7 Histoires pour un après-midi d'été: 7 Histoires pour un après-midi d'été

Par Jossy Loes

Les après-midi d'été donnent beaucoup et je crois qu'en cela tu me donneras la raison, en commençant par une sieste en prenant un bain de soleil en essayant d'obtenir l'obscurité pour laquelle tu as demandé la pose du BONJOUR ... Ok! Un peu passé Ce qui est certain, c’est que, pendant ces longs après-midi, nous apprécions la compagnie d’amis et des moments pleins de joie et de complicité. Les étés changent l’ambiance de tous, on rigole, on va faire la fête, on voyage, on découvre des endroits merveilleux et, peut-être, on finit par trébucher avec cette personne qui bouge tout notre monde. C'est la saison la plus chaude de l'année. À un autre moment, elle s'est prête pour que les danses soient le moment idéal pour que ceux qui sentaient leur cœur battre plus vite que la normale puissent être réunis.
C’est l’heure des couchers de soleil avec ce premier amour qui fait que plus d’une personne devient un peu bête ou cette soirée tant attendue avec une brise qui nous abrite, anticipant ce qui se passera dans les heures qui suivent, découvrant la passion enflammée de deux corps unissez-vous pour vivre une histoire inoubliable ... Oui, cela va très loin, même lire sept histoires que vous pouvez découvrir un après-midi d'été.

• Langue: Français
• Éditeur: BadPress
• Date de sortie: 22 févr. 2019
• ISBN: 9781547572595

Jossy Loes

Jossy Loes wurde an einem heißen Juli in Venezuela geboren. Sie stammt aus ihrer Familie, in der anscheinend jede Generation neue Horizonte erleben muss, und an ihre Kindheit erinnert sie sich immer an seine Schüler, aber genau das war sein Wunsch, zu schreiben, das Institut. Sie studierte Ingenieurwesen in Venezuela. Zu diesem Zeitpunkt wagte sie es, Kurzgeschichten zu schreiben, die sie per E-Mail an ihre Freunde weitergaben, ohne zu sagen, woher sie kamen. Große Veränderungen in ihrem Leben ließen sie sich einer guten Zeit nähern, die Liebe zog sie zum Meer, wo sie seine Wurzeln niederließ, sie studierte Verwaltung und verstand, dass sie die Gelegenheit erreicht hatte, ihren Traum zu verwirklichen und zu schreiben Bis heute habe ich insgesamt vier Bücher veröffentlicht: von Red Apple Editions: Werden Sie Julieta genannt?, Des 2016 veröffentlichten zeitgenössischen Themas. Ediciones Besos de Papel: Und Sie haben meinen Weg des 2017 veröffentlichten zeitgenössischen Themas gekreuzt. Eigenverlag: Dreißigster Geburtstag des 2017 veröffentlichten romantischen Comedy-Themas. Im Mai 2018 veröffentlichte er Twelve Life Opportunities mit demselben Verlag und im Oktober 2018 wird es erneut veröffentlicht. Und auch Rothaarige verlieben sich ineinander. Wie verschiedene Geschichten in Anthologien seit 2015.

Aperçu du livre

Autres œuvres de Jossy Loes

Tu appelez-toi Juliette ?

Et tu as croisé dans mon chemin

Douze opportunités de vivre

Les derniers étés m'ont apporté des souvenirs difficiles à oublier, certains amers, d'autres heureux, ainsi que la création de ces histoires créées au cours des étés récents.

Ce livre d'histoires est dédié à chacune de ces personnes qui vivront des expériences similaires à celles que vous trouverez ici.

Les Accords du Cœur

Allons ! Monsieur le conquérant !

1

-Salut : est-il occupé ? - j'ai demandé la jeune femme qui était assise sur un siège à côté de sa valise.

Elle me regarda surprise, me montrant du doigt. En vue qu’elle ne répondait pas, je me suis assis avec mon trolley et ma guitare en attendant le prochain vol à destination de Dublin.

-Et bien ? Vas-tu à Dublin ou à Belfast ?

La jeune ne pouvait articuler aucun mot, elle clignait des yeux seulement, en contrepartie, j'avais besoin de parler, de lâcher tout celui qui coulait en moi.

-Oui, c'est moi - je lui ai dit pour qu'elle réagît-. Je pensais que la coupe de cheveux et la casquette de baseball près de ces énormes lunettes m'aideraient, mais je vois que non. Je l'ai fixement regardée et j'ai poursuivi-. Cela vous dérangerait-il si je m'évacue un peu ? C'est urgent pour moi et je te promets que tu pourras faire tous les selfies que tu veux. 

La jeune est revenue à cligner rapidement des yeux et j'imaginai que ce n'étaient pas les mots les plus précis que j'avais dits.

