Trevellian et le tueur de flic : Thriller

Par Neal Chadwick

Roman policier de Neal Chadwick


Le volume de ce livre correspond à 118 pages de livre de poche.


Un lieutenant de police du Queens est retrouvé mort dans l'East River. L'enquêteur Jesse Trevellian et son collègue Milo Tucker enquêtent sur cette affaire. Les balles qui ont abattu leur collègue proviennent d'une arme qui avait déjà été utilisée auparavant dans une fusillade liée au crime organisé.Et soudain, le policier suivant est assassiné...


Neal Chadwick (Alfred Bekker) est un auteur renommé de romans fantastiques, de romans policiers et de livres pour la jeunesse. Outre ses grands succès de librairie, il a écrit de nombreux romans pour des séries à suspense telles que Ren Dhark, Jerry Cotton, Cotton reloaded, Kommissar X, John Sinclair et Jessica Bannister. Il a également publié sous les noms de Neal Chadwick, Henry Rohmer, Conny Walden, Sidney Gardner, Jonas Herlin, Adrian Leschek, John Devlin, Brian Carisi, Robert Gruber et Janet Farell.

• Langue: Français
• Éditeur: Alfredbooks
• Date de sortie: 20 juil. 2023
• ISBN: 9783745232158

Aperçu du livre

Neal Chadwick

Trevellian et le tueur de flic : Thriller

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Inhaltsverzeichnis

Trevellian et le tueur de flic : Thriller

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Trevellian et le tueur de flic : Thriller

Roman policier de Neal Chadwick

Le volume de ce livre correspond à 118 pages de livre de poche.

Un lieutenant de police du Queens est retrouvé mort dans l'East River. L'enquêteur Jesse Trevellian et son collègue Milo Tucker enquêtent sur cette affaire. Les balles qui ont abattu leur collègue proviennent d'une arme qui avait déjà été utilisée auparavant dans une fusillade liée au crime organisé.Et soudain, le policier suivant est assassiné...

Neal Chadwick (Alfred Bekker) est un auteur renommé de romans fantastiques, de romans policiers et de livres pour la jeunesse. Outre ses grands succès de librairie, il a écrit de nombreux romans pour des séries à suspense telles que Ren Dhark, Jerry Cotton, Cotton reloaded, Kommissar X, John Sinclair et Jessica Bannister. Il a également publié sous les noms de Neal Chadwick, Henry Rohmer, Conny Walden, Sidney Gardner, Jonas Herlin, Adrian Leschek, John Devlin, Brian Carisi, Robert Gruber et Janet Farell.

Copyright

Un livre de CassiopeiaPress : CASSIOPEIAPRESS, UKSAK E-Books, Alfred Bekker, Alfred Bekker présente, Casssiopeia-XXX-press, Alfredbooks, Uksak Sonder-Edition, Cassiopeiapress Extra Edition, Cassiopeiapress/AlfredBooks et BEKKERpublishing sont des imprints de

Alfred Bekker

Roman par l'auteur

COUVERTURE TONY MASERO

Neal Chadwick est un pseudonyme d'Alfred Bekker.

© de cette édition 2023 by AlfredBekker/CassiopeiaPress, Lengerich/Westphalie

Les personnes imaginées n'ont rien à voir avec des personnes réellement vivantes. Les homonymies sont fortuites et non intentionnelles.

Tous droits réservés.

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Tout ce qui concerne la fiction !

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Le Fredo's Fish Bar de la 5e rue dans le Queens était ouvert 24 heures sur 24. On y trouvait les meilleurs fishburgers de la Grosse Pomme. Le lieutenant Brian O'Rourke, inspecteur à l'Homicide Squad, avait eu une nuit de travail épuisante. Il était maintenant quatre heures du matin et O'Rourke avait depuis longtemps dépassé le point mort.

Il a commandé un café, deux fishburgers et une portion de chips. O'Rourke a été le premier à vider la moitié de son gobelet de café.

Son téléphone portable a sonné. O'Rourke le prit à l'oreille.

Qu'est-ce qu'il y a ?

Ici Harry Gonzales.

Bon sang, où êtes-vous ?

Je n'entrerai pas chez vous.

Qu'est-ce que c'est que cette comédie ?

Venez sur la jetée.

La connexion a été interrompue.

2

O'Rourke regarda les fishburgers, en engloutit un en quelques bouchées et termina son café. Il laissa les chips. Il les avait goûtées et avait constaté qu'elles n'étaient pas assez croustillantes pour lui.

Un peu plus tard, il est sorti dans la nuit. Le cri des mouettes se mêlait au bruit de la circulation de la Grosse Pomme.

L'East River ressemblait à un large ruban sans lumière. Derrière, il y avait les lumières de Manhattan. La nuit était claire. Le quartier général des Nations Unies était clairement visible.

Au milieu de l'eau se dresse le Delacorte Geyser, un phare situé à l'extrémité sud de Franklin D. Roosevelt. Roosevelt Island.

O'Rourke a également avalé le deuxième fishburger et s'est essuyé les doigts sur un mouchoir. Puis il a brièvement vérifié la position de son arme. Elle était dans son holster d'épaule. Par-dessus, il portait un blouson foncé. La veste était ample, de sorte que l'arme ne se voyait pas.

