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La vérité... la dire ou la taire?
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La vérité... la dire ou la taire?
Livre électronique227 pages3 heures

La vérité... la dire ou la taire?

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À propos de ce livre électronique

Toute vérité est-elle bonne à dire, à l’instar du fameux dicton ? Que pouvons-nous réellement partager ? Que devons-nous faire des réalités inavouables ? Et si garder le silence était
une forme de mensonge ? Tant de questions et d’idées reçues meublent notre quotidien de manière inconsciente, affectant sournoisement notre qualité de vie et notre degré de quiétude. Dans ce guide aussi pertinent qu’instructif, Marthe Saint-Laurent évoque les relations interpersonnelles responsables
de nos bonheurs comme de nos malaises, de même que les vraies raisons qui nous incitent à dire ou à taire la vérité. Chaque chapitre propose de courtes histoires destinées à créer des parallèles entre notre expérience et celle des autres. Des cas de conscience et des scénarios représentatifs se chevauchent alors pour nous aider à découvrir ce qui gruge notre santé mentale à notre insu. L’ouvrage offre également des pistes de réflexion ainsi que des mises en situation permettant en outre d’intensifier notre compréhension, de favoriser l’analyse de notre
mode de fonctionnement et de faire naître des solutions. Laissons-nous entraîner sur le chemin de la seule vérité qui compte vraiment… la nôtre !
LangueFrançais
Date de sortie12 janv. 2022
ISBN9782898041525
La vérité... la dire ou la taire?
Auteur

Marthe Saint-Laurent

Animatrice, chroniqueuse, conférencière et auteure, Marthe Saint-Laurent est vite devenue une référence dans l’art de communiquer. Après avoir écrit notamment sur les thèmes de la médisance et du harcèlement, elle se lance maintenant à la poursuite de la vérité, celle que nous choisissons de révéler ou de dissimuler.

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    Aperçu du livre

    La vérité... la dire ou la taire? - Marthe Saint-Laurent

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    NOTE DE L’AUTEURE

    Les scénarios, les cas de conscience et les mises en situation sont créés uniquement pour illustrer les éléments traités dans cet ouvrage.

    Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite.

    INTRODUCTION

    La vérité, c’est une agonie qui n’en finit pas.

    – CÉLINE

    La vérité, doit-on la dire ou la taire ? Bien que nous nous cachions souvent derrière l’adage toute vérité n’est pas bonne à dire, nous sommes tout de même à la recherche de la vérité. Si glisser un mensonge à l’occasion ne nous atteint pas, en être victime peut réellement nous blesser.

    Que pouvons-nous partager et que devons-nous garder pour nous ? Il existe de ces vérités inavouables. Que devons-nous en faire ? Dans certains cas, le silence est plus lourd à porter que de dévoiler ce que nous savons ou ce que nous avons vu. Et si garder le silence était une forme de mensonge ? Tant de questionnements et de certitudes meublent notre quotidien de manière inconsciente, déterminent sournoisement la qualité de notre vie et influent sur notre quiétude.

    Il nous arrive parfois d’être sceptiques lorsque notre interlocuteur nous dévoile une information que nous qualifions intuitivement de douteuse. Intérieurement, nous nous demandons s’il s’agit bien de la vérité, s’il n’a pas inventé ou poussé un peu loin le bouchon pour créer un effet et capter l’attention. À d’autres moments, notre intuition nous révèle l’inverse d’une réponse reçue, ce qui ne manque pas de semer le doute en nous.

    Nous sommes en permanence à la recherche de la vérité, jusqu’à nous réjouir parfois d’avoir découvert un mensonge en nous exclamant d’un ton vainqueur : « Je le savais, je l’avais bien dit ! » Qu’on le veuille ou non, il est important pour notre équilibre émotionnel de pouvoir faire la part du vrai et du faux. La preuve en est que, lorsqu’on nous ment, nous perdons confiance en l’autre, peu importe les raisons qui auraient pu justifier le mensonge. Nous ressentons de la trahison. Et pour cause !

    Parfois, c’est nous qui cachons la vérité sans nous préoccuper des conséquences possibles qu’apporte le fait de jouer avec la confiance de notre entourage. Si, à certains égards, les impacts d’un mensonge peuvent être lourds de conséquences, ils restent bien souvent sans importance. Alors que certains mentent comme ils respirent, d’autres prennent le temps de réfléchir à ce qu’il est préférable de dire ou de taire.

    PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE ET DÉNONCIATIONS

    Après avoir évalué une situation, il nous arrive souvent de convenir qu’il est préférable de nous taire afin de nous protéger contre des assauts inutiles ou pour éviter d’avoir à nous justifier. Nous sommes en droit de croire qu’après tout, notre vie privée ne concerne que nous.

