Civilisation et souveraineté

Par Fo’ Tchantchou Tchabo

L’auteur a spécialement élaboré un indicateur de mesure de la souveraineté et de la déliquescence de nation. Son étude porte sur l’observation des diverses civilisations à travers le monde et dans l’histoire. Il met en évidence l’importance de l’affirmation de la souveraineté, afin de pérenniser la prise en compte de la dite nation à l’échelle mondiale. D’après ses travaux menés avec la collaboration de spécialistes de l’ICPR (traduction en français CIRP, Cercle International de Réflexion Politique) en question politique, il déclare que les civilisations sont les expressions majeures de l’humanité. Et d’ajouter, que de nos jours, l’enjeu entre les différentes civilisations n’est plus uniquement une question de supériorité dans le cadre d’une opposition avec des frontières physiquement délimitées. Mais d’avantage, un nouvel enjeu dont la question de supériorité se pose en termes d’influence en tout point de vue. Nous avons eu plaisir à parcourir cet ouvrage novateur dans son domaine, et ne laissant pas indifférent quand à son approche sur le cas de l’Afrique.

• Langue: Français
• Éditeur: Les Éditions du Net
• Date de sortie: 18 sept. 2012
• ISBN: 9782312004617

Aperçu du livre

Civilisation

et souveraineté

Fo’ Tchantchou Tchabo

Civilisation

et souveraineté

Expression majeure de l’humanité

LES ÉDITIONS DU NET

70, quai Dion Bouton 92800 Puteaux

Cet ouvrage a été rédigé avec le concours

du Cercle International de Réflexion politique

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© Les Éditions du Net, 2012

ISBN : 978-2-312-00461-7

Expression majeure de l’humanité

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Image: Gall Peters

Préface

Il fallait une grande lucidité et de l’audace pour écrire cet ouvrage avant-gardiste sur le fil conducteur de l’histoire de l’humanité duquel il semblerait que la civilisation antique africaine en soit la matrice.

Fo’ Tchantchou TCHABO apporte ici une contribution remarquable et sans précédente qui fera date, une contribution d’autant plus précieuse que cette synthèse ouvre une voie sur un thème non exploré et sur lequel les auteurs qui lui succèderont ne tariront pas de sujet à traiter.

Il s’agit d’un vaste sujet qui est à la hauteur des enjeux actuels et qui nous est présenté avec sérieux, compétence et un souci pédagogique constant.

Fo’ Tchantchou TCHABO a souhaité que ce livre, volontairement non exhaustif, constitue un repère efficace pour tous ceux qui désirent acquérir une vision d’ensemble sur l’histoire des civilisations et de l’humanité de manière plus général. Ce sera pour les uns et les autres un outil précieux, extrêmement bien schématisé et contenant les dernières informations disponibles sur le sujet grâce notamment au service d’un assistant et à la contribution d’experts.

Mais la portée de cet ouvrage dépasse largement le but que cet auteur s’était donné. Celui-ci apporte un éclairage particulier sur une certaine façon de percevoir l’humanité et ouvre les perspectives d’une lecture plus humaniste et moins partisane du récit des relations entre les civilisations de tout temps. Voici un repère concret pour tous les philanthropiques qui aspire à une lecture du monde plus apaisée dissipant un grand nombre de mal entendu entre les interprétations des historiens et politologues des diverses civilisations et à la faveur de tous ceux qui se revendiquent citoyen du monde.

L’ouvrage de Fo’ Tchantchou TCHABO s’inscrit dans un contexte ou la mondialisation n’est pas une option et de ce fait répond à un vide qui ne demande qu’à être comblé. Car effectivement la montée inéluctable de la nouvelle culture the Globalisation pour reprendre une expression anglo-saxonne impose la nécessité d’un tronc commun afin d’offrir aux générations futures une base moins segmentée de leurs places dans le monde.

