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My life
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Livre électronique67 pages51 minutes

My life

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À propos de ce livre électronique

Je m’appelle Élodie, et je vous invite à partager une partie de ma vie, à la fois chaotique et entraînante, faite de voyages, de travail mais aussi de désillusions parfois. Mes seuls piliers ont été mes parents. Aujourd’hui j’ai envie de raconter cette belle aventure car la vie en est une. Garder l’espoir est essentiel. Je finirai avec cette phrase de Richard Williams 
“Aie le courage et la force d’aller là où ton cœur te dit d’aller.”

Élodie Fargeon par ce livre vous invite à partager sa vie ou plus exactement une partie de sa vie. Une vie à la fois chaotique et entraînante, parce qu’elle n’a pas arrêté de bouger.
Elle a décidé d’écrire cette autobiographie pour faire comprendre qu’il faut saisir les bonnes opportunités. Même si la vie est parfois difficile, il faut savoir garder de l’espoir, de l’amour et de l’amitié en soi. Il est primordial de savoir donner et recevoir.
LangueFrançais
Date de sortie28 févr. 2023
ISBN9791220138178
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    Aperçu du livre

    My life - Élodie Fargeon

    INTRODUCTION

    Je m’appelle Élodie et par ce livre, je vous invite à partager ma vie ou plus exactement une partie de ma vie. Une vie à la fois chaotique et entraînante, parce que je n’ai pas arrêté de bouger.

    J’ai décidé d’écrire cette autobiographie pour faire comprendre qu’il faut saisir les bonnes opportunités. Même si la vie est parfois difficile, il faut savoir garder de l’espoir, de l’amour et de l’amitié en soi. Il est primordial de savoir donner et recevoir. 

    L’ENFANCE

    Je commencerai par le début. Mon enfance s’est très bien passée. Mes parents, Jean-Pierre et Bernadette, étaient présents, attentionnés. Ils s’occupaient bien de moi. J’étais une petite fille chanceuse. Je n’ai pas eu de frère ni de sœur. Non, je suis fille unique.

    Je suis originaire de Savoie. Je suis née et j’ai grandi dans la petite ville de Chambéry. Les Alpes sont proches du département, le 73. Mon premier contact avec le chiffre 3. Vous verrez, il me suivra. 

    D’ailleurs, à 3 ans, j’ai subi une grosse opération à un rein. J’avais un reflux urinaire vésico-urétéral. Ça me brûlait lorsque je devais aller aux toilettes. L’opération s’est très bien passée. Seulement, on était au début des années 80 en plein cœur des histoires du sang contaminé. Ma mère a attendu que j’atteigne l’âge de 12 ans pour mon test HIV. J’étais un enfant, je n’avais pas conscience du danger qui planait sur moi depuis cette opération, mais mes parents, si. Ma mère m’a expliqué avant le test que j’avais été transfusée et que je devais faire un test HIV pour savoir si j’allais bien. Il fut négatif.

    J’ai eu d’autres opérations dans ma vie. Par exemple, à 11 ans, j’ai été opérée de l’appendicite. Une intervention plutôt bénigne. Mais, comme je ne fais rien comme les autres, vous le comprendrez au fur et à mesure de cette lecture, la mienne était cachée, très profonde. Ma grand-mère Olga était venue me voir. Je suis sortie avec un trou, une grosse cicatrice sur le côté. Les cicatrices font les grandes guerrières !

    Je n’ai pas eu le temps de m’affectionner à une maison dans mon enfance. En effet, mes parents déménageaient souvent pour le travail. Mon père était boucher et ma mère aide-soignante. À ma naissance, maman s’est arrêtée de travailler. Pendant 9 ans, elle est restée à la maison pour m’élever. J’ai eu l’opportunité de ne pas passer d’une nounou à une autre.

    Au sein de ma famille, j’ai eu la chance de connaître mes deux arrière-grands-mères paternelles : Antoinette et Alice ainsi que mes quatre grands-parents.

    Une petite présentation s’impose.

    Je commencerai par mes grands-parents maternels, JeanMarie et Olga de Chambéry. J’adorais leur rendre visite. Je passais aussi des vacances avec eux. J’ai eu un premier contact avec la maladie dans ma famille. Ma grand-mère souffrait de Parkinson. Une maladie qui touche les nerfs, très éprouvante à vivre pour elle, mais également pour les proches. Mon grand-père est resté à ses côtés jusqu'à ce qu’il ne puisse plus s’en occuper. Il est allé vivre chez mes parents et ma grand-mère a dû être placée en Ehpad (Établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes). Elle ne pouvait plus marcher, se laver, se nourrir. Elle n’était plus indépendante. Je suis allée la voir régulièrement jusqu’à sa mort. Enfant, on ne comprend pas tout de la souffrance, on se pose des questions. Mais j’ai pris très vite sur moi. Ma mère, travaillant en milieu médical, était très stricte avec la maladie. Elle expliquait et refusait que l’on s’apitoie sur le sort de ma grand-mère. Mon grand-père maternel lui, est décédé plus récemment. Le 7 mai 2017, soit le jour de mes 40 ans. Je travaillais sur un bateau ce jour-là et je naviguais entre larmes et sourires avec les clients. J’allais parfois à l’arrière pour me ressaisir. Il fallait trouver le juste milieu, être étanche aux émotions, pour rester professionnelle, mais ce fut un anniversaire très douloureux. Il est décédé à 93 ans, une belle vie tout de même.

    J’avais aussi un bon rapport avec mes grands-parents paternels. Maurice et Odette vivaient en Ardèche. J’ai passé mes premières vacances à l'étranger avec eux. C’était en Espagne avec des amis à eux. J’en garde de bons souvenirs, comme la paella mangée à San Carlos de la Rapita à proximité

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