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Charlot ou La Comtesse de Givry: Pièce dramatique
Charlot ou La Comtesse de Givry: Pièce dramatique
Charlot ou La Comtesse de Givry: Pièce dramatique
Livre électronique87 pages25 minutes

Charlot ou La Comtesse de Givry: Pièce dramatique

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À propos de ce livre électronique

Extrait : "L'INTENDANT, écrivant : Quatorze mille écus !... ce compte perce l'âme... Ma foi, je ne sais plus comment fera madame Pour recevoir le roi, qui vient dans ce château. LE COURRIER : Faut-il attendre ? L'INTENDANT : Eh ! oui. BABET : Que ce jour sera beau, Madame Aubonne ! ici nous le verrons paraître, Ici, dans ce château, ce grand roi, ce bon maître ! MADAME AUBONNE, cousant : Il est vrai."

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• Livres rares
• Livres libertins
• Livres d'Histoire
• Poésies
• Première guerre mondiale
• Jeunesse
• Policier
LangueFrançais
ÉditeurLigaran
Date de sortie8 juin 2015
ISBN9782335067446
Charlot ou La Comtesse de Givry: Pièce dramatique

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    Aperçu du livre

    Charlot ou La Comtesse de Givry - Ligaran

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    EAN : 9782335067446

    ©Ligaran 2015

    Avertissement pour la présente édition

    Le 12 septembre 1767, Voltaire écrit à Damilaville : « Malgré mes maux, je m’égaye à voir embellir, par des acteurs qui valent mieux que moi, une comédie (c’était Charlot, ou la comtesse de Givry) qui ne mérite pas leurs peines. » Le 18, il écrit à d’Argental : « Vous aurez incessamment Charlot, ou la comtesse de Givry dont je fais plus de cas que de l’Ingénu, mais qui n’aura pas le même succès. Je ne la destine pas aux comédiens, à qui je ne donnerai jamais rien après la manière barbare dont ils m’ont défiguré, et l’insolence qu’ils ont eue de mettre dans mes pièces des vers dont l’abbé Pellegrin et Danchet auraient rougi. D’ailleurs les caprices du parterre sont intolérables, et les Welches sont trop Welches. »

    C’était la chute des Scythes que Voltaire avait sur le cœur.

    Il envoie sa comédie au libraire Merlin, à « l’enchanteur Merlin », comme il l’appelle, à titre de gratification : « Je crois que Merlin peut tirer, sans rien risquer, sept cent cinquante exemplaires, qu’il vendra bien. » (19 septembre, à Damilaville.)

    Et dès lors les lettres de Ferney apportent corrections sur corrections et variantes sur variantes.

    Les premières représentations véritablement publiques de Charlot eurent lieu aux portes de Genève, au théâtre de Châtelaine qui appartenait à Voltaire : « Ceux qu’envoyait Genève, dit M. Desnoiresterres, venaient bien plus pour faire du tapage que pour applaudir à l’ouvrage ou au jeu des acteurs. Un soir on représentait Charlot… La pièce fut reçue par des sifflets. On a prétendu que le patriarche, fou de rage, sortant son grand corps hors de la loge et brandissant sa canne avec fureur, aurait crié à ce parterre insolent : « Magnifiques et très honorés seigneurs ! je suis chez moi, et si vous ne vous tenez pas tranquilles, je vous fais administrer la plus robuste volée que votre république ait jamais reçue ! » Cette verte algarade est mise par d’autres dans la bouche du chevalier de Beauteville, qui était plus autorisé à s’exprimer de cette façon catégorique, bien que nous ne voyions point quand il aurait eu l’occasion d’adresser à ces auditeurs remuants cette énergique semonce. »

    Avertissement de Beuchot

    Wagnière, dans son Examen des Mémoires de Bachaumont (qui fait partie des Mémoires de Longchamp et Wagnière, publiés en 1826), dit, tome Ier, page 264, que Charlot fut composé en

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