L’auteur fait bien preuve de lucidité en apportant à ce sujet pharaonique une synthèse accessible au plus grand nombre, claire et générale en retenant seulement les aspects essentiels. Il montre de l’audace en tenant cette gageure, guidé par le seul souci d’être utile et de servir l’humanité. Les grands humanistes sauront reconnaître la valeur avant-gardiste et l’ampleur de ce travail considérable.

Nous devons tous souhaité que l’initiative de Fo’ Tchantchou TCHABO fasse école. La mondialisation à travers la multiplication de ses organes dans tout un ensemble de domaine n’a cessé de s’accroitre.

Présenter et illustrer la mondialisation à travers cet ouvrage « Civilisation et Souveraineté, expression majeure de l’humanité » n’est-ce pas un bon moyen de servir la paix et l’harmonie de l’humanité ?

The ICPR

(en français CIRP, Cercle International de réflexion politique)

Avant-propos

D’importantes interrogations, sur la trajectoire, de l’évolution, de la situation, mondiale, me viennent brutalement à l’esprit. Ces questionnements sont l’aboutissement d’une saturation, face à une suite d’inexorables changements, tout autour de moi. Prenant la décision de publier mes réflexions, je me trouve dans le choix, de solliciter un assistant. Je découvre que, dans le milieu littéraire, ces individus sont qualifiés de « nègre littéraire ». Dans mon cas, je déclinerai leur qualificatif en « toubab littéraire ». Ce recours, à un « toubab littéraire », est le fait que, je ne peux pas m’attarder sur des détails, comme la rédaction. Recourir à ce dernier, n’aura, bien évidemment, pas ou peu d’incidence quand à la rigueur de cette production, car la situation l’impose.

Nous y sommes !

Cet ouvrage sera essentiellement dicté par mes paroles. Mes réflexions traiteront de civilisation et de souveraineté. Il n’y aura pas de complaisance sur l’étalement de mes réflexions, uniquement mon observation.

Mon besoin d’écrire fait suite à tout un ensemble de surprise !

Les États-Unis d’Amérique se sont constitués à travers la conquête coloniale tout en ayant recours à la violence. Plus tard, ils reprendront le dogme naissant outre atlantique« liberté et république ». Toute ces luttes ont laissé en guise d'héritage pour les générations futures une institution paranoïaque. Ce n’est que vers la fin de la seconde guerre mondiale que le reste de l’humanité à pu découvrir l’étendu de sa paranoïa sociétale. Depuis une cette époque, ils n’ont cessé d’entretenir ce climat de tension dans le monde avec ses scénarios catastrophiques qui ont conditionné le reste de l’humanité. Il semblerait que se soit leur plus grande production industrielle exportée à travers le monde. Même l’Afrique qui est le seul continent au monde « sans arme et sans production d’arme» est comptabilisée comme une menace potentielle. Ces idées sont véhiculées par des personnages connu et reconnu de tous. En voici l’un d’entre eux, un certain Samuel Huntington professeur à Harvard (université américaine) dont il se permet de douter de la certitude de l’existence d’une civilisation subsaharienne. J’en suis à un stade ou, la problématique se pose. Face à la domination Occidentale et à la reconstitution de puissance asiatique (Chine et Inde), l’Afrique est-elle souveraine ? Car je m’interroge sur l’éventualité, d’un statut, de suzeraineté de ce continent. Dans un souci d’harmonisation et d’apaisement des ressentiments des uns envers les autres, il est obligatoire d’éclaircir des zones d’ombre et de combler certains vides résultant de lutte culturelle entre les diverses civilisations. Les spécialistes, les prévisionnistes, prédisent que, les africains seront, assez prochainement, 2 milliards d’individus et donc redeviendront la première communauté mondiale.

