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Africanus Archéofuturisme: Une vérité pour une Afrique Post Mandela
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Africanus Archéofuturisme: Une vérité pour une Afrique Post Mandela
Livre électronique195 pages1 heure

Africanus Archéofuturisme: Une vérité pour une Afrique Post Mandela

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À propos de ce livre électronique

L'auteur appelle les Africains à se lever, à exploiter leurs talents et à s'unir afin d'élaborer un futur pour l'humanité, en alliant technologie, écologie, solidarité, respect des cultures et croissance économique.

Ce livre appelle à la construction d’un nouveau modèle d’homo africanus au regard des défis du continent faits de bifurcations géopolitiques ; un nouveau citoyen africain face au joug des communautés ; un nouveau leader africain face aux transitions obligatoires de survie du démographique, du numérique et de l’écologique : L’Africanus-archéofuturiste. Il fait parler des hommes et des femmes, dont les propos soutiennent l’afroarchéofuturisme comme mentalité de conquête.

Un ouvrage complet et référencé qui propose des pistes et solutions à des situations problématiques diverses. Balde Alpha Mamoudou nous donne l'espoir et la motivation d'agir pour accéder à un monde meilleur.

EXTRAIT

Une autre bataille se trouve dans les imaginaires collectifs : Si les coutumes et les religions n’ont pas de solutions techniques au réchauffement climatique, leur humanisme et leur spiritualité ont horreur du consumérisme vorace. Mosquées et églises peuvent bien dans leurs sermonts et prêches intégrer la dimension climatique, la lutte contre le gaspillage d’eau et d’électricité, la redistribution des surplus et toutes les éthiques de la permaculture. Il faut dire à l’homo africanus que la vie de l’homme sur terre est liée à la vie des autres hommes et autres espèces de la nature, exactement comme nous l’enseigne l’esprit Ubuntu, et sa survie dépend de la survie des autres espèces vivantes dans les biodiversités et la protection des ressources publiques des écosystèmes (eau, air, forêts, océans).
Le continent doit profiter du paradigme international tourné vers les énergies propres dans la mobilisation des investissements privés, et le recyclage des déchets et des matières rares comme le graphère. L’Économie bleue de Pauli Gunter nous enseigne que la nature ne produit pas de déchets. C’est peut-être la raison de sa survie en adapation continue depuis des millénaires. Allons maintenant dans ce sens !

À PROPOS DE L'AUTEUR

Alpha Balde est ingénieur en Actuariat et Finance. Il est responsable Actuariat et produits d’une compagnie d’assurance de la Guinée. Il est un membre actif de la Section Life de l’Internationale Actuarielle Association. Passionné par l’histoire de l’humanité, Alpha Balde est très intéressé par les questions de développement et de géopolitique du continent noir.
LangueFrançais
ÉditeurPublishroom
Date de sortie24 oct. 2019
ISBN9791023612820
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    Aperçu du livre

    Africanus Archéofuturisme - Alpha mamoudou Balde

    BALDE-Couv-recto.jpg

    Balde Alpha Mamoudou

    AfroArchéoFuturisme

    une vérité pour une Afrique Post Mandela.

    Remerciements

    En écrivant ce livre, j’ai pensé à mes deux enfants, Korka Baldé et Batouly Moon Baldé, mes lunes. Je les vois toujours en questionnement initial pour écrire ce livre devant le monument de la renaissance à Dakar, en compagnie de leur maman Djenab Baldé, un cadeau en votre souvenir affectueux pour les défis qui attendent l’afrique dans les décennies à venir. Je pense à tous les amis pour leurs apports précieux, dont Hafiziou Barry et Valdie legrand pour avoir pris leur temps à chercher mes livres de passion dans les bibliothéques de Paris. J’exprime ma gratitude à Pauli Gunter et à mon éditeur Publishroom Factory pour avoir pris leur temps à lire ce livre. J’ai une pensée pour mes amis Ibrahim Minthé ; le defunt ami et beau-frère Aliou Diallo ; Colette Beaudais ; Ahmed Sékou Baldé et Abdourahmane Sagalé Diallo, pour leur amour inconditionnel à ma famille de Labé dans un siécle très individualiste.

    J’ai également une pensée reconnaissante à l’égard de mon ami Talibé Bah à Conakry, de ma mére Idiatou Baldé et de mon pére Korka Baldé, de mes parents, ma grand-mère, la reine Hadja Mariama Wourdé Bah et mon grand-pére défunt, le sage Elhadj Mountagha Bah à Daralabé.

    Je rends grâce au Législateur cosmique et place ma confiance et ma vie entre ses mains.

