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Une rencontre intéressée: Rencontre à tout prix !, #7
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Livre électronique223 pages2 heuresRencontre à tout prix !

Une rencontre intéressée: Rencontre à tout prix !, #7

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À propos de ce livre électronique

Une avocate carriériste, Jill Parnell, travaille depuis de longues et dures années pour enfin devenir associée chez Corbett, Gray & Shaw. Quand le poste qu'elle convoitait est finalement offert au neveu du patron, elle fait ce que n'importe quel employé intelligent ferait – aller au mariage d'un collègue et faire ami-ami avec un associé très puissant d'un autre cabinet.

 

Son éventuel futur patron lui pose une seule condition pour lui attribuer le poste : démontrer qu'elle a une vie personnelle en dehors de son excitante carrière. Faire semblant d'avoir un petit ami est en dehors de la zone de confort de Jill... Néanmoins, elle invite le témoin du marié à jouer le jeu, et Ryan est plus qu'heureux de jouer le rôle de sa moitié. Le courant passe entre eux, mais elle doit rester concentrée, et se rappeler qu'elle fait cela pour décrocher un poste d'associée.

 

Lorsque Jill découvre que Ryan est en fait l'avocat qui lui a volé sa promotion, sa petite mascarade menace d'être découverte. Mais rompre avec son faux petit ami pourrait lui coûter ce travail dont elle a tant envie. Et plus elle apprend à connaître Ryan, plus elle est tentée d'amadouer le mauvais garçon qu'il est pour le faire sien.

LangueFrançais
ÉditeurHatco Publishing
Date de sortie15 mai 2020
ISBN9781393993940
Une rencontre intéressée: Rencontre à tout prix !, #7
Auteur

Susan Hatler

SUSAN HATLER è una Scrittrice Bestseller del New York Times e di USA Today. Scrive romanzi contemporanei umoristici e sentimentali e racconti per giovani adulti. Molti dei libri di Susan sono stati tradotti in tedesco, spagnolo, italiano e francese. Ottimista d’indole, Susan crede che la vita sia strabiliante, che le persone siano affascinanti, e che la fantasia sia infinita. Ama trascorrere il tempo con i suoi personaggi e spera che anche tu lo faccia. Puoi contattare Susan qui: Facebook: facebook.com/authorsusanhatler Twitter: twitter.com/susanhatler Sito internet: susanhatler.com/italiano Blog: susanhatler.com/category/susans-blog

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    Aperçu du livre

    Une rencontre intéressée - Susan Hatler

    Une rencontre intéressée

    Louanges

    « Cela m’a vraiment fait sourire. »

    — Getting Your Read On Reviews


    « Une rencontre inattendue est un livre merveilleux et parfait pour une journée folle ou stressante. »

    — Cafè of Dreams Book Reviews


    « Susan a un don pour les dialogues légers et pour décrire l’entrain concernant la connexion entre Holly et Dave… Cherchez à découvrir cette bouchée délicieuse. »

    Tifferz Book Reviewz


    « Susan Hatler a le chic pour écrire des livres qui m’entraînent dès la toute première page ! »

    — Books Are Sanity!!!


    « Mme Hatler a une façon d’écrire des dialogues très spirituels qui vous font rire à haute voix tout au long de ses histoires. »

    — Night Owl Reviews

    Titres par Susan Hatler

    Série Rencontre renouvelée

    Rencontre à un million de dollars

    La double rencontre désastreuse

    La rencontre d’à côté

    Rencontre à la rescousse


    Série Rencontre à tout prix !

    L’amour à la première rencontre

    Rencontre ou vérité

    Ma dernière rencontre arrangée

    Une rencontre à retenir

    Rencontre dans les règles de l’art

    Permis de rencontre

    Une rencontre intéressée

    Le projet rencontre

    Une rencontre déjà-vue

    Une rencontre et sauve-qui-peut


    Série Rêves Précieux

    Une rencontre inattendue

    Un baiser inattendu

    Un amour inattendu

    Une demande en mariage inattendue

    Un mariage inattendu

    Une joie inattendue

    Un bébé inattendu

    Une rencontre intéressée

    Susan Hatler

    Une rencontre intéressée

    Copyright © 2014 par Susan Hatler

    Tous droits réservés. Sans limiter les droits d’auteur réservés ci-dessus, aucune partie de cette publication ne peut être reproduite, stockée ou introduite dans un système de recherche d’information, ou transmise, sous n’importe quelle forme ou par n’importe quel moyen (électronique, mécanique, par photocopie, par enregistrement ou autres) sans l’autorisation écrite préalable du propriétaire des droits d’auteur de ce livre. Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, personnages, lieux, marques, médias et incidents sont soit issus de l’imagination de l’auteur, soit utilisés de manière fictive.