Probablement mon seul ouvrage littéraire, car je n’ai pas vocation à m’adonner à l’écriture. J’ai grandi dans l’environnement hip hop, de la fin des années 80 et de la période des années 90. Je me suis beaucoup intéresser à l’histoire noire américaine et j’ai lu quelques ouvrages historiques et scientifiques, d’ailleurs, ceux sont mes uniques livres lus en entier, depuis l’âge de 15 ans. En voici une succincte énumération : Main basse sur le Cameroun Mongo Béti, histoire général de l’Afrique Joseph KI-ZERBO, les réseaux Foccart et les ouvrages du Professeur C. Anta DIOP et de sa mouvance.

Un film bonus est aussi disponible

« Civilisation et Souveraineté, expression majeure de l’humanité ».

Introduction

CIVILISATION ET SOUVERAINETÉ

Expression majeure de l’humanité, l’épopée des civilisations constitue la grande Histoire de notre monde. Cette grande Histoire a débuté en Afrique et elle s’est exporté à travers le monde. Et voir qu’un jour, elle nous conduira peut-être vers l’espace. Les apogées des civilisations se sont succédés mais seul une chose est restée immuable.

La recherche du progrès ! Mais le progrès vers quel objectif ?

Mieux se connaître, savoir d’où l’on vient et ou l’on va. Voici les grandes questions qui sont la source d’inspiration de tant de combat entre les hommes. Qui aura le privilège d’expliquer la vie à l’humanité ? Qui aura le privilège de rassembler l’humanité derrière sa vérité, sa culture ?

Voilà le nouveau conflit mondial de l’humanité. Autrefois, les nations s’affrontaient afin d’acquérir des richesses pour leurs peuples et d’agrandir leurs civilisations tandis qu’aujourd’hui au vue des nouvelles réalités, les nations ont perdu leurs frontières. Cela entraine l’avènement d’une classe mondiale dominante dont les puissantes coteries (lobbies) tentent d’accorder leurs visions, afin d’aboutir à la création d’une nouvelle culture mondiale. Il s’agit de la plus ancienne des guerres, celle des idées, celle qui a renversé des systèmes théologiques pour faire place à des dogmes tels que la démocratie, la laïcité et autre concept. Tout porte à croire que le système de gouvernance de type souveraineté divine n’a jamais pu s’adapter à la réalité culturelle européenne. Effectivement, le système théocratique qui a été partagé par l’ensemble des civilisations repose sur la crainte de l’inconnu. Cela induit de fait le respect de précepte spirituel supposé guider l’homme vers la sagesse et la soumission à l’autorité du corps institutionnel de ces intercesseurs parmi les Hommes. Cependant, l’Europe, dernier continent à être civiliser, a conservé un fondamental brut de type préhistorique. Ce fondamental est le rapport de force qui est considérée comme seul critère donnant droit et légitimité et outre passant la notion de sagesse. La supériorité conjoncturelle de l’Occident est une réalité qui a reposé exclusivement sur une fourberie commerciale, cette dernière l’ayant permis d’augmenter son volume d’exploitation de la force de travail des moyens humains de production. Cette activité commerciale a conditionné l’essor de la classe bourgeoise qui est devenue une force nouvelle, non reconnu, et pourtant plus puissante que les traditionnelles institutions monarchiques d’où les conflits d’intérêts qui ont entrainé les révolutions et les changements de régime (fin de système monarchique et ses privilèges qui ne correspondent pas à la logique capitaliste crée par les commerçants de la classe bourgeoise).

La philosophie des « Lumières » a pris des proportions suffisamment importantes permettant que ces penseurs en arrivent à proclamer leurs réflexions comme étant universelle. Ils veulent à tout prix se convaincre que leurs idées qui ont proliféré dans un contexte extraordinaire font l’unanimité sur le reste de l’humanité. Aujourd’hui, ces courants

Avis sur Civilisation et souveraineté

[Administration Sahel · Évaluation : 5 sur 5 étoiles]

Sahel Sahara pour prince bo. D in guesam jusqu'à Alger, Maures Touaregs Nubiens esclaves blancs.