    Introduction

    Écrire un livre avec « une conscience du soi par soi » de manière décomplexée pousse certains amis à la dissuasion. Par peur d’une coloration raciste ou négationniste du continent noir à l’époque oÙ des mouvements d’activistes renouent avec de fausses fiertés nationalistes ou identitaires de manière à cacher l’ennemi du progrès africain et à vouloir l’extérioriser dans cet éternel pacte virtuel scellé. Tous azimuts sur le continent, ces mouvements sont le syndrome de Stockholm ou la tunique de Nessus du douloureux passé de domination de l’homo africanus. Oui, l’esclavage arabo-musulman, la traite transatlantique et la colonisation ont freiné l’essor économique du continent sur le long terme en le vidant d’importantes ressources humaines et économiques. L’autre homo sapiens non africain, qui a pris part à ces calamités, pourrait avoir une responsabilité dans les devoirs de mémoire et dans l’éthique humaine, mais pas éternellement dans le retard accusé, car la marche de l’histoire est pleine d’injustices et d’obscurités pour tous les peuples.

    Comme le rappelle Achille MBembé, dans la première phrase de son livre, Essai sur l’Afrique décolonisée : « Il y a un siècle, la plus grande partie de l’humanité vivait sous le joug colonial, une forme particulièrement primitive de la domination de race ».

    L’Afrique devrait s’interroger maintenant et objectivement : Pourquoi les politiques échouent ? Pourquoi la pauvreté matérielle et biologique persiste ? Quels héritages des référents culturels faut-il porter et pour devenir quoi ? Quel type de citoyen faut-il reconstruire face aux défis des époques ? Qu’est ce que le continent a fait des cinquantenaires d’indépendance ? Quels héritages culturels faut-il repenser ou abandonner pour survivre et améliorer les conditions humaines des êtres vivants sur ce continent ? Pourquoi le vivre ensemble est toujours vu comme une condamnation historique entre tribus et non comme une richesse du fait de la diversité des patrimoines ? Comment préserver certains patrimoines culturels utiles de communautés en voie de disparition ? Pourquoi le continent s’adapte difficilement aux dynamiques géopolitiques et économiques du monde, loin derrière dans le leadership mondial et toujours dans le paradigme des rentes ? Pourquoi les jeunes fuient le continent devant le laxisme des politiques et des democratures, souvent illégitimes au pouvoir ? Pourquoi les cimetières honteux de la Méditerranée et le retour de la caravane de l’esclavage arabo-musulman des noirs en Lybie ? Pourquoi le continent peine toujours à organiser sans problèmes le moindre rendez-vous électoral ? Pourquoi le continent reste la seule civilisation sans machines au XXIe siècle et peine dans l’innovation pour entrer dans la compétition mondiale ? Quels modèles de croissance pour les Africains avec la donne écologique ? Voici le vrai débat de nos jours, qui appelle au vœu de la vérité, sans déni des réalités avec toutes les solutions idéologiques et techniques favorables. Qu’appelons-nous progrès? Il s’agit de l’évolution des sciences, des arts, des études techniques qui participent à l’amélioration de la condition humaine : longévité, confort de vie, santé éducation, partage, culture et souci des autres.

    Oui les intellectuels noirs ont passé une bonne partie de leur temps à justifier de l’humanité de leurs peuples, à combattre la négrophobie ; à démolir le mythe du négre, la honte et le mépris du négre, les catégorisations fallacieuses sur base de préjugé de couleur ; les intellectuels ne pouvant ignorer dans leurs corps et âmes le sort réservé à leurs frères et sœurs, allaient essayer en accumulant preuves et arguments de convaincre de l’humanité et de l’universalité de l’homme noir. Ce fut un combat noble et justifié. Frantz Fanon écrivait dans « Peaux noires et masques blancs » : « Lorsque l’autre hésite à te reconnaître, il ne te reste plus qu’une solution, celle de te faire connaître ».

    Mais ne faut-il pas adapter les discours des africanités aux époques ? Car à force de passer longtemps à te faire connaître sur un sujet, il y a un risque de te faire oublier pour d’autres sujets dans une dynamique universelle flottante, complexe dans laquelle aucune situation ne peut être considérée comme définitivement acquise. Évidemment, les époques changent et l’ennemi change de forme, de discours et de cible. Comme le soutient Alain Mabanckou dans son livre « Le sanglot noir », l’homme noir ne peut pas continuer à lier ses échecs ou sa réussite future à son passé de dominé racial. S’il faut sérieusement faire progresser le continent, il faut admettre que le mal de l’Afrique n’est plus ailleurs après plus de 60 ans de décolonisation. Il est clair que lorsqu’une force extérieure continue à freiner le progrès du continent noir, c’est parce que les élites sont laxistes, la gouvernance navigue à vue. Une jeunesse nombreuse, désorientée par les erreurs des doyens et souvent mal formée, et à qui on refuse de le dire dans plusieurs pays dans lesquels l’école ne forme pas le citoyen bâtisseur et n’est plus le sanctuaire de l’éthique de la vie Républicaine ; les jeunes et les femmes sont utiles à la manipulation politique sans projets à valeurs de transformation sociétale ; les référents culturels tribalistes dans certains pays mettent plus en avant leurs tares que leurs patrimoines historiques progressistes dans le vivre ensemble des communautés africaines . Le mal de l’Afrique n’est plus à dissocier de l’homme noir dans sa mentalité, sa sociologie et son anthropologie, pas vraiment celle du discours de Dakar de Sarkozy, qui s’érige en tribunal de l’homme noir dans un contenu plein d’idées reçues.