    Notes sur la Licence

    La licence de ce livre numérique n’autorise que la lecture pour votre plaisir personnel. Ce livre numérique ne peut pas être revendu ou donné à d’autres personnes. Si vous souhaitez partager ce livre avec une autre personne, veuillez acheter un exemplaire supplémentaire pour chaque personne avec qui vous le partagez. Si vous lisez ce livre et que vous ne l’avez pas acheté, ou qu’il n’a pas été acheté pour votre usage personnel, veuillez, s’il vous plaît, acheter votre propre copie. Merci de respecter le travail de l’auteure.

    ____________________________________________

    Traduit de l’anglais au français par Juliette Leprun

    ________________________________________

    Conception de la Couverture par Elaina Lee, For The Muse Design

    www.forthemusedesign.com


    Cliquez sur le lien suivant et inscrivez-vous à la Newsletter de Susan : SUSANHATLER.COM/NEWSLETTERFR

    Sommaire

    Chapitre Un

    Chapitre Deux

    Chapitre Trois

    Chapitre Quatre

    Chapitre Cinq

    Chapitre Six

    Chapitre Sept

    Chapitre Huit

    Chapitre Neuf

    Chapitre Dix

    Chapitre Onze

    Chapitre Douze

    Chapitre Treize

    Une rencontre intéressée

    Susan Hatler

    Dédicace

    Cette histoire est dédiée à ma merveilleuse amie et critique, Cyndi Faria. Merci pour tes encouragements et ton soutien pendant cette épopée en montagnes russes que l’on appelle l’écriture. Tu es absolument géniale !!

    Chapitre Un

    Les dix dernières années de ma vie m’avaient menées à cet instant. Alors que j’attendais en dehors de la salle de conférences, je ressentis comme une envie pressante de balancer mes bras en l’air, de sauter aussi haut que possible, et de crier « Allez, Jill ! ». Mais bien sûr, je me retins. Les associés étaient sur le point de me nommer au poste d’avocate directrice en charge du service des Dommages Corporels, et sauter comme un lapin dans le couloir pourrait être considéré comme un sacré manque de sérieux.

    Jill Parnell, avocate directrice. Cela sonnait vraiment très bien. Ils pourraient carrément mettre mon nom sur le papier à en-tête maintenant, parce que cette promotion était une garantie qu’un jour je serai associée à Corbett, Gray & Shaw. Roger Gray m’en avait parlé comme d’une certitude pendant l’entretien d’embauche, cinq ans auparavant.

    Bien sûr, j’avais fait beaucoup de sacrifices pour en arriver là, et je les revoyais dans ma tête, comme des diapositives : j’avais raté beaucoup de fêtes à l’université, puis à l’école de droit. J’avais passé un nombre incalculable de samedis soirs au bureau, trop nombreux pour les compter. Puis il y avait l’ultimatum que m’avait posé Aidan : de me calmer un peu sur le travail ou bien...

    J’avais choisi « ou bien ».

    Aidan et moi, on s’était bien amusés pendant les huit derniers mois, mais il savait en me rencontrant que j’étais accro à mon boulot. Le fait qu’il veuille me changer – et me faire abandonner ce qui avait fait de moi la femme de 29 ans autonome et indépendante que j’étais aujourd’hui – me paraissait tordu. Comme si j’allais abandonner un poste d’associée parce que mon petit ami voulait que j’aille plus souvent au cinéma avec lui.

    J’enrageai à cette pensée. Si seulement ma mère avait eu le bon sens de virer mon père il y a trente ans, elle n’aurait pas eu à travailler comme une acharnée et à suer sang et eau – littéralement, parce qu’elle cumulait deux boulots – pour financer ses grandes aventures toute la vie. Quand je lui avais demandé la semaine dernière, pourquoi elle n’était jamais allée dans les Andes – papa revenait d’Amérique du Sud aujourd’hui – elle m’avait seulement répondu : « Il y a bien quelqu’un qui doit payer les factures. »

    Ce qui est exactement la raison pour laquelle il fallait que je devienne associée : me garantir un futur stable. Aidan n’avait pas l’air de comprendre cela, mais il avait tout de même tenu huit mois, ce qui était plus long que mes autres petits amis. Aucun d’entre eux ne semblait désireux d’être en couple avec une femme qui aimait son travail. Quand il m’avait quittée, je ne m’étais pas effondrée, mais une chose était sûre : j’avais été déçue. Un autre dommage collatéral. Un autre sacrifice. Mais tous ces efforts allaient enfin finir par payer.