-  Merde ! Je pense que je ne me suis pas bien exprimé.

J'essayais de lui transmettre de la confiance avec un sourire et cette fois elle acquiesça. Avec cela, j'ai senti certain soulagement.  Je sais que je n'aurais pas dû le faire, mais j'étais tellement habitué à voler des soupirs avec ce geste qui venait déjà de l'inertie. J'ai décidé d'oublier un peu le guitariste, la pop star et d'être l'homme inquiet qui était à son côté.

-Sais-tu ? - j'ai dit à nouveau-. C'est la troisième année que je reviens avec ma valise pleine d'autocollants des endroits que nous avons parcourus depuis que ma chanson a réussi à être le numéro un des ventes. La troisième année dans laquelle je marcherai à nouveau dans les vieilles rues de Dublin, l'île de l'Émeraude, qui m'a mis les pieds dans la terre, l'île qui m'invite à recommencer à voir ma fée irlandaise sur qui un bon jour j'ai trébuché dans ce même aéroport.

Elle fit une petite moue et j'ai souri en pensant que ce ne devait pas être agréable pour un fan d'écouter ce que je venais d'admettre, mais c'était la vérité. 

-Ma fée irlandaise m'a fait apprendre à aimer ce pays.

Oui, c'était la troisième année que mes mains ont demandé de revenir pour parcourir son corps blanchâtre pouce par pouce, couvert par ses cheveux d'or et abondante qui m'invitait à la découvrir encore et encore et à me régaler dans cela. A

La jeune fille leva un sourcil et je ris devant ma sincérité, je voulus me rétracter, alors je pensais que je ne devrais pas, j'étais un artiste, mes chansons parlaient de sentiments, d'obstacles de la vie et c'était ce que je sentais.

Cela faisait trois ans que je disparaissais depuis une semaine et que je me cachais dans chaque ruelle de cette petit village qui m’avait aidé à la connaître.

Pourquoi mentir ?, c'était comme si ce solstice d'été, ces fêtes païennes, dont les légendes se nourrissaient de fantaisies, seraient devenues vivantes pour moi cette année-là.

En janvier 2013, nous avons décidé de tenter notre chance quand ils nous ont invités à participer à une tournée à toute Irlande, près de l'autre les meilleures bandes de pop du moment.

De longues répétitions jusqu'à l'aube, malgré le fait que je finissais avec de grandes douleurs dans les poignets et en mettant de la glace pour que ma main reste en forme optimale, ils ont été récompensés par ce contrat.

Je croyais que j'aimais la musique, je croyais que j'aimais jouer, jusqu'à ce que je la rencontre. Et c'est qu'à cette époque, nous n'avions qu'un seul but : arriver au sommet. Je n'avais jamais pensé que cette année m'amènerait à m'obséder moi-même à ce que, chaque été, je retournerais dans le pays vert.

Nous avons signé le contrat et des mois après nous avons pris le chemin des concerts. Nous avions écouté des rumeurs stupides et nous voulions nous assurer que nos fans seraient heureux de savoir qu'elles auraient l'occasion de nous voir de près.

Mes amis et compagnons du groupe -J'ai indiqué à la fille de suivre mon histoire- ont décidé de jouer avec un groupe de filles qui étaient très enthousiasmées pour avoir le sort de coïncider avec nous ici, dans le même aéroport.

—Nous tous attendions qu’ils annonçaient la porte de sortie et, quand une fille nous a reconnus, le tumulte a été inévitable. Je ne nierai pas que j'aimais les écouter prononcer mon nom et, lorsque j'ai choisi de jouer de la guitare, les cris sont été à plus.  

La jeune femme renifla et s'est mise à être sur la défensive. Je ne voulais pas être vaniteux, je racontais la vérité avant qu'elle ne se levât et elle me dît n'importe quelle sottise, je l'ai éclairci.

—Je sais que ça sonne comme un connard authentique, mais c'est ma vie quotidienne.

Elle fit de nouveau une moue et croisa les bras. J'ai conclu qu'au moins j'aurais encore cinq minutes de son attention et j'ai décidé de suivre mon histoire.

—Ils nous ont demandé une autre chanson et j'ai commencé les accords d'un remix que nous allions jouer lors des concerts ; alors je la vis passer, ignorante du tumulte qui commençait à nous entourer. Elle s'est arrêtée et je pensais que c'était à cause du brouhaha des fans, mais ce n'était pas comme ça, elle ajusta son iPod à côté des casques et, sans importer qu’ils la regardent, elle commença à gesticuler avec le doigt la mélodie qu'elle écoutait.

