Découvrez des millions d'e-books, de livres audio et bien plus encore avec un essai gratuit

Seulement $11.99/mois après la période d'essai. Annulez à tout moment.

L'énigme de la famille Varens: Roman
L'énigme de la famille Varens: Roman
L'énigme de la famille Varens: Roman
Livre électronique158 pages2 heures

L'énigme de la famille Varens: Roman

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

Accompagnez Thomas et Aria, deux adolescents, dans une découverte plus que troublante !

Il se passe des choses étranges dans le petit village de Varens. Avec Thomas, mon meilleur ami, j'ai tenté de découvrir les secrets qu'il cache en visitant le château de la famille Varens, les fondateurs de la bourgade. Mais ce que nous avons découvert ce soir-là dépasse de loin notre espérance et, désormais, il n'y aura pas la possibilité d'un retour en arrière. Nous ne pouvons en parler à personne car nous mettrions en danger toute personne qui saurait...

Une aventure pleine de suspense, sans retour en arrière possible...

EXTRAIT

Ma mère ne se doute de rien. J'aimerais lui en parler, mais elle ne me croira pas de toute façon. J'ai déjeuné en regardant les informations du matin. J'ai allumé mon ordinateur et me suis connectée sur ma boîte mail, mais il n'y avait rien. Pas de mail de Thomas. Je me rappelle qu'il n'a pas été très bavard durant le trajet du retour. Il était sans doute sous le choc. Il n'a pas voulu m’expliquer pourquoi mais je peux comprendre ce qu’il a ressenti car j'ai ressenti la même chose. Il m'a juste dit, avant de me déposer chez moi, qu'il m'enverrait un mail pour en parler quand il aurait l'esprit plus clair.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Née en 1998 à Orange dans le Vaucluse, Alexia Aymard y suit une formation commerciale et habite le petit village de Jonquières.
Elle a commencé à écrire cette histoire lorsqu'elle était au lycée, victime d'une forme de harcèlement scolaire. Passionnée par la lecture et par l'écriture, elle pratique en loisir et en compétitions le tir à l'arc.
LangueFrançais
Date de sortie12 mars 2019
ISBN9782378778613
L'énigme de la famille Varens: Roman

Auteurs associés

Lié à L'énigme de la famille Varens

Livres électroniques liés

Mystère pour vous

Voir plus

Articles associés

Catégories liées

Avis sur L'énigme de la famille Varens

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    L'énigme de la famille Varens - Alexia Aymard

    Livre 1

    Roman

    ycRfQ7XCWLAnHKAUKxt--ZgA2Tk9nR5ITn66GuqoFd_3JKqp5G702Iw2GnZDhayPX8VaxIzTUfw7T8N2cM0E-uuVpP-H6n77mQdOvpH8GM70YSMgax3FqA4SEYHI6UDg_tU85i1ASbalg068-g

    © Lys Bleu Éditions – Alexia Aymard

    ISBN : 978-2-37877-861-3

    Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

    Je tenais à remercier le Lys Bleu Editions et Benoit Couzi pour leur patience et leur travail.

    Je tenais aussi à remercier toutes les personnes qui m'ont soutenu et mon aider depuis le début, donc merci à Laura Lefrançois, Sophie Beaud, Marie Valoatto et les membres de famille.

    Alors, merci à vous tous d'avoir été présent à mes côtés !

    Lundi 1er Septembre 6 h 30

    « Pourquoi moi...? »

        C'est la question que je me suis posée en me réveillant ce matin... Pour commencer, je tiens à dire que ce journal est un peu particulier, car pour la première fois je ne l'écris pas pour moi. Je l'écris pour que quelqu'un le lise et sache ce qui m'est arrivé.

        Je ne sais par où commencer car comme je l'ai précisé c'est la première fois que j’écris ce genre de journal... Je vais commencer par me présenter, je m'appelle Aria j'ai eu 16 ans le mois dernier, j'habite dans un petit village dans le Sud-Est de la France. Il se nomme « Varens ». Un petit village perdu au milieu de la campagne, entouré d'une longue forêt sombre. Au fond de cette forêt, il y a un vieux château abandonné qui date du XIXe siècle, ce château appartenait à la famille « Varens ». C'était le château de la famille qui a construit notre village.

        Maintenant je vais vous expliquer ce qui m'est arrivé, et ce que mon meilleur ami Thomas et moi avons découvert.

        Croyez-vous que les fantômes existent ?

        Moi non. Mais ça, c’était avant la découverte que nous avons faite.

    La nuit du 31 Août au 1er Septembre nous nous sommes rendus dans la forêt, vers minuit. Thomas avait envie de se rendre au château des Varens pour essayer de trouver quel scénario irait le mieux avec cet environnement lugubre car depuis le XXe siècle il y avait des rumeurs qui couraient sur le château. Ces rumeurs disaient que le château serait hanté. 