    Je frappai à la porte, et entrai. Les trois associés étaient assis sur la table rectangulaire en acajou. Stan Corbett était au centre, Roger Gray était assis à sa droite, et Jim Shaw était sur un siège plus au fond.

    Stan fit un geste vers la chaise vide située à côté de Jim. « Jill, si tu veux bien t’asseoir.

    — Merci », je déboutonnai la veste de mon tailleur-pantalon, croisai lentement les jambes, et me fis violence pour avoir l’air calme, tandis que des millions de volts d’adrénaline m’électrocutaient de l’intérieur.

    Stan se servit une tasse de café, puis m’invita d’un geste à me servir. « Nous t’avons convoquée ici aujourd’hui parce que, comme tu le sais, Charles Mansfield a annoncé son départ la semaine dernière.

    — Oui. » J’acquiesçai en regardant Stan, qui n’était pas vraiment l’associé que je préférais. Malheureusement, il allait bientôt être mon supérieur hiérarchique direct. Stan Corbett était un homme petit et gros, qui se voulait dragueur... Et il était aussi l’associé qui dirigeait le service des Dommages Corporels. Pas forcément quelqu’un pour qui je mourais d’envie de travailler, sachant que Charlie m’avait donné carte blanche et ainsi que la permission de travailler indépendamment sur mes propres affaires, après ma première année dans le cabinet. Je me servis une tasse de café – noir, sans crème ni sucre. « J’ai entendu dire que Charlie va ouvrir son propre cabinet d’avocats avec Ethan Harrison. »

    Le même Ethan, qui se mariait le lendemain soir à l’hôtel Geoffries, dans le centre-ville de Sacramento. Je me rappelai d’aller récupérer ma robe de soirée noire du pressing pendant la pause-déjeuner. Pour être honnête, une journée très chargée s’annonçait, alors j’aurais aimé que les associés me donnent la promotion au plus vite – pour ne pas prendre plus de retard.

    Jim Shaw se pencha en arrière dans son fauteuil de cuir marron. « Jill, je t’ai déjà parlé de mon neveu ?

    — Pas que je m’en souvienne. » Mes sourcils se froncèrent alors que je levais ma tasse, buvais une gorgée du liquide chaud et amer, puis me préparais en attendant les mots cruciaux : Félicitations pour ton nouveau poste. Peut-être faudrait-il que je fasse semblant d’être étonnée...

    « Mon neveu dirigeait un gros cabinet d’avocats à San Diego. » Jim s’éclaircit la voix, puis se pencha en avant sur ses coudes. « C’est bien notre veine, parce qu’il a décidé de revenir vers ses racines ici, à Sacramento. Et on vient de l’embaucher pour remplacer Charles Mansfield. »

    Je m’étouffai avec mon café. « Que... Qu’est-ce que tu as dit ? »

    Jim me passa une petite serviette blanche. « Mon neveu va être le nouvel avocat directeur de Corbett, Gray & Shaw. »

    Mon visage s’engourdit alors que je me séchai la bouche avec ma serviette. Est-ce que Jim venait de dire qu’ils allaient donner mon poste à son neveu ? Je me tournai vers les deux autres associés, les suppliant du regard de me confirmer que Jim était en train de me faire une blague de très mauvais goût.

    « Avocat directeur, c’est le poste le plus important dans le service des Dommages Corporels, dit Roger Gray en me regardant d’un air grave. Mais la place du numéro deux est tout aussi vitale.

    — Tout à fait, Roger. » Le front de Stan se rida alors qu’il se tortillait sur sa chaise. « L’avocat directeur a énormément besoin du numéro 2. Le travail d’équipe est un élément clé. »

    Qui en avait quelque chose à faire d’être le numéro 2 ? Mes épaules se rétrécirent alors que je bouillonnai de l’intérieur en pensant aux cinq années où j’avais été l’esclave de Corbett, Gray & Shaw. Des journées. Des nuits. Et tous ces week-ends. Et tout ça pour quoi ? Pour qu’ils puissent donner mon poste à un inconnu qui ne travaillait même pas au cabinet, juste parce qu’il partageait le patrimoine génétique de Jim ?

    « C’est une décision compliquée de remplacer Charles. » Stan était penché sur le bureau, sa bedaine glissant contre la table. « On avait besoin de quelqu’un qui aurait une vraie expérience. Un cador. Quelqu’un qui pourrait convaincre les jurés de Sacramento de lâcher les cordons de la bourse.

    — Je vois. » Je gardais un visage neutre en regardant mon patron qui m’avait trahie. Mes performances au tribunal étaient de premier ordre et je me donnais toujours à cent cinquante pourcents. C’était à mon tour d’évoluer et Stan le savait très bien. Je sentis qu’on me regardait fixement et jetai un regard à Roger Gray. Il me regardait d’un air entendu et je compris qu’il n’était pas celui qui m’avait éjectée de la course.