    Le pari de la disruption est aujourd’hui pour les élites du continent le plus porteur, celui du « lanceur d’alertes » et de l’action. Une stratégie rebelle, proche de la pensée radicale, face aux urgences tous azimuts. Le feu est en la demeure. Comme le dit Pauli Gunter, le Steve Jobs du développement durable : « Celui qui vient dans ce monde sans rien troubler, ne mérite ni regards, ni patience ». Les intellectuels africains doivent revenir à l’épicentre des problèmes du continent, à attaquer les questions majeures de l’époque, que j’ai évoquées plutôt. En empruntant le concept de l’archéofuturisme soutenu par Guillaume Faye, la question majeure, à mon avis, de l’époque est la conception d’un nouveau citoyen africain dans le cadre de « l’Africanus-archeofuturisme ». Sauf que pour Faye, il s’agit de prôner le retour aux valeurs ancestrales européennes pour une civilisation ancrée dejà dans la technoscience. Pour mon contexte, l’afroarchéofuturisme doit puiser les bonnes références de l’africanité, pour aller vers la technoscience sans copier nécessairement le chemin des autres peuples ; dans ce livre, l’homme noir est dit homo africanus. Il s’agit bien entendu de sortir le continent du processus funeste de l’assujettissement culturel et stratégique absolu à l’occident depuis les indépendances, de l’influence des civilisations chinoises et arabo-musulmanes ; mais aussi et surtout du refus catégorique des africains d’abandonner les tares et conneries dans leurs patrimoines culturels qui freinent le progrès universel de l’homo africanus. Il s’agit de combiner certains héritages culturels locaux aux connaissances établies par les sciences et technologies et à la marche historique du monde de manière à construire le futurisme d’un nouvel africain qui s’impose dans le concert des nations. Oui le patrimoine culturel fécond se reconfigure face aux paradigmes des époques. Il ne s’agit pas d’admettre les choses et faire avec, mais refuser des influences d’ailleurs non nécessaires comme l’apologie à la haine des juifs ou la légalisation des mariages et adoptions homosexuelles ; certains modèles de croissance occidentaux ou certaines dettes chinoises, et abandonner toutes les pratiques culturelles à caractère rétrograde au regard des certitudes scientifiquement établies et des leçons de la marche historique des peuples comme faire jusqu’à cinq enfants par femme sans revenus, ou détourner l’argent public pour la bénédiction des siens et la malédiction de l’Etat nation . Vous le savez, la culture n’a pas un ADN fixe ; elle peut bien changer ou s’ouvrir.

    Dans ce livre, je ne joue pas à l’intellectualisme bourgeois, dans lequel rien ne se dit et rien ne se comprend, non pas pour jouer à la carte de la vérité rebelle mais pour éviter la fuite devant les questions basiques et essentielles affrontant les pactes virtuels, scellés par le système intello-médiatique qui refuse de reinventer l’Afrique par le propre diagnostic de l’homo africanus, par peur d’obéir à une discipline de décalque littéraire qui fait l’apologie des nationalismes et des illusions noirs . Écrivain ou écriveur, je m’en tiens à ma liberté d’expression, comme d’aucuns le disent, si la plume n’est pas un poignard, elle ne vaut souvent rien. Ainsi, si je suis un provocateur pour d’autres, je l’assume au sens étymologique du latin Provocatio (action de provoquer) et tout reste à l’actif de ma liberté d’expression. J’aime la simplicité des plumes de l’économiste Mankew et de l’historien Yuval Harari pour expliquer et décrire la science et les faits.