    Thomas est vraiment passionné par les films de tous genres, il n'aime pas vraiment lire, mais il aime écrire. Il écrit souvent des petits scénarios de films d'horreur. Il aimerait devenir scénariste pour des grands producteurs Français.

        Donc nous nous sommes rendus au château. Nous sommes entrés avec nos lampes torches et nous avons commencé à visiter le rez-de-chaussée. Thomas a commencé à se diriger vers la pièce de droite. C'était une salle à manger. Il y avait au milieu de la pièce une grande table ronde avec deux grandes chaises face à face. Au bout de la table, il y avait un vase avec des fleurs fanées. Toute la pièce était remplie de bibelots, de meubles anciens en chêne orné d'or, de vases vides, et de livres rangés soigneusement ici et là. Malgré le fait que la pièce soit plongée dans le noir avec pour seule source de lumière nos lampes, j'avais la sensation que quelqu'un nous observait... nous surveillait. J'étais restée dans l'encadrement de la porte, quand quelque chose attira mon attention. Un portrait de la famille Varens peint par un certain Vincent Marilito. Je ne sais pas pourquoi mais quand je l'ai vu j'en ai eu des frissons comme si la présence que je sentais venait de ce tableau, que les personnes représentées sur la peinture se trouvaient dans la pièce.

        Sur le tableau je pouvais distinguer Madame Varens debout la main sur l'épaule de son mari, qui lui était assis sur une magnifique chaise ornée d'or fin, mais une chose m'a interpellée !

        Je suis entrée dans la pièce en direction du tableau. En passant devant Thomas, je lui ai dit sans même le regarder, ni porter attention à ce qu'il était en train de faire :

    — Thomas regarde ça !

        Il se dirigea vers moi et j'ai continué en disant : 

    — Tu ne trouves pas ça bizarre ?

    — Quoi ? C'est juste un tableau.

    — Non ce n'est pas ça qui est bizarre. Ce tableau est un portrait de famille Varens mais leur fils François n'est pas sur le tableau.

    — Oui c'est vrai. Il a dû être peint avant sa naissance ou après son accident.

        J'étais surprise car je n'avais jamais entendu dire que François Varens avait eu un accident mortel. Alors je l'ai questionné :

    — Son accident ?

    — Oui. Quand il avait 10 ans François et sa mère était très proche. Un jour il a entendu ses parents se disputer à cause de lui, et quand il a descendu quelques marches pour voir ce qui se passait, il a vu son père mettre une claque à sa mère. Quand il a vu la scène, avec sa mère qui était en larmes, il a descendu les escaliers en courant pour aller réconforter sa mère. Mais il a glissé sur une des marches et il est tombé en se brisant la nuque.

        J'ai fixé les escaliers pendant un long moment avant qu'il me dise :

    — Bon, passons à la pièce de gauche.

        Nous nous sommes dirigés vers le hall d'entrée. En passant devant les escaliers, je m'imaginais la scène horrible qui avait eu lieu ici. Je n'arrivais pas à le quitter des yeux. Nous avons traversé l’immense hall d'entrée, et nous sommes entrés dans la pièce. C'était une cuisine tout à fait banale. Dans la pièce se trouvaient un lavabo, des tiroirs, des placards et un four à bois. Une cuisine banale pour le XIXe siècle.

    Thomas commença à ouvrir les tiroirs, quand quelque chose attira de nouveau mon regard.

    Un tableau, encore !

        J'avais comme une sensation de déjà vu... c'était le même ! Exactement le même portrait que dans la pièce précédente même trait, même signature, même regard fictif ! Cela m'a glacé le sang, quand Thomas m'appela :

    — Hé ! Aria vient voir une seconde.

        Je me suis dirigée vers lui.

    — Oui ?

    — Regarde ça. Tu trouves ça normal, qu'il y ait des papiers de divorce dans une cuisine d'un château abandonné depuis le XIXe siècle ?

    — Tu penses que Monsieur et Madame Varens avaient pour projet de divorcer ?

    — Cela pourrait expliquer leur dispute le jour de la mort de François, le truc c'est qu'à cette époque il ne me semble pas que les couples se séparaient, même si ça n'allait pas entre eux... mais il n'y a pas que cela de bizarre il y a aussi...

        Un bruit sourd lui coupa la parole. Le bruit d'un objet en métal s'écrasant contre le sol, comme si quelqu'un, du haut de l'escalier, avait jeté une barre métallique sur le sol, pour nous attirer dans le hall d'entrée. J'ai regardé Thomas par-dessus mon épaule avant d'ajouter :

    — Tu as entendu Thomas...

    — Oui, allons voir.

    — Quoi ? Non attends...

        J'avais à peine eu le temps de prononcer ces mots, qu'il était déjà dans le hall d'entrée, en faisant tournoyer sa lampe torche. Je l'ai donc rejoint. Il n'y avait rien, tout était à sa place.