    Les réseaux sociaux transmettent des pans complets de la vie privée des utilisateurs. Est-ce que cet automatisme est à revoir ? Possiblement, car les retombées ne sont plus aussi spectaculairement positives lorsque nous exposons notre environnement privé ou nos activités, faisant parfois naître jalousie, envie et jugements fondés sur des croyances trop rigides. Que se passe-t-il lorsque notre réalité vient heurter celle des autres ? Faut-il la taire ? Selon ce que nous désirons vivre, la réponse sera différente. Sommes-nous prêts à assumer les assauts des autres ou à nous brouiller avec eux, par exemple ?

    La crise sanitaire qui a débuté en 2020 avant de se transformer en pandémie a mis en lumière un terrain particulièrement fertile où nous avons puisé jusqu’à satiété des exemples de vérité… et de mensonge. Les élus encourageaient la délation lorsque notre entourage dérogeait aux nouvelles mesures établies en cette sombre période. Et voilà que le grand questionnement nous assaille. Dire la vérité ou ne pas la dire ? En fait, il existe moult raisons de la taire.

    Au-delà des simples questions liées à notre quotidien, le besoin de dire ou non la vérité peut avoir un impact profond sur notre vie et sur celle de notre entourage. Pensons à toutes les formes d’abus, qu’ils soient sexuels, physiques ou psychologiques et qui font partie des grands secrets qui ont détruit la vie de bon nombre de gens. Au cours des dernières années, nous avons observé avec soulagement pour certains – mais avec angoisse pour d’autres – un courant de dénonciation des comportements sexuels inacceptables sur les réseaux sociaux et dans la littérature.

    Les mouvements #metoo et #metooinceste, pour ne nommer que ceux-là, ont créé des conséquences sans précédent à travers le monde. Si ces dénonciations trouvent, à juste titre, leurs motivations dans la nécessité de soulager les victimes en plus de rechercher l’application d’une justice, il n’en demeure pas moins que certaines victimes avouent que le processus est difficile à traverser, tout comme les conséquences sont pénibles à assumer. Dire la vérité n’est pas toujours simple.

    MENSONGES ET CAS DE CONSCIENCE

    Ce sujet délicat, mais nécessaire à aborder, qu’est la vérité nous oblige à revisiter nos valeurs pour mieux considérer tous ces moments dans notre vie où nous avons manqué d’authenticité. Ces espaces-temps où nous avons caché la vérité, où nous nous sommes défilés au lieu de répondre aux questions qui nous étaient adressées. Qui cherchions-nous à protéger, nous ou l’autre ? Avons-nous été lâches ou courageux ? Est-ce possible de rattraper ce temps perdu où nous avons fait croire à quelque chose qui n’est pas ? Est-ce mieux de poursuivre dans le mensonge ou au contraire de libérer la vérité ?

    Il est impensable de traiter la vérité sans nous questionner sur l’importance du mensonge. L’un ne va pas sans l’autre, ils sont totalement indissociables. Il existe plusieurs types de mensonges et avec eux plusieurs raisons de les utiliser, certains étant essentiels à notre survie. Le fait d’établir la différence entre chaque type de mensonge nous permet de l’utiliser de manière plus consciente ou, au contraire, de bannir ceux que nous pourrions considérer comme étant inutiles. Mentir peut devenir une habitude si nous ne faisons pas attention.

    De manière toute naturelle, de la vérité et du mensonge découle le fameux cas de conscience que nous ne pouvons passer sous silence – sans chercher à faire de jeu de mots. De quelle manière faut-il vivre avec un « cas sur notre conscience » ? Nous verrons s’il est possible de garder de lourdes vérités en nous sans qu’elles nous rendent malades. C’est souvent le cas de conscience qui affecte notre santé émotionnelle dans un premier temps, puis notre corps physique. Nous verrons que la conscience des uns n’est pas la même que celle des autres. Le cas de conscience ne se détermine pas par l’ampleur de l’évé­nement, mais davantage par l’impact qu’il a sur nous. De quelle manière l’information reçue ou l’événement observé heurtent-ils nos valeurs ? Est-ce que chaque cas de conscience doit être révélé ? Rien n’est moins sûr. Nous aborderons plusieurs angles afin de répondre à la question suivante : est-il possible de vivre avec un cas qui affecte notre conscience sans que notre santé périclite ?