    « Les verdicts du jury sont primordiaux dans ce business. » Jim souriait d’une manière mielleuse qui m’ennuya. « C’est ce qui garde le service des Dommages Corporels à flot. »

    Mes yeux se rétrécirent. Comme si Jim savait quoi que ce soit sur notre département. Il avait reçu son diplôme de la faculté de droit de Podunk, un million d’années auparavant, et n’avait jamais mis les pieds dans un tribunal. Son rôle dans le cabinet d’avocats était d’être le plus hypocrite possible, de trouver de nouveaux clients et de pactiser avec les juges du comté de Sacramento.

    Stan ajouta : « Il y a plus important que les performances au tribunal : c’est les négociations d’accords. » Je repassai un pli inexistant de ma manche, en pensant à ce que je leur dirai, quand j’aurai enfin leur attention pleine et entière. Si ce fameux neveu n’avait pas encore signé, je pouvais toujours être dans la course. L’oncle Jim l’avait dit lui-même. Le plus important, c’était l’argent. « La meilleure manière d’éviter les dépenses est de négocier un accord avant le procès. Tu n’es pas sans savoir que j’ai récemment bouclé un accord sur le cas Maxwell.

    — Le procès à six chiffres sur l’erreur médicale. » Stan acquiesça. « Charles et toi, vous avez fait un bon boulot sur ce projet. »

    Ma mâchoire se serra. Charlie n’avait même pas lu les documents. Bien sûr, son nom était sur le dossier en tant qu’avocat directeur, mais c’était moi qui avais géré ce cas, depuis l’entrevue initiale jusqu’au dépôt du chèque de l’accord. Moi ? Territoriale ? Peut-être juste un petit peu...

    « Oui, ça a été un super accord. » Le téléphone de Jim sonna et il regarda l’écran. « Il va falloir qu’on écourte cette réunion, je dois absolument répondre. Merci à tous. »

    Je commençai à ouvrir la bouche quand...

    « J’ai un truc à faire. » Stan se leva précipitamment, puis suivit Jim en dehors de la salle de conférences, laissant la porte ouverte.

    Ma poitrine se creusa, puis je me tournai vers Roger, dont l’expression était grave. « C’est tout ?

    — Je suis désolé, Jill. Tu es très appréciée ici, et on te fera grimper les échelons dès que l’occasion se présentera. »

    Ouais, sauf si le cousin perdu de Jim fait son apparition. « Quand est-ce qu’il commence, le neveu de Jim ?

    — Lundi. » Il soupira, puis se leva de sa chaise. « C’est un bon gars. Je suis sûr que vous allez bien vous entendre. »

    Je ne voulais pas « bien m’entendre » avec lui. Pas du tout. Je voulais ma promotion. Je l’avais gagnée.

    Roger me lança un sourire compatissant qui me retourna l’estomac, puis il sortit.

    Le visage encore engourdi, je scannai la salle de conférences vide du regard en me demandant comment établir mon prochain plan d’attaque. Perdre sans se battre était une chose, mais perdre en criant et en pleurant, ce serait pathétique. Mes objectifs avaient été bloqués en route par le satané neveu de Jim. Éventuellement, pour toujours. Peut-être devrais-je partir de Corbett, Gray & Shaw. Mais était-il sage de commencer dans un autre cabinet d’avocats après avoir investi cinq ans dans celui-ci ?

    J’avais besoin d’appeler quelqu’un à qui demander conseil, qui m’aiderait à planifier ma vie. Mais qui ? Pas Aidan, évidemment. Pas ma mère ou mon père, parce qu’ils avaient leurs propres problèmes. Alors que je me torturais l’esprit pour trouver un ami à qui tout raconter, il devint vite évident que j’avais laissé mes amitiés se dissiper avec le cours des années. Trop occupée à travailler. Super, pour tout le bien que ça m’avait fait.

    Je commençai à sentir le désespoir envahir mon cœur.

    Puis je claquai des doigts, en me souvenant de la fiancée d’Ethan, Kristen. Nous nous étions vues quelques fois à des rencontres d’avocats, puis croisées à la salle de sport quelques semaines auparavant après la classe de zumba de six heures, à Sport & Forme. Kristen semblait intelligente, amicale, et elle m’avait dit de l’appeler quand je voulais. En plus de ça, elle travaillait comme thérapeute spécialisée dans le mariage et la famille, donc elle aurait très certainement de bons conseils à me donner.

    Je pressai le pas vers mon bureau, des fléchettes de douleur me traversant à chaque « félicitations » de collègues qui présumaient (comme moi dix minutes auparavant) que la promotion était mienne.

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