Elle a capté toute mon attention. Jusqu'à ce moment, j'avais juré qu'elle m'avait vu du coin de l'œil et elle m'a ignoré. Sans y remédier, j'ai arrêté de jouer, j'ai donné la guitare à mon ami Niall et je me suis levée pour la suivre. Je ne sais pas comment l'expliquer, je voulais savoir ce qu'elle écoutait et pourquoi elle ne s'est pas approchée chez nous.

J'avais cette curiosité et j'allais l'assouvir. Cependant, une paire de filles m'ont arrêté pour quelques selfies, ce qui m'a fait la perdre de vue. Je ne pouvais pas mépriser mes partisanes ; des jours auparavant, notre chanson était arrivée au nombre un et c'était notre meilleur moment.

Je me suis défait comme j'ai pu des filles et j'ai commencé à la chercher, jusqu'à ce que je l'ai trouvé une paire de sièges au-delà d'où le groupe était. Elle lisait un roman d'aventures accompagné du mouvement constant de son doigt, ses cheveux blonds, près de ce tee-shirt bleu, ça lui donnait un aspect si doux dont j'ai n'eut pas douté, mais à la fin je me suis assis à son côté.

—Salut, —j'ai lui dit—, je suis Logan. —Elle me regarda de haut en bas, elle leva un sourcil me scrutant tellement que je me sentais inconfortable. Au lieu de répondre à mon salutation, elle est revenue à sa lecture et m'a ignoré. Cela a blessé ma fierté.

Cette fois, la jeune femme qui j'avais à côté de moi a ri aux éclats, c'était compréhensible. Une pop star avait été ignorée par un être mortel, alors j'ai attendu patiemment qu'elle arrête de rire et j'ai continué.

—Excuse-moi —dit la jeune femme—. C'est que tu le mérites ", répondit-elle sincèrement.

—Je n'aimais pas ce qu'elle me faisait sentir comme pas grand-chose -J'ai dit à la fille que, jusqu'à présent, je ne connaissais pas son nom et j'ai réalisé que je ne l'avais pas demandé-. Désolé, j'ai été mal élevé, je ne connais pas ton nom.

Elle rougit.

—Nicole.

—Un joli nom, Nicole, es-tu irlandaise par hasard ? — la jeune a affirmé—. Alors, tu t'es croisé peut-être avec ma fée.

Elle sourit encore.

-Si tu ne finis pas de me raconter l'histoire, je ne saurai pas si je la connais.

- Veux-tu sérieusement l'écouter ?

Nicole a regardé sa montre et, en même temps, l'écran lointain où les prochains vols ont été rapportés.

-Oui, j'ai encore du temps.

J'ai cligné de l'œil, j'ai souri et elle, en échange, roula des yeux à son tour.

—C'est bon —dis-je, pour ne pas perdre son intérêt—. Je n'allais pas rester avec ça, alors j'ai commencé à siffler et à tonner mes doigts avec une de mes chansons en attendant de savoir si elle la connaissait, elle arrêta de bouger son doigt, elle me regarda du coin de l'œil tandis que je n'arrêtais pas de siffler, je restai silencieux pensant que j'avais atteint mon objectif, mais elle est revenue à sa lecture.

J'évitais de sourire, elle devenait difficile et j'aimais ça. J'ai donc utilisé une autre méthode et une autre des chansons du groupe. Cette fois, je tapais mon jeans et de nouveau elle me regarda du coin de l'œil attente au rythme de mes tapes, je finis la chanson, mais elle retourna à son livre et continua à m'ignorer.

Je n’aimais pas du tout le fait qu’elle se fait la dure. Je n’étais pas habitué, alors pendant que je cherchais un moyen d’attirer son attention, ma fée ferma le livre, elle se leva en tenant le guidon de sa valise et elle se mit à marcher. Je me suis levée par derrière, un peu en colère par le manque d'intérêt de sa part et quand je l'ai atteinte, l'ai arrêtée.

—Peut-être que tu ne me reconnais pas ?

Elle m'a regardé soigneusement.

—Non —elle a répondu en essayant de suivre son chemin, mais je ne la laissé pas.

—Vraiment ? —Demandai-je surprise en m'éloignant et en montrant avec mes mains et elle me regarda de nouveau en se croisant des bras.

—Je sais qui tu es, Logan Cooper, je t'ai vu depuis que vous êtes sortis de la fourgonnette en signent des autographes et en se croyant Maroon 5, Coldplay ou One Direction et puisque tu n'appartiens pas à aucun de ces bandes, je ne vais pas perdre mon temps derrière toi, me permets-tu maintenant ?

Nicole a éclaté de rire, j'ai regardé sur les côtés et j'ai ajusté la casquette, je ne voulais pas attirer autant d'attention.