    DANS TOUTES LES SPHÈRES DE LA VIE

    Dans la deuxième partie, il sera question des relations interpersonnelles responsables de nos bonheurs comme de nos malaises. Est-ce réellement possible d’être toujours honnête avec les membres de notre famille ? Nos interventions avec ces clans formés des parents, des frères, des sœurs et de la belle-­famille sont assurément différentes. Selon l’ouverture d’esprit de notre vis-à-vis et notre volonté à nous impliquer dans la relation, notre degré d’honnêteté ne sera pas le même.

    Il est de plus en plus fréquent de suivre une thérapie à l’âge adulte afin de trouver ou de retrouver la joie de vivre. Plusieurs découvrent que les obstacles internes proviennent d’un trauma vécu à l’enfance avec un parent, par exemple. Est-ce nécessaire – même si plusieurs thérapeutes incitent à l’honnêteté complète – de déverser au parent responsable de notre mal-être ses quatre vérités ? Est-ce indispensable de régler tous nos comptes… et davantage lorsque le parent est âgé ? Quelle cause choisirons-nous de servir et pour quelle raison ?

    Au début d’une relation amoureuse, la plupart d’entre nous, ne souhaitant pas reproduire les mêmes erreurs que dans nos relations antérieures, s’attachent à l’idée de privilégier l’honnê­teté complète afin qu’aucun malentendu ne s’installe. Mais est-ce vraiment réaliste ? Au cœur d’une vie de couple, il y a tant de sujets à révéler ou à contenir, tels que l’infidélité d’un soir, la prise de poids chez l’autre qui affecte notre désir sexuel et tous ces petits ou grands désagréments qui nous éloignent lentement mais sûrement de l’être aimé. L’amour qui nous quitte, le désintérêt qui prend de plus en plus de place… Pouvons-nous tout partager ? Est-il préférable d’attendre que la crise passe ou que le couple éclate en remettant entre les mains du destin la responsabilité de trancher ?

    Dès leur jeune âge, nous enseignons à nos enfants à ne pas mentir. Pourtant, sommes-nous toujours transparents avec eux ? Il nous arrive fréquemment de contourner la vérité à propos des questions délicates qu’un enfant nous adresse, comme sur la mort ou sur la fécondation, par exemple. En croyant qu’il ne comprendra pas, car il est trop jeune, nous lui donnons souvent des explications aléatoires pour acheter la paix. Nos interventions auprès d’eux ne sont pas les mêmes selon qu’ils sont enfants, adolescents ou adultes. Avouer à notre ado que nous avons à une époque, tout comme lui, consommé de la drogue n’est peut-être pas une bonne idée. Chercher à devenir ami avec notre ado en lui révélant nos secrets intimes demeure un choix délicat également. Notre enfant n’est pas notre confident.

    Puisque nous avons choisi nos amis, nous croyons qu’ils nous ressemblent et que cela favorise l’ouverture et la compréhension entre nous. Est-ce vraiment le cas ou, bien souvent, ne marchons-nous pas sur des œufs sans nous en rendre compte ? Devons-nous avouer à notre meilleure amie que nous avons vu son conjoint embrasser amoureusement une autre femme ? La notion de fidélité en amitié a ses limites et ce type d’aveu est-il toujours obligatoire ? Il n’est pas rare de vivre de la trahison avec nos amis, car le sentiment de confiance est souvent acquis à coups de révélations et de confidences. Pourtant, lorsqu’une vérité éclate, les dégâts abîment en profondeur.

    Parmi les relations interpersonnelles, celles qui concernent le travail comptent parmi les plus délicates, car elles peuvent être garantes ou non de notre réussite professionnelle. Les grandes questions qui nous préoccupent depuis bon nombre d’années et qui nous suivent encore actuellement sont celles-ci : devons-nous dénoncer l’incompétence, les harcèlements sexuels et psychologiques, les injustices ? Les jeunes athlètes doivent-ils mettre en péril leur carrière pour dénoncer leur entraîneur ? Évidemment, avec les mouvements de ces dernières années, nous pouvons croire que oui : il faut tout dire et le plus rapidement possible. Pourtant, celles et ceux qui subissent des agressions sexuelles, pour ne nommer que ce type d’abus, ne sont pas convaincus qu’il faille toujours dire la vérité. Ce n’est pas aussi simple que nous voulons le croire.

    Finalement, nous aborderons dans la dernière partie de cet ouvrage les raisons réelles qui nous incitent à dire ou à taire la vérité. Est-ce seulement et uniquement une question de valeurs personnelles et de principes qui nous poussent à être honnêtes ? Rien n’est moins sûr ! En passant au peigne fin les moments de notre vie où nous avons manqué de jugement et de discernement, nous comprendrons que parfois le silence est d’or, tandis qu’à d’autres moments, il peut détruire notre quiétude ou saboter la vie de quelqu’un d’autre. S’il existe des moments favorables au partage de secrets, sommes-nous prêts pour autant à les révéler ?

