,

    Et même si, je suis prisonnière d’une seule vie

    Je m’évade où je veux, avec ma fantaisie.

    Hors du cadre, je suis toujours en décalage,

    Comme si j’étais la seule à entendre les ravages

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