    En réalité, ce que les élites africaines refusent d’admettre à travers de subtiles contorsions intellectualistes est ceci : « Le génie de l’homme noir ne fait pas assez comme coproducteur et cohéritier du patrimoine scientifique et technique du monde ; l’œuvre de l’homme noir au sens collectif qui est bien entré dans l’histoire pourtant, peine toujours à impressionner les autres peuples au point qu’ils en fassent un modèle ou un outil dans leurs modèles de transformation sociétale ; au point qu’ils se tournent vers l’Afrique pour la fameuse assistance technique ». C’est bien l’Afrique qui crie à l’assistance technique pour que ses systèmes de santé toujours défaillants résistent aux maladies tropicales ou aux crises épidémiologiques de type Ebola et son vaccin russe. C’est bien l’Afrique, qui fait toujours appel aux génies des autres pour l’architecture des grandes villes, que les dirigeants de l’indépendance en ont fait deS successions de bidonvilles sans maîtrise de l’urbanisation et la gestion du foncier ; il suffit de voir la ville de Conakry en 2018. Marrakech, New York, Paris et Dubai ont leur architecture ; ou sont les architectes de Conakry ou Niamey ? Il est vrai que pour les monuments comme celui de la Renaissance de Dakar, certains africains comme le sénégalais Pierre Goudiaby ont donné leur pierre au génie architectural du continent. Maintenant, il faut passer aux architectures à villes et habitats durables. C’est un impératif de la donne écologique.

    Et je dis : « L’Afrique doit vendre son génie à travers l’innovation et le modèle de ses hommes universels comme Nelson Mandela, mais l’Afrique vend ses ressources naturelles et les dividendes de sa croissance démographique à vil prix aux autres nations ». C’est une amnésie historique et perpétuelle. Je suis de ceux qui pensent que depuis la chute de l’empire Nubien et de la 25e dynastie des pharaons noirs issus de la Nubie, l’homo africanus n’a pas fait connaître au monde une « époque de Lumières », et qu’il ne sert à rien de faire croire à sa jeunesse que la renaissance passe par le retour à certaines fausses fiertés nationalistes et identitaires, en déphasage avec les quotidiens difficiles des populations. C’est un monde d’adaptation continue, rester soi et en même temps savoir composer avec les autres dans un esprit conjoint de vivre ensemble et de compétition.

    Dire toutes ces choses n’est pas de l’aliénation ou de la résignation ou de de la déconsidération. Ce n’est pas être vendu aux blancs ou être un idéaliste irréaliste. Ce n’est pas un effet de l’handicap psychosociologique, né des euphémismes de la colonisation occidentale pour reprendre les gros mots des littératures SUD de combat. L’Afrique doit repenser son logiciel dans sa marche ; refuser de désigner l’ennemi du continent, par des faux fuyants et par peur de l’ostracisme social, est contre productif. Désigner l’ennemi du progrès, tel est le chemin de l’efficacité. Il ne s’agit pas de faire des discours aux délires haineux ou au racisme de bas étage pour décrire ou conscientiser l’homme noir, mais il est temps de designer « l’ennemi noir du noir ». Il faut donc changer de logiciel culturel et historique, ce qui empêche d’atteindre le niveau de développement des autres peuples de la planète. Car il est indéniable que le progrès d’une nation se mesure à l’heure de la globalisation par rapport à des valeurs standards universellement reconnues et à un large consensus dans les imaginaires collectifs ; le progrès scientifique ou technologique n’est pas que pour l’homme occidental ou chinois, mais des acquis en continu de la civilisation universelle pour lesquels toutes les nations se devraient être en compétition pour en assurer le leadership mondial. Je regrette que le continent africain ne soit pas encore suffisamment dans ce jeu.

    Franchement, je ne suis pas bien les intellectuels du continent qui proclament, urbi et orbi, que l’Afrique n’a personne à rattraper sous quelque forme que ce soit. Oui l’Afrique doit construire son propre modèle de croissance mais de manière réaliste : le continent est en retard perpétuel !

    Ce livre appelle à la construction d’un nouveau modèle d’homo africanus au regard des défis du continent Faits de bifurcations géopolitiques ; un nouveau citoyen africain face au joug des communautés ; un nouveau leader africain face aux transitions obligatoires de survie, de la démographie, du numérique et de l’écologie : L’Africanus-archeofuturiste. Il fait parler des hommes et femmes dont les propos soutiennent l’afroarchéofuturisme comme mentalité de conquête.

    On ne me parlera pas des Afriques fragmentées et qu’on ne peut pas mettre toute l’Afrique dans le même panier, je dirai que les pays africains ont la même merde et les mêmes defis. Si la dégradation de la situation de mes nombreux voisins menace mon bien être, j’ai intérêt à le prendre en compte ; et les africains savent les conséquences d’une case du voisin qui brûle. Ces cases qui brûlent sont trop nombreuses !

    Il s’agit de s’appuyer sur des référents culturels du continent à la richesse inépuisable et de nos grands hommes universels et progressistes, et abandonner certaines conneries des patriarcats. C’est bien possible.

    Comment le législateur cosmique de l’Univers peut donner à l’Afrique des hommes comme Nelson Mandela et Alassane Ndaw, et que les big coqs assurant le leadership culturel et politique du continent ne s’en inspirent pas pour une Afrique de valeurs et de nations ! Je pense tout de

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