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Une rencontre déjà-vue: Rencontre à tout prix !, #9
Une rencontre déjà-vue: Rencontre à tout prix !, #9
Une rencontre déjà-vue: Rencontre à tout prix !, #9
Livre électronique165 pages2 heures

Une rencontre déjà-vue: Rencontre à tout prix !, #9

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À propos de ce livre électronique

Melinda Morgan décide de reprendre sa boulangerie de quartier préférée quand le propriétaire, qui est comme un second père pour elle, tombe malade. Puis, elle découvre que le fils baroudeur du propriétaire, Nate Carter, est de retour en ville. Nate avait été à la fois son premier baiser et son plus grand chagrin d'amour, et il n'a rien perdu de son charme.

 

Quand Melinda apprend que le père de Nate vend son entreprise, elle peut enfin réaliser son rêve d'avoir sa propre boulangerie. Mais pour pouvoir accéder à son héritage, elle doit d'abord terminer la bucket list de son père, qui la défie de prendre des risques qu'elle n'aurait jamais pris en temps normal – comme, par exemple, sortir avec quelqu'un qui lui coupe le souffle.

 

Nate veut avoir une seconde chance avec elle, et Melinda le trouve irrésistible. Pourrait-il être la clé qui l'aiderait à terminer la liste de son père et ainsi sauver la boulangerie ? Et pourra-t-il l'aider à faire les deux sans lui briser le cœur une seconde fois ?

LangueFrançais
Date de sortie26 août 2020
ISBN9781393437093
Une rencontre déjà-vue: Rencontre à tout prix !, #9
Auteur

Susan Hatler

SUSAN HATLER è una Scrittrice Bestseller del New York Times e di USA Today. Scrive romanzi contemporanei umoristici e sentimentali e racconti per giovani adulti. Molti dei libri di Susan sono stati tradotti in tedesco, spagnolo, italiano e francese. Ottimista d’indole, Susan crede che la vita sia strabiliante, che le persone siano affascinanti, e che la fantasia sia infinita. Ama trascorrere il tempo con i suoi personaggi e spera che anche tu lo faccia. Puoi contattare Susan qui: Facebook: facebook.com/authorsusanhatler Twitter: twitter.com/susanhatler Sito internet: susanhatler.com/italiano Blog: susanhatler.com/category/susans-blog

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    Aperçu du livre

    Une rencontre déjà-vue - Susan Hatler

    Une rencontre déjà-vue

    LOUANGES

    « Cela m’a vraiment fait sourire. »

    — Getting Your Read On Reviews

    « Le festival amical est un livre merveilleux et parfait pour une journée folle ou stressante. »

    — Cafè of Dreams Book Reviews

    « Susan a un don pour les dialogues légers et pour décrire l’entrain concernant la connexion entre Holly et Dave… Cherchez à découvrir cette bouchée délicieuse. »

    Tifferz Book Reviewz

    « Susan Hatler a le chic pour écrire des livres qui m’entraînent dès la toute première page ! »

    — Books Are Sanity!!!

    « Mme Hatler a une façon d’écrire des dialogues très spirituels qui vous font rire à haute voix tout au long de ses histoires. »

    — Night Owl Reviews

    TITRES PAR SUSAN HATLER

    Série Rencontre renouvelée

    Rencontre à un million de dollars

    La double rencontre désastreuse

    La rencontre d’à côté

    Rencontre à la rescousse

    Rencontre à la mode

    Il était une rencontre

    Rencontre à destination

    Série Rencontre à tout prix !

