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Le Lépreux de la cité d'Aoste
Le Lépreux de la cité d'Aoste
Le Lépreux de la cité d'Aoste
Livre électronique31 pages22 minutes

Le Lépreux de la cité d'Aoste

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À propos de ce livre électronique

Extrait : "La partie méridionale de la cité d'Aoste est presque déserte, et paraît n'avoir jamais été fort habitée. On y voit des champs labourés et des prairies terminées d'un côté par des remparts antiques que les Romains élevèrent pour lui servir d'enceinte, et de l'autre par les murailles de quelques jardins. Cet emplacement solitaire peut cependant intéresser les voyageurs."

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• Livres rares
• Livres libertins
• Livres d'Histoire
• Poésies
• Première guerre mondiale
• Jeunesse
• Policier
LangueFrançais
ÉditeurLigaran
Date de sortie19 juin 2015
ISBN9782335076738
Le Lépreux de la cité d'Aoste

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    Le Lépreux de la cité d'Aoste - Ligaran

    EAN : 9782335076738

    ©Ligaran 2015

    Le Lépreux de la cité d’Aoste

    Ah ! little think the gay licencious proud,

    Whom pleasure, power and affluence surround…

    Ah ! little think they while they dance allong…

    How many pine ?… how many drink the cup

    Of baleful grief !… how many shake

    With all the fiercer tortures of the mind !

    (THOMSON’S SEASONS, the Winter.)

    La partie méridionale de la cité d’Aoste est presque déserte, et paraît n’avoir jamais été fort habitée. On y voit des champs labourés et des prairies terminées d’un côté par des remparts antiques que les Romains élevèrent pour lui servir d’enceinte, et de l’autre par les murailles de quelques jardins. Cet emplacement solitaire peut cependant intéresser les voyageurs. Auprès de la porte de la ville, on voit les ruines d’un ancien château, dans lequel, si l’on en croit la tradition populaire, le comte René de Chalans, poussé par les fureurs de la jalousie, laissa mourir de faim, dans le quinzième siècle, la princesse Marie de Bragance, son épouse : de là le nom de Bramafan (qui signifie cri de la faim), donné à ce château par les gens du pays. Cette anecdote, dont on pourrait contester l’authenticité, rend ces masures intéressantes pour les personnes sensibles qui la croient vraie.

    Plus loin, à quelques centaines de pas, est une tour carrée, adossée au mur antique et construite avec le marbre dont il était jadis revêtu : on l’appelle la Tour de la frayeur, parce que le peuple l’a crue longtemps habitée par des revenants. Les vieilles femmes de la cité d’Aoste se ressouviennent fort bien d’en avoir vu sortir, pendant les nuits sombres, une grande femme blanche, tenant une lampe à la main.

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