    Chacun des chapitres contient des cas de conscience et des scénarios représentatifs pour nous permettre d’approfondir notre relation à la vérité et au mensonge. Ces exemples peuvent faire naître des solutions afin de mieux gérer nos propres cas de conscience ou pour comprendre ce qui gruge notre santé à notre insu. Des pistes de réflexion ainsi que des mises en situation sont proposées à la fin des chapitres, permettant un temps d’arrêt, ce qui peut intensifier notre compréhension et favoriser l’analyse de notre mode de fonctionnement.

    Laissons-nous entraîner sur le chemin d’une vérité… la nôtre. Mais, doit-on la dire ou la taire ?

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    PREMIÈRE PARTIE

    Définitions et prises de conscience

    Il est préférable, avant de débattre d’un sujet, d’en connaître vraiment la signification. Plusieurs mots regorgent de sens différents, de définitions diverses et variées selon la discipline qui les étudie ou l’utilisation que nous en faisons personnellement. La vérité compte parmi ces termes si vastes à définir, car plusieurs disciplines s’y intéressent. Si la science, la philosophie, la psychologie et la religion ne s’entendent pas sur sa signification, sa compréhension demeure aléatoire. Les avis sont partagés, car plus nous questionnons notre entourage sur ce qu’est la vérité, plus les réponses diffèrent.

    Mais commençons par le début.

    CHAPITRE 1

    Qu’est-ce que la vérité ?

    La vérité est une puissance devant laquelle, tôt ou tard, chacun doit s’incliner.

    – FRANCE BRÉJENT

    La vérité, c’est qu’il n’y a pas de vérité.

    – PABLO NERUDA

    La vérité pure et simple est très rarement pure et jamais simple.

    – OSCAR WILDE

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    Issu du mot latin veritas, dérivé de verus (vrai), le mot « vérité » a de multiples définitions qui sont toutes plus ou moins controversées. Les domaines de la science, de la philosophie et de la religion, entre autres, ne s’entendent pas sur une définition unique de ce qu’est la vérité. Ce qui nous incite à croire que sa signification est et reste subjective. Nous n’avons pas tous la même vérité parce que, dirigée par nos croyances, elle passe par différentes voies à l’intérieur de chacun d’entre nous.

    En nous intéressant à ce sujet qu’est la vérité, nous constatons rapidement que nos recherches mènent à des articles, des citations et de la littérature qui évoquent en premier lieu, assez souvent, le mensonge avant d’aborder le thème de la vérité. Ces mêmes informations sont majoritairement associées à la religion ou à des dogmes et sont rédigées par des penseurs, des philosophes ou des membres d’une communauté religieuse. Dans ce cas précis, la notion de la vérité est souvent basée sur les principes du bien et du mal, le bien étant la vérité et le mal, le mensonge.

    Pour leur part, bon nombre de scientifiques soutiennent qu’on ne peut croire qu’en ce qui est démontré par la science. Pour plusieurs d’entre eux, la vérité dont parlent les religions va à l’encontre de ce que la science soutient, avec preuves à ­l’appui. Ces preuves reposent sur des années de recherche qui les ont menés à des résultats concrets non discutables. Les expériences en laboratoire sont effectuées pour démontrer la véracité de théories émises au préalable. Plusieurs de ces scientifiques réfutent une possible complémentarité de la signification de la vérité entre les deux domaines. De manière simple, selon eux, la vérité issue et véhiculée par les religions ne repose que sur des écrits analysés et interprétés à partir de doctrines. Qui dit vrai ?

    Plusieurs écrivains, quant à eux, font l’éloge du mensonge comme étant un accès à la liberté des droits de la personne et vantent plus particulièrement la nécessité de mentir pour notre équilibre. Selon Jules Renard, « il n’est pas possible de dire la vérité ». Quant à Proust, il avance clairement que « le mensonge est essentiel à l’humanité ». Anatole France, lui, énonce que « sans le mensonge, l’humanité dépérirait dans le désespoir et l’ennui ». Ces écrivains penseurs prônent la pratique du mensonge comme étant salutaire et essentielle. Nous avons l’impression qu’ils redonnent au mensonge ses lettres de noblesse. En parallèle à cela, la littérature spirituelle actuelle et les grands mouvements créés sur divers réseaux sociaux prônent l’idée selon laquelle l’abolition des non-dits est une action libératrice.

    La philosophie, quant à elle, aborde la notion de vérité comme étant une corrélation entre ce que nous disons et ce qui est. La vérité doit s’exprimer dans un discours objectif qui

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