Quelque Chose Est Caché Ici: Thriller de Mystère et de Suspense en Français

Par Martin Danielle

 

Jacob Mart, un petit chirurgien sanguinaire, vous montrera dans ce thriller psychologique glaçant ce dont nous sommes tous capables pour survivre.

Si vous êtes de ceux qui aiment les thrillers psychologiques électrisants, vous serez saisi par cette histoire. Une fois que vous aurez commencé, vous ne pourrez plus vous arrêter jusqu'à la fin électrisante et inattendue... Enjoy !

• Langue: Français
• Éditeur: LiOj
• Date de sortie: 2 mai 2023
• ISBN: 9798223928751

Aperçu du livre

Index

Index

Avant-propos

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Avant-propos

––––––––

Basé sur une histoire vraie.

Jacob Mart, un petit chirurgien sanguinaire, vous montrera dans ce thriller psychologique glaçant ce dont nous sommes tous capables pour survivre.

Si vous êtes de ceux qui aiment les thrillers psychologiques électrisants, vous serez saisi par cette histoire. Une fois que vous aurez commencé, vous ne pourrez plus vous arrêter jusqu'à la fin électrisante et inattendue... Enjoy !

Chapitre 1

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Le 7 février. Cela fait presque 26 heures que cette foutue tempête, ou je ne sais quoi d'autre, m'a jeté sur cette île. Pour tout vous dire, j'ai fait des allers-retours, et quelle petite île merdique ! Elle fait 300 pas de large et environ 400 pas de long. De plus, d'après ce que j'ai scanné, je n'ai absolument rien vu qui puisse me mettre la puce à l'oreille. C'est totalement désert, comme je l'imaginais, et dans ma situation, ce n'est pas une bonne chose, je pense.

Je m'appelle Jacob Mart, et ce que vous avez lu à la hâte est mon journal. Au cas où ils me retrouveraient, ou plutôt quand ils me retrouveront : je le brûlerai. Je ne veux vraiment pas paraître risible, et évidemment, confesser des choses qui pourraient me valoir des ennuis judiciaires.

Heureusement, j'ai beaucoup d'allumettes et d'héroïne. J'ai même de quoi jeter les deux dans le ciel, même si, pour être honnête, ça ne vaut pas un clou ici. Je ferais donc mieux de m'asseoir quelques heures pour écrire, vous savez ; perdre du temps et ne pas m'endormir, parce que je suis sûr qu'ils vont me frapper dans les prochaines heures. Aujourd'hui est aussi bon qu'aujourd'hui.

Heureusement, j'ai le temps de compter maintenant. Enfin, tant qu'il n'y a pas de bateau de sauvetage en vue. Je commencerai donc par vous dire que le Mati Luar, le quartier italien du Lower East Side de New York où je suis né, m'appelait Henry Labat. Mon père, qui était un fils de pute, venait du vieux continent et avait déjà apporté avec lui ses manies savantes. D'aussi loin que je me souvienne, je voulais devenir un bon chirurgien, mais il se moquait et riait chaque fois qu'il m'entendait dire cela à ma mère. Et il aimait me traiter de nigaud rêveur, tout en m'envoyant chercher une autre bière sur l'étagère. Il est mort d'un cancer agressif du colon à 46 ans et je ne peux pas vous dire combien j'ai ri en silence en l'écoutant pleurer comme un pédé ses derniers jours sur ce lit qui grinçait à chaque fois qu'il bougeait. Je me disais : Allez, grand dadais ! qui est celui qui rit le mieux ? vas-y ! envoie-moi chercher une autre bière et tu verras si ça ne te fait pas chier dans ton pantalon de douleur.

J'ai commencé à jouer au football au lycée et, sans vouloir être présomptueux, je dois avouer que j'étais le troisième meilleur joueur de l'histoire locale. J'étais quarterback et parfois tight end. Au cours de ma dernière année de lycée, j'ai visité la plupart des villes emblématiques des États-Unis. Cependant, je dois avouer que je détestais vraiment le football.  Mais quand on est un enfant, qu'on vit au jour le jour et qu'on rêve d'aller à l'université, il n'y a pas d'autre option que le sport si l'on est doué. Si vous ne l'êtes pas, vous êtes foutu. Il n'y a pas d'autre choix que de se bouger le cul et de travailler du lever au coucher du soleil, comme la plupart des gens. J'ai donc continué à jouer jusqu'à ce que j'obtienne la bourse tant attendue, et une fois que je l'ai eue : bye-bye le putain de football, me suis-je dit. Bien sûr ! J'allais étudier pour devenir chirurgien, même si c'était la dernière chose que je me répétais, même si