        Plus aucun bruit. Puis j'ai commencé à entendre des pas, ayant l'impression que quelqu'un courait. J'ai regardé Thomas et quand j'ai vu l'expression de son visage, j'en ai conclu qu'il avait lui aussi entendu. Le bruit cessa soudain. Un silence de mort s'en suivit, durant de longues et interminables minutes. Je me suis lancée en première, mettant fin à ce silence en disant :

    — Thomas ? Qu'est-ce qu'on fait ?

    — On monte !

    — Quoi ? Pour quoi faire ?

        Il me regarda, les yeux brillant avant d'ajouter :

    — S'il y a quelqu'un là-haut, il faut qu'on en soit sûr. Imagine qu'il y ait encore quelqu'un qui habite ici.

    — Ou alors peut-être des squatteurs ? Répondis-je.

        Je ne comprenais pas pourquoi il voulait monter, mais je savais que je ne pourrais pas l'en empêcher alors je lui ai exposé mon plan :

    — OK... tu as toujours ton appareil photo sur toi ?

    — Oui bien sûr. Pourquoi ?

    — Si on monte et qu'il y a quelqu'un, il faudra que tu fasses vite. Ne réfléchis pas ! Si tu vois quelqu'un ou quelque chose bouger, prends-le en photo en activant ton flash. Et on verra bien ce qui se passera.

    — D'accord.

        Avant de commencer à monter les marches, Thomas alluma son appareil photo, et le mit autour de son cou. J'ai commencé à m'avancer près des marches et j'ai senti un frisson parcourir mon corps. J'avais l'impression que quelque chose ou quelqu'un essayait de me transmettre un message : « Ne monte pas. Quitte cet endroit et ne reviens jamais. ».

    Thomas commença à monter les premières marches et me fit signe de le suivre.

        Chaque marche que je montais grinçait sous mes pieds. À chaque pas, chaque geste, à en avoir l'impression que quelqu'un nous suivait. Arrivé à la moitié de l'escalier, je commençais à voir le premier étage.

        Et c'est à partir de ce moment que j'ai commencé à avoir peur...

        Devant nous se levait une silhouette d'un enfant, un jeune garçon. Il nous a fixés un bon moment. Il donnait l'impression de vouloir descendre pour nous tordre le cou. Quand soudain il s'est mis à hurler d'une voix saccadée :

    — ALLEZ-VOUS-EN !

        Pas un bruit. Pas un son. Nos lampes s'étaient éteintes. Mon regard était fixé sur lui. Il nous regardait, je suppose. Il était à contre-jour. La fenêtre derrière lui, lui assombrissait le visage. J’entendais Thomas respirer à côté de moi, il avait peur, je le savais car il respirait fort. Je l'entendis attraper quelque chose... son appareil photo.

        Le flash de l’appareil se déclencha, et nous avons aperçu pendant un centième de seconde, son visage. Il était blanc, ses yeux pleuraient des larmes de sang, ses cheveux couvraient son front. On aurait dit qu'il était mort.

        Il tourna la tête, pour nous regarder de nouveau, puis il disparut. Sans arriver à détourner les yeux, j'ai demandé à Thomas :

    — Qu'est-ce qu'on fait...?

    — Je ne sais pas... attends, regarde la photo, me répondit-il.

        Je me tournai vers lui et n’en crus pas mes yeux :

    — Il n'y a rien...! Il n'apparaît pas... c'est impossible... à moins que ce soit un... un... un fantôme...?

        Je n'en revenais pas ! Comment était-ce possible ? Je dis ce qu'il me semblait être la solution la plus logique à la situation :

    — Arrête, les fantômes n'existent pas. Tu as dû mal prendre la photo.

    — Non je l'ai bien prise, je t'assure, regarde bien, c'est le même angle, il était là (il montra le haut des marches en le pointant du doigt) mais il n'apparaît pas !

    — Continuons. Il n'est pas question que l’on arrête là ! S'il est parti, ça veut peut-être dire qu'il n'est pas seul. Imagine que quelqu'un l'ait appelé. Si l’on se base à sa taille, il devait avoir 10 ans peut-être 11.

        Je savais que j'allais regretter ma réponse. Mais je ne pouvais pas l'abandonner maintenant, alors j'ai acquiescé :

    — OK... on continue.

        Nous avons rallumé nos lampes torches et nous avons continué à monter les marches jusqu'au premier étage. Arrivé là où se trouvait le jeune homme, j'ai commencé à regarder à droite et gauche en essayant de trouver quelque chose du regard. Je ne sais pas vraiment quoi mais je cherchais. La seule chose que je voyais, c'était un couloir indéfiniment long, que ce soit du côté droit ou du côté gauche. Thomas prit une grande respiration avant de dire :

    — Si on doit faire chaque pièce et les examiner de fond en comble on n'aura pas fini avant demain matin. Il vaut mieux se séparer pour

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1