—Je sais que j'étais un imbécile complet —J'ai indiqué à Nicole.

—Oui, oui, tu l'as été, mais tu n'arrêtes pas de me raconter comment elle est arrivée à t'avoir en bavant pour elle.

-Quel directe ! -Je voulais discuter ce point, mais elle avait raison. Nicole haussa les épaules et j'ai poursuivi-.

En tant que digne irlandaise, elle m'avait mis hors de combat sans me toucher. Pour cette raison, je me suis retourné et je suis revenu me réfugier auprès de mes fans et de leurs éloges, une attitude enfantine à une époque où la célébrité pouvait être encore plus grande.

Nous sommes montés dans l'avion dans lequel Niall et Brett ont donné la note en animant les passagers. Je n'étais pas d'humeur, il était difficile de comprendre pourquoi j'avais subi ce rejet, je me suis levé pour me rafraîchir le visage et changer d'humeur. J'ai fait quelques pas lorsque nos yeux se sont croisés, mais ses yeux ont distillé de la haine.

J'ai nié avec la tête en commençant à penser quels rayons j'avais faits à cette fille. Après être sorti du bain, je me suis senti plus déconcerté. Brett parlait à elle du plus animé, je me dirigeais vers eux, et le pire qui pouvait arriver, était arrivé.

-Peux-tu nous prendre une photo ? Dit ma fée avec un ton ironique et un sourire cynique.

Elle se moquait de moi et je n'allais pas le permettre.

—Je ne fais pas de photos, c'est à moi qu'elles les font et ce ne sera pas comme si tu faisais le tour en disant que tu as pris une photo avec l'imbécile de Brett et non avec ... —Je me suis pointé avec mes mains—. Logan Cooper.

—Va te faire foutre ! —Brett a dit, en niant avec la tête à mon commentaire malheureux—. Excusez-moi —a dit mon ami à un autre passager— nous faites-vous la photo ?

L'homme s'est levé et a pris la photo alors que les yeux de ma fée brillaient de rage retenue. Je lui ai répondu avec un sourire de côté et j'ai poursuivi à mon siège avec un humour des chiens face à ce mépris.

Des jours après être arrivé à Dublin, nous avions un concert dans un festival qui commençait à la fin de cette semaine. Nous sommes allés à la station Connolly en pensant qu'ils ne nous reconnaîtraient pas et nous nous sommes trompés. Un groupe de filles adolescentes nous a vus et un brouhaha s'est ensuivi.

Niall a dû appeler notre agent pour qu'il nous tire de cette gêne, rien n'a plu à lui que nous ne suivions pas le protocole et nous sommes revenus à l'hôtel escortés par la police. Et comme si c'était une malédiction, ma jeune fée était dans la station.

Mon ami la salua et elle lui sourit. Je m'en souviens encore et j'ai envie de l'assassiner, je l'ai ignorée et le connard de Brett s'est aperçu de la tension qui existait, alors il en a profité.

—Hé, Logan ! —Cria le connard. Maintenant vas-tu prendre la photo ?

—J'ai fait un doigt d'honneur.

Nicole a ri du joli par mon expression. Cela faisait déjà trois ans, mais elle me dérange toujours avec ce cocon. J'ai décidé de suivre avec mon histoire, une manière d'arrêter les rires de la fille.

—Une demi-heure plus tard, nous allions à Howth, où se déroulerait le concert. Nous nous logeons à l'hôtel de l'un des promoteurs du festival et nous décidons de donner un tour au lieu. Selon le guide de l'hôtel, il s'agissait d'un village pittoresque offrant un accès facile aux falaises et des vues merveilleuses.

Dans le temps que nous serions là, nous ferions du tourisme sans problème. Nous avons décidé de marcher un peu en nous rencontrant un musicien de la rue avec qui nous avons fini par chanter les chansons que nous connaissions tous.

Pour la première fois depuis des mois, pouvoir jouer sans avoir à donner des autographes ou des filles hurlant à proximité était formidable, ce moment m'a rappelé nos débuts et je me suis senti à goût.

Nicole n'a pas aimé la façon comme je me suis référé à mes fans.

—Je sais que ce n'est pas agréable de ma part —avouai-je—.

Plusieurs fois, ils nous accablent plus qu'ils ne le croient et dans ces jours, nous respirions à peine de l'air pur, nous ne pensions pas que notre renommée était grande en Irlande. Par conséquent, jouer un rythme qui n’était pas le nôtre était une bonne thérapie de vitalité et, lorsque j’étais plus à goût, je la revoyais.

J'ai essayé de suivre le rythme et je n'ai pas pu. Mes yeux la suivirent jusqu'à ce qu'elle se soit perdue entre les ruelles.

J'étais