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Des petites contes
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Livre électronique56 pages50 minutes

Des petites contes

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À propos de ce livre électronique

C´est un petit livre des contes que j´ai créé. J´espère vous l´aimerez. 
LangueFrançais
Éditeurpiponerio
Date de sortie2 oct. 2018
ISBN9788829519750
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    Aperçu du livre

    Des petites contes - César Augusto Rivera Apéstegui

    CARNAVAL

    INTRODUCTION

    C´est un petit livre d´histoires qu´il auteur a imaginé d´accord à la réalité. Dans ces aventures le narrateur essai d´montrer au lecteur certains enseignements, et donner un point de vu de la vie quotidienne. J´espère qu´il soit de son plaisir, et qui profitez de son lecture.

    Lima, 14 d´avril 2018

    César Rivera A.

    BICARBONATE DE SODIUM

    Peluchai Solen était un jeune d´âge 24 ans qui vendait dans une boutique qui appartenait à sa tante qui était localisé dans un marché populaire. Il étudiait dans une université publique où il ne payait pas droits d´enseignement, mais il avait besoin de l´argent pour acheter des livres, cahiers, payer tickets de transportation commun, etc. En d´autres mots, il s´aidait soi-même pour terminer ses études dans ce campus-là. Il était célibataire, mais il avait beaucoup des rêves de réussir grandes choses dans sa vie. Sa tante Bianchi vendait produits pour boulangerie, des comestibles, et quelques manufactures chimiques. Peluchai arrivait tôt au travail pour le matin. Il saluait à sa tante, son oncle Aubert, son cousine Murdo, son ami Linga, et les autres employés de la boutique. Il se mettait pour le côté droite de l´établissement pour vendre, où il assistait aux clients et dépêchait la marchandise. Il était l´été à 7 heures du matin, venait a la boutique un monsieur très graisse, porté de T-Shirt et pantalon de bleu jean qui demandait un flacon d´essence d´orange et qui soit dépêché très rapide. Peluchai allait au rack construit de bois à chercher la petite bouteille de concentré d´orange; il mouvait sa main droite entre un grand groupe de fioles, il lisait l´étiquette de chacun d´elles et trouvait la denrée exacte, il tirait le flacon et avec a sourire de satisfaction le donnait à l´acheteur le article demandé qui a même temps a dit : « Combien coûte l´essence d´orange ?» Peluchai répondait avec a visage de bon ami : « Il coûte dix soleils ». Le client enlevait l´argent de la poche de son pantalon et payait. Peluchai recevait le papier-monnaie, le remerciait en montrant une physionomie de joie. Le client s´allait content avec le produit acheté. Peluchai remettait l´argent à sa tante Bianchi qui travaillait comme caissière. Le jour suivant lorsque Peluchai était vendant des articles à une personne de la province de Junin, soudain s´est approché une femme jeune, toute coquette, avec un sourire contagieux, qui portait une robe de couleur rouge en lui exigeant qui le vend 100 grammes de stabilisateur de crème de glacée (pour préparer et vendre à les piétons, du crème glacée soutenu par une palette vertical de bois). Peluchai finit de commercer avec la femme d´autre département de Pérou, et initia à vendre le produit à la femme de robe rouge. Elle regardait Peluchai comme essayant d´établir une amitié; Peluchai s´est rendu compte de la situation et pendant il était dépêchant la marchandise, lui sourit en disant qui était très suggestive et agréable. Elle s´est tue toute honteuse en descendant la tête. Et Peluchai dit : « Ne te préoccupe pas ; ils sont choses des amis ». La femme le pait à Peluchai en articulant avec une voix sensible qu´elle était fier de lui rencontrer. Ils se sont dit adieu et la femme commença à marcher avec volupté et toute sexy, à l´instant que Peluchai lui regardait toute séducteur et satisfait. Il a été un jour heureux pour Peluchai, Il ne reste rien à faire.

    Le marché de la population était très plein de gens. Quelques personnes venaient à la boutique de tante Bianchi, seule à solliciter le prix d´une marchandise. D´autres foule allait â les boutiques qui étaient situés en front du lieu susdit, et demandaient aussi si le vendeur avait certaine comestible en vente. Une commerçante cheminait en chargeant sacs de jute qui contenait du poivre en graines de 50 kilogrammes. L´ambiance était bon, les gens avaient envies de vivre et acheter.

    Un jour quelques citoyens cubains (qui avaient arrivé à Lima Pérou comme exilés de Cuba, en échappant du régime dictatorial de Fidel Castro) sont venus à acheter les ingrédients pour préparer la confiture dénommée « Cocardas » (qu´était un douce, à base de noix de coco râpée, d´essence d´vanille, de la cannelle, et du clou

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