    L’amour à la première rencontre

    Rencontre ou vérité

    Ma dernière rencontre arrangée

    Une rencontre à retenir

    Rencontre dans les règles de l’art

    Permis de rencontre

    Une rencontre intéressée

    Le projet rencontre

    Une rencontre déjà-vue

    Une rencontre et sauve-qui-peut

    Série Idylle à Christmas Mountain

    Le compromis de Noël

    C’était le baiser avant Noël

    Noël au Sugar Plum Inn

    Série Rêves du Montana

    Le festival amical

    Le dîner exquis

    La radieuse boutique

    La mémorable montagne

    Le mariage chaleureux

    La joyeuse randonnée

    L’adorable surprise

    UNE RENCONTRE DÉJÀ-VUE

    SUSAN HATLER

    Une rencontre déjà-vue

    Copyright © 2020 par Susan Hatler

    Tous droits réservés. Sans limiter les droits d’auteur réservés ci-dessus, aucune partie de cette publication ne peut être reproduite, stockée ou introduite dans un système de recherche d’information, ou transmise, sous n’importe quelle forme ou par n’importe quel moyen (électronique, mécanique, par photocopie, par enregistrement ou autres) sans l’autorisation écrite préalable du propriétaire des droits d’auteur de ce livre. Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, personnages, lieux, marques, médias et incidents sont soit issus de l’imagination de l’auteur, soit utilisés de manière fictive.

    Notes sur la Licence

    La licence de ce livre numérique n’autorise que la lecture pour votre plaisir personnel. Ce livre numérique ne peut pas être revendu ou donné à d’autres personnes. Si vous souhaitez partager ce livre avec une autre personne, veuillez acheter un exemplaire supplémentaire pour chaque personne avec qui vous le partagez. Si vous lisez ce livre et que vous ne l’avez pas acheté, ou qu’il n’a pas été acheté pour votre usage personnel, veuillez, s’il vous plaît, acheter votre propre copie. Merci de respecter le travail de l’auteure.

    _________________________________________

    Traduit de l’anglais au français par Juliette Leprun

    ________________________________________

    Conception de la Couverture par Elaina Lee, For The Muse Design

    Cliquez sur le lien suivant et inscrivez-vous à la Newsletter de Susan :

    SUSANHATLER.COM/NEWSLETTERFR

    SOMMAIRE

    Chapitre Un

    Chapitre Deux

    Chapitre Trois

    Chapitre Quatre

    Chapitre Cinq

    Chapitre Six

    Chapitre Sept

    Chapitre Huit

    Chapitre Neuf

    Chapitre Dix

    Épilogue

    UNE RENCONTRE DÉJÀ-VUE

    SUSAN HATLER

    CHAPITRE UN

    J’étais un vilain petit canard qui s’est transformé en cygne, et je n’arrivais pas à décider ce qui est le pire des deux. Ouais, peut-être que j’avais dû supporter le surnom « Melinda le chamallow » pendant toute l’école primaire, mais au moins j’avais pu manger librement l’un des plus grands délices de ce monde : les barres au caramel, chocolat et guimauve de la boulangerie de Bernie.

    J’en voulais une tout de suite.

    Alors que j’ouvrais la porte shabby chic jaune de la boulangerie de Bernie dans l’est de Sacramento, le dring d’une cloche carillonna au-dessus de ma tête. J’entrai à l’intérieur. Même si ma dernière visite datait de deux mois auparavant, la chaleur familière m’envahit alors que je sentais les douces odeurs de cake à la banane, de carrot cake, et de quelque chose qui avait une forte odeur de levain. La boulangerie de Bernie avait toujours été comme une seconde maison pour moi, et ça m’aurait fait sourire si ma situation n’était pas si terrible.

    Mes talons cliquetèrent le long du parquet boisé alors que je me dirigeais vers l’arrière d’une très longue file de clients du lundi matin, qui attendaient de commander leurs cafés et quelques délicieuses pâtisseries de cette boulangerie populaire.

    Depuis plus d’une décennie, je m’étais forcée à opter pour les muffins au son de Bernie au lieu de ces barres au caramel dont mes papilles avaient tant envie. Mais c’était sur le point de changer, parce que je n’avais jamais été aussi stressée de toute ma vie. La tension montait en moi alors que je dirigeais mon regard sur les barres au caramel, chocolat et guimauve alignées derrière la vitrine. Il en restait trois. L’une d’entre elles était à moi. Rien qu’à moi.