O'Rourke se dirigea vers la jetée qui s'avançait un peu dans l'East River, non loin de là.

Une ombre sombre se détachait sur la mer de lumières de Manhattan. O'Rourke a hésité un instant, puis il est entré sur la jetée. Il n'y avait rien de plus proche de la silhouette au bout.

Ce doit être lui ! pensa O'Rourke. Il regarda sa montre. Quatre heures et dix minutes.

La silhouette se déplaça alors et vint à la rencontre d'O'Rourke.

Il s'arrêta à quelques pas de là. La lumière d'une lanterne éclairait son corps à partir du cou. Son visage restait dans l'obscurité.

Sa main droite était profondément enfouie dans la poche de son manteau.

Lieutenant O'Rourke ?

Oui ?

L'homme a sorti de sous son manteau une arme munie d'un silencieux. Le faisceau d'un pointeur laser dansait dans la nuit. Le tir était à peine audible. Le feu de bouche a clignoté deux fois.

La première balle a touché le lieutenant O'Rourke à la poitrine et a fait un trou dans le tissu de son blouson. La deuxième balle l'a touché juste au-dessus.

Le kevlar gris d'un gilet pare-balles apparaissait en dessous.

O'Rourke a chancelé au sol. Il passa la main sous son blouson pour sortir son arme de service.

Le pistolet silencieux a de nouveau brillé dans la main du tueur. Cinq coups de feu se succédèrent rapidement, faisant tressaillir le corps du lieutenant. Une balle l'a atteint à la tête avant qu'il n'ait pu tirer sur sa propre arme.

Il gisait immobile dans sa mare de sang.

Le tueur est sorti de l'ombre.

Du pied, il a poussé le corps allongé et immobile. Il a rengainé son arme. Il a ramassé le pistolet d'O'Rourke sur le sol et l'a jeté en l'air dans l'East River. Il s'est ensuite penché et a saisi le corps par les épaules. Il a ensuite traîné le mort jusqu'au mur du quai et l'a fait glisser dans l'eau. Le tueur a pris une grande inspiration. Il a retiré les gants en latex qui protégeaient ses mains des traces de poudre et les a jetés derrière lui.

En quelques instants, les eaux sombres de l'East River ont tout recouvert.

3

Le Dr Brent Claus nous a conduits à la morgue de l'institut médico-légal de la division de recherche scientifique. Ce service central d'identification de toutes les unités de police de New York avait ses laboratoires dans le Bronx.

Le Dr Claus a ouvert l'un des compartiments réfrigérés. Il a ensuite tiré le drap blanc qui recouvrait le mort sur le côté, de manière à ce qu'on puisse voir le visage.

Il était pâle et boursouflé. Sur son front, on pouvait voir l'entrée d'un projectile. D'après les photos que mon collègue Milo Tucker et moi avions vues auparavant dans notre bureau de terrain, je n'aurais pas pu le reconnaître.

Voici le lieutenant Brian O'Rourke de l'unité d'homicide I du 54e district de la police municipale du Queens. S'il a l'air un peu différent des photos officielles de ses états de service, c'est tout simplement parce qu'il a passé un bon moment dans l'eau. Le capitaine Del Mar, son chef à la brigade homicide, ne l'aurait pas reconnu non plus, bien qu'il ait eu affaire à lui tous les jours.

Que pouvez-vous nous dire sur ce qui s'est passé ?, a demandé Milo.

O'Rourke a été touché par plusieurs balles. Il portait un gilet en kevlar qui en a absorbé quelques-unes. Les hématomes sur le torse sont clairement visibles. Le Dr Claus a tiré le drap un peu plus loin. Les hématomes se trouvaient à proximité du cœur et étaient désormais aussi gros que des soucoupes. Le coup dans le cou est passé sans problème. Il en va de même pour la balle qui a effleuré l'épaule. Au moins ces deux projectiles devraient encore se trouver sur la scène du crime.

Pour l'instant, nous ne savons pas encore où il pourrait se trouver, mais peut-être que les résultats de votre enquête seront la pièce maîtresse de la mosaïque qui nous aidera à avancer !, ai-je dit.

Le tir mortel est entré dans la tête, a traversé la boîte crânienne en plein milieu du front et est resté bloqué au niveau des cervicales.

Le tir a donc été effectué de biais, ai-je conclu.

Oui, a acquiescé le Dr Claus. J'imagine que le lieutenant O'Rourke a chancelé au sol sous la force des coups, arrêtés par le gilet en kevlar, tandis que le tueur continuait à tirer sur sa victime. Lorsque le coup à la tête l'a atteint, il a dû se tordre. Le rapport balistique est déjà disponible et il indique que les balles ont été tirées à une distance d'au moins cinq mètres. Mais je suppose que vous avez déjà lu le rapport.

Il est l'une des raisons pour lesquelles nous prenons cette affaire, ai-je expliqué. En effet, la comparaison du projectile examiné a révélé que l'arme utilisée avait déjà été utilisée auparavant dans une fusillade liée au crime organisé.

Le Dr Claus a haussé les épaules. "Cette fois, mes collègues de la balistique ont été nettement plus rapides que moi. Mais je n'ai malheureusement pu leur offrir qu'un seul projectile - à savoir celui qui s'est logé dans la colonne cervicale. Vous avez donc de