    Je passai ma langue sur ma lèvre inférieure.

    Changer mon régime alimentaire pour me débarrasser du surnom de « Mélinda le chamallow » n’avait pas été facile, et j’avais tenu bon, même quand j’avais travaillé ici à temps partiel pendant mes études. Mais de toute façon, où m’avait menée cette taille S ?

    J’avais vingt-six ans, et j’étais représentante d’un service client duquel j’avais été récemment remerciée après avoir occupé le poste pendant quatre ans, ce qui m’avait forcée à emménager avec une colocataire pour faire des économies. Au revoir, l’indépendance, bonjour, les rouleaux anti-peluches – ma colocataire, Ginger, avait deux chatons, et les poils de chats n’étaient vraiment pas mes amis.

    Certes, je détestais mon travail – écouter des gens se plaindre jour après jour n’était pas exactement un booster de bonne humeur. Mais au moins, ça payait bien. Je ne pourrais pas dire la même chose des sales boulots temporaires disponibles. Depuis sept semaines, j’avais passé tout mon temps libre à envoyer des CV et aller à des entretiens. Je n’avais même pas eu le temps de rendre visite à ma mère, et encore moins de venir dire bonjour à Bernie dans sa boulangerie, qui était dans le même quartier que la maison de ma mère.

    En plus, je n’avais pas encore trouvé de nouveau travail. Par conséquent, mon compte en banque était fauché comme les blés. Puisque ma mère avait appelé hier soir pour m’inviter à aller la voir, la boulangerie était mon dernier arrêt avant d’aller chez elle – une magnifique maison dans le quartier historique des Fabulous Forties – où je vivrais l’humiliation totale de demander à toucher un héritage que j’avais juré de ne jamais toucher.

    J’avais vraiment touché le fond. D’où mon besoin de barre caramel, chocolat et guimauve pour pouvoir compenser ma détresse. Je regardais nerveusement ma montre, très consciente que je devais agir vite avant que la sœur de ma colocataire, Mary Ann, n’arrive.

    Dans une tentative de me réconforter hier soir, Mary Ann – que je ne connaissais pas si bien que ça – m’avait payé un dîner coûteux dans un restaurant à la mode, ce qui était très généreux de sa part. Malheureusement, j’avais fini par regretter de ne pas avoir amené de boules Quiès. Un homard cuit à la vapeur accompagné de chardonnay onctueux ? Super. Des plaintes incessantes à propos de son père alcoolique qui était en cure ? Un peu moins super.

    Ne pouvait-elle pas apprécier le fait d’avoir encore un père ? Le mien était mort dans un terrible accident de montgolfière quand j’avais quatorze ans. Et accepter l’argent de son assurance vie me paraissait mal. Mais j’étais désespérée.

    Pour couronner le tout, Mary Ann était passée à l’appartement ce matin pour donner son dernier chèque de remboursement à sa sœur – apparemment, Mary Ann devait à Ginger une belle somme d’argent – et avait décidé qu’elle me retrouverait à la boulangerie de Bernie. Avant que je n’aie eu le temps de dire quoi que ce soit, elle sortait par la porte en disant qu’elle m’y verrait d’ici quinze minutes.

    Premièrement, je ne voulais pas que Mary Ann ou sa sœur (alias ma propriétaire) sache que j’étais fauchée. Et deuxièmement, je n’avais besoin d’aucun témoin pour mon tout dernier moment de défaite alors que j’engloutirais cette barre au caramel.

    J’avais travaillé dur pour que les gens aient une bonne image de moi et je ne voulais pas voir mon masque tomber. À présent, mon image parfaite n’était qu’une façade, mais personne n’avait besoin de le savoir. Peut-être que si la queue avançait assez vite, je pourrais manger cette séduisante barre au caramel à toute vitesse avant que Mary Ann n’arrive. Ça m’avait l’air d’un bon plan.

    Mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine alors que j’avançais dans la queue et je salivais rien qu’en pensant à ce doux chocolat fondant sur ma langue. Je n’arrivais pas à comprendre comment j’avais pu survivre pendant treize ans sans manger l’une de ces barres au caramel. Deux clients de plus devant moi, et cette délicieuse friandise serait à moi. Alors que je fixais la rangée de délices indécents, le dring de la cloche carillonna.

    « Melinda ! » Mary Ann m’appela de sa voix pleine d’entrain alors qu’elle marchait vers moi, ses boucles blondes rebondissant sur ses épaules. Elle jeta un œil à la vitrine. « Tu ressemblais à un tigre en cage regardant sa proie. Elles sont vraiment si bonnes que ça ? »

    Je laissai échapper un petit cri de surprise, humiliée par ma faiblesse qui était si flagrante. « Je ne vois pas de quoi tu parles », mentis-je.

    « Celles-là. » Elle désigna les barres caramel, chocolat et guimauve de Bernie qui étaient si tentantes et qui m’appelaient à corps et à cris depuis l’intérieur de la vitrine. « Tu baves presque.

    — Non, c’est faux. » Je mentis pour la seconde fois en moins d’une minute, et des perles de transpiration s’installèrent sur mon front. Je devais me contrôler. Non, il me fallait la barre au caramel… Ma tête commença à tourner.

    « Je peux vous aider ? » Une jeune femme attira mon attention, l’air agacé.

    Je me retournai et la regardai, bouche bée. Au lieu du visage familier de Bernie, avec ses yeux noisette et ses tempes grisonnantes, une serveuse brune avec des mèches d’un violet vif se tenait derrière le comptoir, me fixant d’un air impatient.

    Je clignai des yeux en la regardant. J’avais été si concentrée sur moi-même que je n’avais pas remarqué que le propriétaire manquait à sa routine habituelle. « Où est Bernie ? »

    Elle fronça les sourcils. « Je n’en ai aucune idée.

    — Mais il tient la caisse tous les jours », fis-je remarquer. Bernie n’avait jamais raté une seule journée de travail depuis que je le connaissais – même pas quand sa femme avait divorcé de lui pour de plus verts pâturages (c’est-à-dire : un Parisien qui l’avait invitée à s’échapper avec lui en France pour toujours).

    « Désolée de vous décevoir. Vous voulez commander ou pas ?

    — Euh… » Je regardai par-dessus l’épaule de la fille en cherchant un signe de Bernie, mais ne le repérai pas. L’inquiétude contracta mon estomac. Et si quelque chose lui était arrivé ? J’avais grandi en allant à la boulangerie de Bernie tous les jours et il était comme un second père pour moi.

    En essayant de ne pas flipper à propos de Bernie, je respirai profondément, sachant que je ne pourrais pas retomber dans ma mauvaise habitude de la barre au caramel si Mary Ann était à côté de moi pour y assister. Ce serait beaucoup trop humiliant. « Je voudrais un café au lait écrémé avec du sirop de caramel sans sucre et… Un muffin au son, s’il vous plaît. »

    Mary Ann me tira le bras. « Allez, commande-la, ta barre au caramel. »

    La barista marqua une pause, tenant sa pince en l’air, puis lança un regard lourd de sens à la queue derrière Mary Ann et moi. « Vous vouliez changer votre commande ? » demanda-t-elle.

    « Je garde le muffin au son, plus ce qu’elle prendra. » Sachant que je ne devrais vraiment pas me remettre aux mauvaises habitudes de mon ancienne vie, je me retournai vers Mary Ann. « Je ne veux pas la barre au caramel, mais prends ce que tu veux. C’est moi qui invite.

    — Tu sais que tu la voulais. Mais c’est pas grave. » Elle roula des yeux puis commanda un moka avec de la crème et un croissant au chocolat. Elle tendit sa carte bleue à la serveuse. « À

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